Le mur de l'infini
4 participants
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Le mur de l'infini
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Le mur de l’infini
Au grand mystère
De tous ses bons matins
Mon esprit avec entrain
Te cherchera malin
Jusqu’au soir où la péagère…
Tu as sage dépassé
La luxueuse conception
De ton univers en action
Engendré par concrétion
Dans la masse infinie, réalisée
Il est, il fut, il a été
Ce temps zéro sans origine
De ton univers indéfini qui illumine
Ma pauvre pensée anodine
Qui traque du regard ton immensité
Là est, le mur où se planque
L’insupportable grand défi
D’une traversée du fini vers l’infini
Invisible étant, n’étant pas permis
Que mes yeux touchent et haranguent
Quand pourrai-je dire j’ai touché
A la frontière de deux mondes
L’imaginaire du point zéro sans seconde
Qui ne veut se laisser capter à ma ronde
Il me nargue à mon approche de la vérité.
Il y a comme moi ceux qui cherchent
Mais il y a ceux qui voient leur dieu
Tout cela n’est que pensée des yeux
Qui regarde sans voir l’esprit pieux
Quand de leur vie leur pensée se reverche
Sommes-nous sûr de cet au-delà
Espiègle nature pour nous laisser croire
Que comme mur de Berlin il sera à voir
La chute soupirée de celui de notre espoir
Notre marche sur la lune ne nous y aidera
ðCF
Le mur de l’infini
Au grand mystère
De tous ses bons matins
Mon esprit avec entrain
Te cherchera malin
Jusqu’au soir où la péagère…
Tu as sage dépassé
La luxueuse conception
De ton univers en action
Engendré par concrétion
Dans la masse infinie, réalisée
Il est, il fut, il a été
Ce temps zéro sans origine
De ton univers indéfini qui illumine
Ma pauvre pensée anodine
Qui traque du regard ton immensité
Là est, le mur où se planque
L’insupportable grand défi
D’une traversée du fini vers l’infini
Invisible étant, n’étant pas permis
Que mes yeux touchent et haranguent
Quand pourrai-je dire j’ai touché
A la frontière de deux mondes
L’imaginaire du point zéro sans seconde
Qui ne veut se laisser capter à ma ronde
Il me nargue à mon approche de la vérité.
Il y a comme moi ceux qui cherchent
Mais il y a ceux qui voient leur dieu
Tout cela n’est que pensée des yeux
Qui regarde sans voir l’esprit pieux
Quand de leur vie leur pensée se reverche
Sommes-nous sûr de cet au-delà
Espiègle nature pour nous laisser croire
Que comme mur de Berlin il sera à voir
La chute soupirée de celui de notre espoir
Notre marche sur la lune ne nous y aidera
ðCF
Re: Le mur de l'infini
tikalo a écrit:[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Le mur de l’infini
Au grand mystère
De tous ses bons matins
Mon esprit avec entrain
Te cherchera malin
Jusqu’au soir où la péagère…
Tu as sage dépassé
La luxueuse conception
De ton univers en action
Engendré par concrétion
Dans la masse infinie, réalisée
Il est, il fut, il a été
Ce temps zéro sans origine
De ton univers indéfini qui illumine
Ma pauvre pensée anodine
Qui traque du regard ton immensité
Là est, le mur où se planque
L’insupportable grand défi
D’une traversée du fini vers l’infini
Invisible étant, n’étant pas permis
Que mes yeux touchent et haranguent
Quand pourrai-je dire j’ai touché
A la frontière de deux mondes
L’imaginaire du point zéro sans seconde
Qui ne veut se laisser capter à ma ronde
Il me nargue à mon approche de la vérité.
Il y a comme moi ceux qui cherchent
Mais il y a ceux qui voient leur dieu
Tout cela n’est que pensée des yeux
Qui regarde sans voir l’esprit pieux
Quand de leur vie leur pensée se reverche
Sommes-nous sûr de cet au-delà
Espiègle nature pour nous laisser croire
Que comme mur de Berlin il sera à voir
La chute soupirée de celui de notre espoir
Notre marche sur la lune ne nous y aidera
ðCF
Le mur est signe de conflit qui serait devenu envenimé à tel point que la seule solution entrevue est d'ériger une barrière ..... cette barrière doit être dépassée
pour aller de l'avant et voir ce qui se trouve de l'autre coté!
Merci pour ce poème fort.
davidof- Nombre de messages : 2697
loisirs : pêche, voyage, music...
Date d'inscription : 21/05/2008
firdaws- Nombre de messages : 930
Humeur : joie de vie !
Date d'inscription : 21/05/2008
merci pour le bon partage
Le mur
C'était un grand village
Avec des cousins, des parents, des enfants,
Sur la place jouaient.
Parfois perdaient des billes...
Sur la place parfois chantaient...
Parfois venaient les filles
Pour un tour de valse
En leurs joyeux atours...
Il a plu sur la place
Ils ont construit le mur
Le mur de nos amours.
A chacun sa moitié
A chacun son fusil
Et depuis ce temps-là
Il pleut sur nos amours.
Micheline Lucas
C'était un grand village
Avec des cousins, des parents, des enfants,
Sur la place jouaient.
Parfois perdaient des billes...
Sur la place parfois chantaient...
Parfois venaient les filles
Pour un tour de valse
En leurs joyeux atours...
Il a plu sur la place
Ils ont construit le mur
Le mur de nos amours.
A chacun sa moitié
A chacun son fusil
Et depuis ce temps-là
Il pleut sur nos amours.
Micheline Lucas
karim safriwi- Nombre de messages : 615
Date d'inscription : 03/07/2008
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