la mer
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la mer
La merenseigne aux marins des rêves que les portsassassinent. |
alors qu'elle est: " est un espace de rigueur et de liberté" comme ditVictor Hugo
passant- Invité
Re: la mer
Alibert: j'aime la mer comme une femme
J’aime la mer comme une femme
Son charme clair a pris mon
âme
Dans mon bateau, quand il fait beau
Je vibre enfin et le roi n’est pas
mon cousin
Au gré des vents, jusqu’à la grève
Les flots mouvants bercent
mon rêve
J’ai dans la chair leurs baisers bleus et verts
Comme une femme,
j’aime la mer
Au monde il existe, nombreux
Des amoureux :
Et dans les
cieux, la terre
Mais dans le cœur, la nuit et le jour
Depuis toujours, je
n’ai qu’un seul amour
J’aime la mer comme une femme
Son charme clair a pris mon
âme
Et sa chanson, son gai frisson
Berce mon cœur qui vogue enfin vers le
bonheur
Sur les flots bleus comme dans un rêve
Je goûte heureux des heures
brèves
J’ai dans la chair leurs baisers bleus et verts
Comme une femme,
j’aime la mer
Entre la mer et le ciel bleu
Je suis heureux
Loin des
soucis du monde
Je reste seul et n’importe où
Loin des jaloux
Je fais
des rêves fous
J’aime la mer comme une femme
Son charme clair a pris
mon âme
Et quand parfois sa grosse voix rugit plus fort
Elle est pour moi
plus belle encore
Mais quand le port paraît en fête
J’oublie alors grains
et tempêtes
Mon chant dans l’air répète à l’univers
J'aime les femmes,
j'aime la mer.
nadia ibrahimi- Nombre de messages : 1223
Date d'inscription : 18/07/2008
Re: la mer
Une chanson à virer collectée par
Armand Hayet.
Passant par Paris
Vidant
la bouteille
Un de mes amis
Me dit à l'oreille :
Bon! Bon!
Bon!
Le bon vin m'endort
L'amour me réveille
Le bon vin
m'endort
L'amour me réveille encor'!
Un de mes amis
Me dit à
l'oreille :
Jean, prends garde à toi
L'on courtis' ta belle.
Bon!
Bon! Bon!
Le bon vin m'endort
L'amour me réveille
Le bon vin
m'endort
L'amour me réveille encor'!
Jean, prends garde à toi
L'on
courtis' ta belle
Courtise qui voudra
Je me fous bien d'elle!
Bon!
Bon! Bon!
Le bon vin m'endort
L'amour me réveille
Le bon vin
m'endort
L'amour me réveille encor'!
Courtise qui voudra
Je me fous
bien d'elle
J'ai eu de son cœur
La fleur la plus belle.
Bon! Bon!
Bon!
Le bon vin m'endort
L'amour me réveille
Le bon vin
m'endort
L'amour me réveille encor'!
J'ai eu de son cœur
La fleur
la plus belle
Dans un grand lit blanc
Gréé de dentelles.
Bon! Bon!
Bon!
Le bon vin m'endort
L'amour me réveille
Le bon vin
m'endort
L'amour me réveille encor'!
Dans un grand lit blanc
Gréé
de dentelles
J'ai eu trois garçons
Tous trois capitaines.
Bon! Bon!
Bon!
Le bon vin m'endort
L'amour me réveille
Le bon vin
m'endort
L'amour me réveille encor'!
J'ai eu trois garçons
Tous
trois capitaines
L'un est à Bordeaux
L'autre à La Rochelle.
Bon!
Bon! Bon!
Le bon vin m'endort
L'amour me réveille
Le bon vin
m'endort
L'amour me réveille encor'!
L'un est à Bordeaux
L'autre à
La Rochelle
Le plus jeune à Paris
Courtisant les belles.
Bon! Bon!
Bon!
Le bon vin m'endort
L'amour me réveille
Le bon vin
m'endort
L'amour me réveille encor'!
Le plus jeune à
Paris
Courtisant les belles
Et le père est ici
Qui hal' sur la
ficelle.
Bon! Bon! Bon!
Le bon vin m'endort
L'amour me
réveille
Le bon vin m'endort
L'amour me réveille encor'!
nadia ibrahimi- Nombre de messages : 1223
Date d'inscription : 18/07/2008
Re: la mer
Ne m'laisse pas seul Georges Chelon
Album: Poète en l'an 2000
Et la mer n'est qu'une vague
Et la vague que de l'eau
Sur
laquelle ne divaguent
Ni mes envies, ni mes bateaux
Je suis comme une nuit
sans lune
Un quai de gare sans mouchoir
Un héritage sans fortune
Un
voyage sans départ
Le ciel est toujours vide
Mais il pèse sur moi
Quand
les nuages se suicident
Et que je suis là
Seul, ne m'laisse pas
seul
J'peux pas tout vivre
J'peux pas tout faire
Seul, ne m'laisse pas
seul
J'peux pas tout voir
J'vis à l'envers
J'suis pas fort
J'suis
pas clair
Tout seul
Et je trouverai des chaînes
Qui ne te blesseront
pas
On ne peut savoir où mène
Cette envie que j'ai de toi
Si grandes
seront mes terres
Si denses mes forêts
Que sans être prisonnière
Tu ne
pourras t'en évader
Seul, ne m'laisse pas seul
J'peux pas tout
vivre
J'peux pas tout faire
Seul, ne m'laisse pas seul
J'peux pas tout
voir
J'vis à l'envers
J'suis pas fort
J'suis pas clair
Tout
seul
Seul, ne m'laisse pas seul
J'peux pas tout vivre
J'peux pas tout
faire
Seul, ne m'laisse pas seul
J'vis à l'envers
Seul, ne m'laisse pas
seul
J'peux pas tout voir
J'peux pas tout faire
Seul, ne m'laisse pas
seul
J'vis à l'envers
Album: Poète en l'an 2000
Et la mer n'est qu'une vague
Et la vague que de l'eau
Sur
laquelle ne divaguent
Ni mes envies, ni mes bateaux
Je suis comme une nuit
sans lune
Un quai de gare sans mouchoir
Un héritage sans fortune
Un
voyage sans départ
Le ciel est toujours vide
Mais il pèse sur moi
Quand
les nuages se suicident
Et que je suis là
Seul, ne m'laisse pas
seul
J'peux pas tout vivre
J'peux pas tout faire
Seul, ne m'laisse pas
seul
J'peux pas tout voir
J'vis à l'envers
J'suis pas fort
J'suis
pas clair
Tout seul
Et je trouverai des chaînes
Qui ne te blesseront
pas
On ne peut savoir où mène
Cette envie que j'ai de toi
Si grandes
seront mes terres
Si denses mes forêts
Que sans être prisonnière
Tu ne
pourras t'en évader
Seul, ne m'laisse pas seul
J'peux pas tout
vivre
J'peux pas tout faire
Seul, ne m'laisse pas seul
J'peux pas tout
voir
J'vis à l'envers
J'suis pas fort
J'suis pas clair
Tout
seul
Seul, ne m'laisse pas seul
J'peux pas tout vivre
J'peux pas tout
faire
Seul, ne m'laisse pas seul
J'vis à l'envers
Seul, ne m'laisse pas
seul
J'peux pas tout voir
J'peux pas tout faire
Seul, ne m'laisse pas
seul
J'vis à l'envers
cristopher-cris- Nombre de messages : 2748
loisirs : lecture, voyage
Date d'inscription : 18/07/2008
Les mailles du souvenir/Georges TANNEAU.
Les mailles du
souvenir.
Une chanson écrite
par Georges TANNEAU.
Mes rêves de gamin, étaient-ils
prisonniers
Des mailles des filets qu'il fallait ramender
?
Mes rêves de gamin, étaient-ils emportés
Par ces plis qui tombaient en
toiles d'araignées ?
Ces filets s'accrochaient aux poignées des
fenêtres
Et ils filtraient alors nos joies et nos soucis.
Chaque maille
portait un soupir, un peut-être,
L'espérance sans fin des gens de par
ici.
Oui, quand j'étais gamin, combien m'ont fait rêver
Tous ces
sombres rideaux aux odeurs de tanin,
Car ils me racontaient le vent et la
marée,
Le bateau qui tanguait, le retour des marins.
Ces filets
s'entassaient dans un coin de la chambre
Et comme des rochers couverts de
goémon
Qu'ils étaient durs et forts, qu'ils étaient doux et tendres,
En
devenant pour moi l'île de Robinson.
Il m'arrivait parfois de prendre des
aiguilles,
De les garnir de fil, car il fallait aider
Ma mère ou, je ne
sais, quelqu'un de la famille
Dont je revois encor les bouts de doigts
usés.
Des doigts qui s'activaient parmi les alvéoles,
Les mailles des
filets qu'il fallait réparer.
Quand le jour déclinait, une lampe à
pétrole
Projetait sur les murs ces doigts démesurés.
Mes rêves de
gamin se laissaient prendre au piège
De la nuit qui pesait sur la corde des
plombs.
Je m'accrochais alors à la corde des lièges,
Mes paupières
donnaient de grands coups d'avirons.
Enfin je me laissais partir à la
dérive
Dans un pli de filet, un fouillis de cordage.
Portés par les
courants, très loin de toute rive,
Mes rêves ressemblaient souvent à des
naufrages.
souvenir.
Une chanson écrite
par Georges TANNEAU.
Mes rêves de gamin, étaient-ils
prisonniers
Des mailles des filets qu'il fallait ramender
?
Mes rêves de gamin, étaient-ils emportés
Par ces plis qui tombaient en
toiles d'araignées ?
Ces filets s'accrochaient aux poignées des
fenêtres
Et ils filtraient alors nos joies et nos soucis.
Chaque maille
portait un soupir, un peut-être,
L'espérance sans fin des gens de par
ici.
Oui, quand j'étais gamin, combien m'ont fait rêver
Tous ces
sombres rideaux aux odeurs de tanin,
Car ils me racontaient le vent et la
marée,
Le bateau qui tanguait, le retour des marins.
Ces filets
s'entassaient dans un coin de la chambre
Et comme des rochers couverts de
goémon
Qu'ils étaient durs et forts, qu'ils étaient doux et tendres,
En
devenant pour moi l'île de Robinson.
Il m'arrivait parfois de prendre des
aiguilles,
De les garnir de fil, car il fallait aider
Ma mère ou, je ne
sais, quelqu'un de la famille
Dont je revois encor les bouts de doigts
usés.
Des doigts qui s'activaient parmi les alvéoles,
Les mailles des
filets qu'il fallait réparer.
Quand le jour déclinait, une lampe à
pétrole
Projetait sur les murs ces doigts démesurés.
Mes rêves de
gamin se laissaient prendre au piège
De la nuit qui pesait sur la corde des
plombs.
Je m'accrochais alors à la corde des lièges,
Mes paupières
donnaient de grands coups d'avirons.
Enfin je me laissais partir à la
dérive
Dans un pli de filet, un fouillis de cordage.
Portés par les
courants, très loin de toute rive,
Mes rêves ressemblaient souvent à des
naufrages.
passant- Invité
Les mailles du souveni-suite
suite
Une ancre de bateau dans un jardin se rouille
Et les filets anciens
se sont effilochés.
Une épave moussue s'envase dans la souille
Que
n'atteint désormais que la grande marée.
Qui se souvient encor du temps des
années mortes
Où l'on reconnaissait la maison du marin
Au filet suspendu
sur le pas de la porte ?
De nos rêves d'enfant, qui encor s'en souvient
?
D'un filet suspendu sur le pas d'une porte
Et d'un rêve d'enfant,
qui de nous s'en souvient ?
Georges Tanneau
Une ancre de bateau dans un jardin se rouille
Et les filets anciens
se sont effilochés.
Une épave moussue s'envase dans la souille
Que
n'atteint désormais que la grande marée.
Qui se souvient encor du temps des
années mortes
Où l'on reconnaissait la maison du marin
Au filet suspendu
sur le pas de la porte ?
De nos rêves d'enfant, qui encor s'en souvient
?
D'un filet suspendu sur le pas d'une porte
Et d'un rêve d'enfant,
qui de nous s'en souvient ?
Georges Tanneau
passant- Invité
Gisèle Prassinos/ Dans tes yeux il y a la mer
Dans tes yeux il y a la mer.
Sur la mer il y a la tempête.
Dans la tempête : une barque.
Dans la barque : une petite fille.
Dans la petite fille il y a ton enfant
Et je vais me noyer maman
Si tu ne cesses de gronder.
Gisèle
Sur la mer il y a la tempête.
Dans la tempête : une barque.
Dans la barque : une petite fille.
Dans la petite fille il y a ton enfant
Et je vais me noyer maman
Si tu ne cesses de gronder.
Gisèle
karim safriwi- Nombre de messages : 615
Date d'inscription : 03/07/2008
L’appel du large.Beaudelaire
Un matin nous partons, le cerveau plein de flamme,
Le coeur gros de rancune et de désirs amers,
Et nous allons, suivant le rythme de la lame,
Berçant notre infini sur le fini des mers.
Mais les vrais voyageurs sont ceux-là seuls qui partent
Pour partir, coeurs légers, semblables aux ballons,
De leur fatalité jamais ils ne s’écartent,
Et sans savoir pourquoi, disent toujours : Allons !
Amer savoir, celui qu’on tire du voyage !
Le monde, monotone et petit, aujourd’hui,
Hier, demain, toujours, nous fait voir notre image :
Une oasis d’horreur dans un désert d’ennui !
Charles Baudelaire, Les Fleurs du Mal
Charles Baudelaire
Le coeur gros de rancune et de désirs amers,
Et nous allons, suivant le rythme de la lame,
Berçant notre infini sur le fini des mers.
Mais les vrais voyageurs sont ceux-là seuls qui partent
Pour partir, coeurs légers, semblables aux ballons,
De leur fatalité jamais ils ne s’écartent,
Et sans savoir pourquoi, disent toujours : Allons !
Amer savoir, celui qu’on tire du voyage !
Le monde, monotone et petit, aujourd’hui,
Hier, demain, toujours, nous fait voir notre image :
Une oasis d’horreur dans un désert d’ennui !
Charles Baudelaire, Les Fleurs du Mal
Charles Baudelaire
passant- Invité
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