Réminiscences
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Réminiscences
Réminiscences
Que ne me desserve plus
l'ultime odeur du désert
au milieu de la
douceur de la peur
et ne me hante le grain nomade du sable en éveil
je
dirai en folie
aux lisières infranchissables
que ne m'importe plus
l'aurore impériale du Grand Sud
comme une lueur rebelle au détour des échos
saccagée par le souvenir
comme une promesse que ne me fait guère le soir
la mer est en sursis de voyage
le ciel est un portrait
pour les amants des ruelles discrètes
cristalline l'écume se fait stèle
le sourire convoite la colère vétuste
et chasse de nos coeurs apathiques
la débauche des délires d'alcôve
dru l'effroi du regard hagard
au péristyle de la mémoire
au petit matin des synesthésies des couleurs
des sons profonds du silence en partance
pour des veillées sans remords
que ne me desserve plus jamais le simulacre de l'oubli
Rachid
Dziri
Que ne me desserve plus
l'ultime odeur du désert
au milieu de la
douceur de la peur
et ne me hante le grain nomade du sable en éveil
je
dirai en folie
aux lisières infranchissables
que ne m'importe plus
l'aurore impériale du Grand Sud
comme une lueur rebelle au détour des échos
saccagée par le souvenir
comme une promesse que ne me fait guère le soir
la mer est en sursis de voyage
le ciel est un portrait
pour les amants des ruelles discrètes
cristalline l'écume se fait stèle
le sourire convoite la colère vétuste
et chasse de nos coeurs apathiques
la débauche des délires d'alcôve
dru l'effroi du regard hagard
au péristyle de la mémoire
au petit matin des synesthésies des couleurs
des sons profonds du silence en partance
pour des veillées sans remords
que ne me desserve plus jamais le simulacre de l'oubli
Rachid
Dziri
Iness- Invité
Nuit des chimères
Nuit des chimères
I
J'ai de tendresse d'amant pour toi
ô
nuit!
je sors de ma solitude ignorée
plein de sèves et d'appétits de
t'étreindre
mon coeur se développe sur ton être àcroire
ce soir mon âme
m'est miroir
profondément s'y colle ton image
ton visage serein me devient
paysage
j'ai de tendresse de fou pour toi
chair à mes instants
surveillés
je te reconnais loin des regards perfides.
II
La nuit déroule librement autour de moi son
espace
solitude familière
arène démesurée
la nuit vieille
coquine
radote de vieilles histoires
III
À vol d'oiseau long
vers la lueur des étoiles
comme un élan
sage vers le ciel
je m'apprête à te saluer
il y a la mer qui m'habite
il
y a Dieu et toi
il y a le parcours nocturne
tel un prophète qui s'érige
vers le salut
vers le repos divin
Rachid Dziri
I
J'ai de tendresse d'amant pour toi
ô
nuit!
je sors de ma solitude ignorée
plein de sèves et d'appétits de
t'étreindre
mon coeur se développe sur ton être àcroire
ce soir mon âme
m'est miroir
profondément s'y colle ton image
ton visage serein me devient
paysage
j'ai de tendresse de fou pour toi
chair à mes instants
surveillés
je te reconnais loin des regards perfides.
II
La nuit déroule librement autour de moi son
espace
solitude familière
arène démesurée
la nuit vieille
coquine
radote de vieilles histoires
III
À vol d'oiseau long
vers la lueur des étoiles
comme un élan
sage vers le ciel
je m'apprête à te saluer
il y a la mer qui m'habite
il
y a Dieu et toi
il y a le parcours nocturne
tel un prophète qui s'érige
vers le salut
vers le repos divin
Rachid Dziri
Iness- Invité
Songe
Songe
Je m'étale émietté
me rebutent les cris profonds cette saison
l'encens
des nuits archaïques rompt le silence nocturne
enivre en moi les voluptés
interdites
ma foi est de boire sur les commissures ton sourire
suivre
l'odeur qui pousse àtes pas en sourdine
et parvenir àsaisir la nuit
ensoleillée sur ta chevelure
innocente ta pudeur emmaillote dans l'espace
diaphane
ta peau ruisselante
j'appréhende à tâtonner le secret dans ta
mouvance
oh! m'entoure l'énigme comme ta présence
le souffle fabuleux du
songe me hante
m'offre des délices licites en toi
dans une coupe de beauté
fluide
déferlent mes souvenirs
coulent et se plient
pénètrent en moi
des mots rêveurs
pour fuir le dédale infantile
je viens
délibérément
avec l'horizon en écho
altier chaud comme divinement tu
portes mon rêve
le serment pour m'inspirer ta couleur
l'essence autour de
toi
chuchote la magnificence comme l'exil
L'oubli l'aurore qui
s'achève
Le ciel qui transcende le blanc de mon deuil
Ô
réminiscences
l'écume de la mer apprivoise le sable
et guette de loin ma
quête en moi
Rachid Dziri
Je m'étale émietté
me rebutent les cris profonds cette saison
l'encens
des nuits archaïques rompt le silence nocturne
enivre en moi les voluptés
interdites
ma foi est de boire sur les commissures ton sourire
suivre
l'odeur qui pousse àtes pas en sourdine
et parvenir àsaisir la nuit
ensoleillée sur ta chevelure
innocente ta pudeur emmaillote dans l'espace
diaphane
ta peau ruisselante
j'appréhende à tâtonner le secret dans ta
mouvance
oh! m'entoure l'énigme comme ta présence
le souffle fabuleux du
songe me hante
m'offre des délices licites en toi
dans une coupe de beauté
fluide
déferlent mes souvenirs
coulent et se plient
pénètrent en moi
des mots rêveurs
pour fuir le dédale infantile
je viens
délibérément
avec l'horizon en écho
altier chaud comme divinement tu
portes mon rêve
le serment pour m'inspirer ta couleur
l'essence autour de
toi
chuchote la magnificence comme l'exil
L'oubli l'aurore qui
s'achève
Le ciel qui transcende le blanc de mon deuil
Ô
réminiscences
l'écume de la mer apprivoise le sable
et guette de loin ma
quête en moi
Rachid Dziri
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