Je vole...aire...
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Je vole...aire...
Je suis faible
En tant qu'aigle,
Aiglon en baryton
Je hèle le bon ton
De mon harmonie
En chant désuni...
Mais j'aime
Le thème
De vos règles,
Je suis le rythme affable
De vos vies en "fables".
J'adore vos écrits
D'or "plumés" d'envies,
J'"arbore" vos textes
Aux situations tellement...
"Ambidextres"
Qu'une plume ne suffit pas
A décrire votre émoi...
En tant qu'aigle,
Aiglon en baryton
Je hèle le bon ton
De mon harmonie
En chant désuni...
Mais j'aime
Le thème
De vos règles,
Je suis le rythme affable
De vos vies en "fables".
J'adore vos écrits
D'or "plumés" d'envies,
J'"arbore" vos textes
Aux situations tellement...
"Ambidextres"
Qu'une plume ne suffit pas
A décrire votre émoi...
miss Béa- Nombre de messages : 3641
loisirs : mes enfants, écrire, tv, amis...
Humeur : calme, posée, indépendante, un peu mélancolique, mais joyeuse quand même!
Date d'inscription : 18/11/2009
douceur- Nombre de messages : 954
loisirs : poésie, lecture, camping
Humeur : sourire permanent
Date d'inscription : 17/02/2008
Re: Je vole...aire...
Je vole, j'erre,
Ta poésie fait mon MISStère
J'aime, tes mots, tes vers, tes lettres,
Ton partage à chacun des êtres
Qui osent ici leur poème...
Oui, j'aime...
Et je caracole,
Et en hommage à toi, je m'envole :
Alphabet des pigeons
Terzarimacrostiche
(La rime est le son de la lettre)
Au sommet du clocher, le pigeon gris vola...
Bel emplumé, saoulé de vent, il fait tomber
A côté du jardin, son vol. Une fois là,
Belle pigeonne, il voit. Son roucoulis plombé
Chante timidement à l’oiselle, lassée,
Bien que vivant au nid, de sa vie sans flambée.
C’est le mois du . Mais les printemps passés
Dans ce nid sans surprise, ont trop tôt lézardé
Ce bec de pigeonnette aux rêveuses pensées.
Dans le jardin, pourtant, l’oiselle musardait :
En tournant vers l’azur et le clocher ses yeux,
Dans l’air douillet de mai, son bec meurtri tendait.
Elle écoute le chant du pigeon malheureux,
Faisant couler ses mots comme ruisseau sur bief
Ecoulant son clapot vers la chute. Ses yeux
Fusent, d’un coup d’un seul, infini quoique bref,
Gavés de bleu du ciel. Le chant, d’amour gorgé,
Fait rebattre son cœur blessé : il est sa greffe...
Grisée, elle ouvre un bec ému pour échanger,
Harmonie en instants présents et qui se cachent,
Gestes et mots enfouis, de tendresse forgés.
Hier, soudainement, file comme un panache :
Illusoire fumée en l’azur, elle fuit !
Hier n’existe plus, ni ses envols qui fâchent.
Il reste dans on cœur et ses yeux alanguis,
Juste un peu du passé vécu, sans nostalgie.
Ils chantent pour demain, par la rencontre unis,
Jours de futur bleuté par les mots, leurs magies,
Kermesses de moments qui de l’autre font cas,
Joie en vers distillée, en tendres élégies,
Kapukis d’occident, lais orientaux, tankas...
Le pavot au jardin jaillit, là, pour l’oiselle,
Kapok le long du corps, pétale délicat.
La fleur rouge au pigeon fait un signe et d’une aile
Muette il vient chanter au petit jardin même.
La pigeonnette sait que, confondu à elle,
Magiquement, l’oiseau à la douleur extrême
N’aura plus le cœur lourd ni en ses yeux de peine...
Maintenant, les pigeons se roucoulent « Je t’aime ! »
Noués par leur amour, sur la petite antenne,
Oubliant leurs passés, ils se gavent de mots
Nouveaux, qu’ils créent pour deux, en de douces antiennes,
Oniriques sonnets, virelais ou rondeaux
Planant sur l’océan d’acrostiches drapé,
Ou des contes rêvant de l’infiniment beau.
Plumes d'un seul duvet et becs émancipés,
Que de rêves nouveaux, embaumant leur vécu !
Plus noirs ne sont leurs cœurs, jadis handicapés,
Qui avaient oublié, trop seuls, leur seul écu :
Richesse du bonheur qui leur vient du mystère,
Que le confondu crée, que sans saveur, vaincue,
Reste, sans lui, la vie. Les oiseaux, par les airs
Soulevés, attirés, à l’unisson se laissent
Rêver de leurs envols du demain, débonnaires,
Sans orage ni pluie, au soleil de l’ivresse
Transportés par un vent de passion-liberté.
Sur le perchoir du toit qu’ils ont rejoint sans presse,
Tous deux ont installé le nid de l’unité.
Un chant d’amour au bec et au cœur rien de plus,
Tissent les deux pigeons leur avenir bleuté.
Un homme, à son balcon regardant, les a vus.
Versifiant son poème, il se mit à rêver
Un amour de pigeons qui se sont reconnus :
Vivifiant, émouvant, jamais de cœur privé.
Würmien ! L’homme écrit de la main double : vé !
Viens voir les deux pigeons, qui, là, sont arrivés !
W fait leur couple et leurs ailes deux V !
Xéranthème est leur œil qui dans l’azur se fixe,
Wagons de sentiments, soupirs en double Vé,
Xanthie au jour leur bec, d’amour nouveau prolixe !
Yuccas fleuris leurs cœurs, trouvant leur petit grec !
Ximénia sont enfin leurs batailles sans rixe.
Zénith atteint ! fait l’homme, en remerciant leurs aides,
Y allant de sa plume, ayant perdu son grec.
Je chante à Mon Amour celui que je possède...
Les pigeons ont souri, puis ont quitté l’antenne.
Pardon pour la longueur, mais l'alphabet a 26 lettres, pardi et la terza les multiplie, la bougre !!
GEPETTITO
Ta poésie fait mon MISStère
J'aime, tes mots, tes vers, tes lettres,
Ton partage à chacun des êtres
Qui osent ici leur poème...
Oui, j'aime...
Et je caracole,
Et en hommage à toi, je m'envole :
Alphabet des pigeons
Terzarimacrostiche
(La rime est le son de la lettre)
Au sommet du clocher, le pigeon gris vola...
Bel emplumé, saoulé de vent, il fait tomber
A côté du jardin, son vol. Une fois là,
Belle pigeonne, il voit. Son roucoulis plombé
Chante timidement à l’oiselle, lassée,
Bien que vivant au nid, de sa vie sans flambée.
C’est le mois du . Mais les printemps passés
Dans ce nid sans surprise, ont trop tôt lézardé
Ce bec de pigeonnette aux rêveuses pensées.
Dans le jardin, pourtant, l’oiselle musardait :
En tournant vers l’azur et le clocher ses yeux,
Dans l’air douillet de mai, son bec meurtri tendait.
Elle écoute le chant du pigeon malheureux,
Faisant couler ses mots comme ruisseau sur bief
Ecoulant son clapot vers la chute. Ses yeux
Fusent, d’un coup d’un seul, infini quoique bref,
Gavés de bleu du ciel. Le chant, d’amour gorgé,
Fait rebattre son cœur blessé : il est sa greffe...
Grisée, elle ouvre un bec ému pour échanger,
Harmonie en instants présents et qui se cachent,
Gestes et mots enfouis, de tendresse forgés.
Hier, soudainement, file comme un panache :
Illusoire fumée en l’azur, elle fuit !
Hier n’existe plus, ni ses envols qui fâchent.
Il reste dans on cœur et ses yeux alanguis,
Juste un peu du passé vécu, sans nostalgie.
Ils chantent pour demain, par la rencontre unis,
Jours de futur bleuté par les mots, leurs magies,
Kermesses de moments qui de l’autre font cas,
Joie en vers distillée, en tendres élégies,
Kapukis d’occident, lais orientaux, tankas...
Le pavot au jardin jaillit, là, pour l’oiselle,
Kapok le long du corps, pétale délicat.
La fleur rouge au pigeon fait un signe et d’une aile
Muette il vient chanter au petit jardin même.
La pigeonnette sait que, confondu à elle,
Magiquement, l’oiseau à la douleur extrême
N’aura plus le cœur lourd ni en ses yeux de peine...
Maintenant, les pigeons se roucoulent « Je t’aime ! »
Noués par leur amour, sur la petite antenne,
Oubliant leurs passés, ils se gavent de mots
Nouveaux, qu’ils créent pour deux, en de douces antiennes,
Oniriques sonnets, virelais ou rondeaux
Planant sur l’océan d’acrostiches drapé,
Ou des contes rêvant de l’infiniment beau.
Plumes d'un seul duvet et becs émancipés,
Que de rêves nouveaux, embaumant leur vécu !
Plus noirs ne sont leurs cœurs, jadis handicapés,
Qui avaient oublié, trop seuls, leur seul écu :
Richesse du bonheur qui leur vient du mystère,
Que le confondu crée, que sans saveur, vaincue,
Reste, sans lui, la vie. Les oiseaux, par les airs
Soulevés, attirés, à l’unisson se laissent
Rêver de leurs envols du demain, débonnaires,
Sans orage ni pluie, au soleil de l’ivresse
Transportés par un vent de passion-liberté.
Sur le perchoir du toit qu’ils ont rejoint sans presse,
Tous deux ont installé le nid de l’unité.
Un chant d’amour au bec et au cœur rien de plus,
Tissent les deux pigeons leur avenir bleuté.
Un homme, à son balcon regardant, les a vus.
Versifiant son poème, il se mit à rêver
Un amour de pigeons qui se sont reconnus :
Vivifiant, émouvant, jamais de cœur privé.
Würmien ! L’homme écrit de la main double : vé !
Viens voir les deux pigeons, qui, là, sont arrivés !
W fait leur couple et leurs ailes deux V !
Xéranthème est leur œil qui dans l’azur se fixe,
Wagons de sentiments, soupirs en double Vé,
Xanthie au jour leur bec, d’amour nouveau prolixe !
Yuccas fleuris leurs cœurs, trouvant leur petit grec !
Ximénia sont enfin leurs batailles sans rixe.
Zénith atteint ! fait l’homme, en remerciant leurs aides,
Y allant de sa plume, ayant perdu son grec.
Je chante à Mon Amour celui que je possède...
Les pigeons ont souri, puis ont quitté l’antenne.
Pardon pour la longueur, mais l'alphabet a 26 lettres, pardi et la terza les multiplie, la bougre !!
GEPETTITO
gepetto- Nombre de messages : 1908
Humeur : Ça dépend du Lion ou du Rat...
Date d'inscription : 04/10/2008
yefimia- Nombre de messages : 2495
Humeur : Cyclothimique
Date d'inscription : 01/05/2008
miss Béa- Nombre de messages : 3641
loisirs : mes enfants, écrire, tv, amis...
Humeur : calme, posée, indépendante, un peu mélancolique, mais joyeuse quand même!
Date d'inscription : 18/11/2009
Re: Je vole...aire...
gepetto a écrit:Je vole, j'erre,
Ta poésie fait mon MISStère
J'aime, tes mots, tes vers, tes lettres,
Ton partage à chacun des êtres
Qui osent ici leur poème...
Oui, j'aime...
Et je caracole,
Et en hommage à toi, je m'envole :
Alphabet des pigeons
Terzarimacrostiche
(La rime est le son de la lettre)
Au sommet du clocher, le pigeon gris vola...
Bel emplumé, saoulé de vent, il fait tomber
A côté du jardin, son vol. Une fois là,
Belle pigeonne, il voit. Son roucoulis plombé
Chante timidement à l’oiselle, lassée,
Bien que vivant au nid, de sa vie sans flambée.
C’est le mois du . Mais les printemps passés
Dans ce nid sans surprise, ont trop tôt lézardé
Ce bec de pigeonnette aux rêveuses pensées.
Dans le jardin, pourtant, l’oiselle musardait :
En tournant vers l’azur et le clocher ses yeux,
Dans l’air douillet de mai, son bec meurtri tendait.
Elle écoute le chant du pigeon malheureux,
Faisant couler ses mots comme ruisseau sur bief
Ecoulant son clapot vers la chute. Ses yeux
Fusent, d’un coup d’un seul, infini quoique bref,
Gavés de bleu du ciel. Le chant, d’amour gorgé,
Fait rebattre son cœur blessé : il est sa greffe...
Grisée, elle ouvre un bec ému pour échanger,
Harmonie en instants présents et qui se cachent,
Gestes et mots enfouis, de tendresse forgés.
Hier, soudainement, file comme un panache :
Illusoire fumée en l’azur, elle fuit !
Hier n’existe plus, ni ses envols qui fâchent.
Il reste dans on cœur et ses yeux alanguis,
Juste un peu du passé vécu, sans nostalgie.
Ils chantent pour demain, par la rencontre unis,
Jours de futur bleuté par les mots, leurs magies,
Kermesses de moments qui de l’autre font cas,
Joie en vers distillée, en tendres élégies,
Kapukis d’occident, lais orientaux, tankas...
Le pavot au jardin jaillit, là, pour l’oiselle,
Kapok le long du corps, pétale délicat.
La fleur rouge au pigeon fait un signe et d’une aile
Muette il vient chanter au petit jardin même.
La pigeonnette sait que, confondu à elle,
Magiquement, l’oiseau à la douleur extrême
N’aura plus le cœur lourd ni en ses yeux de peine...
Maintenant, les pigeons se roucoulent « Je t’aime ! »
Noués par leur amour, sur la petite antenne,
Oubliant leurs passés, ils se gavent de mots
Nouveaux, qu’ils créent pour deux, en de douces antiennes,
Oniriques sonnets, virelais ou rondeaux
Planant sur l’océan d’acrostiches drapé,
Ou des contes rêvant de l’infiniment beau.
Plumes d'un seul duvet et becs émancipés,
Que de rêves nouveaux, embaumant leur vécu !
Plus noirs ne sont leurs cœurs, jadis handicapés,
Qui avaient oublié, trop seuls, leur seul écu :
Richesse du bonheur qui leur vient du mystère,
Que le confondu crée, que sans saveur, vaincue,
Reste, sans lui, la vie. Les oiseaux, par les airs
Soulevés, attirés, à l’unisson se laissent
Rêver de leurs envols du demain, débonnaires,
Sans orage ni pluie, au soleil de l’ivresse
Transportés par un vent de passion-liberté.
Sur le perchoir du toit qu’ils ont rejoint sans presse,
Tous deux ont installé le nid de l’unité.
Un chant d’amour au bec et au cœur rien de plus,
Tissent les deux pigeons leur avenir bleuté.
Un homme, à son balcon regardant, les a vus.
Versifiant son poème, il se mit à rêver
Un amour de pigeons qui se sont reconnus :
Vivifiant, émouvant, jamais de cœur privé.
Würmien ! L’homme écrit de la main double : vé !
Viens voir les deux pigeons, qui, là, sont arrivés !
W fait leur couple et leurs ailes deux V !
Xéranthème est leur œil qui dans l’azur se fixe,
Wagons de sentiments, soupirs en double Vé,
Xanthie au jour leur bec, d’amour nouveau prolixe !
Yuccas fleuris leurs cœurs, trouvant leur petit grec !
Ximénia sont enfin leurs batailles sans rixe.
Zénith atteint ! fait l’homme, en remerciant leurs aides,
Y allant de sa plume, ayant perdu son grec.
Je chante à Mon Amour celui que je possède...
Les pigeons ont souri, puis ont quitté l’antenne.
Pardon pour la longueur, mais l'alphabet a 26 lettres, pardi et la terza les multiplie, la bougre !!
GEPETTITO
Merci beaucoup Gépi, ton commentaire est touchant de gentillesse.
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Quant au poème, point trop de longueur quand on se font en lectures qui dégèlent les affres du temps...
Très agréable alphabet sur fond de pigeons énamourés qui se lit d'un trait, on oublie tout, on plonge...
Bisou
Béa
miss Béa- Nombre de messages : 3641
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Date d'inscription : 18/11/2009
Re: Je vole...aire...
miss Béa- Nombre de messages : 3641
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Humeur : calme, posée, indépendante, un peu mélancolique, mais joyeuse quand même!
Date d'inscription : 18/11/2009
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