LE PRINTEMPS
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LE PRINTEMPS
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Je me promenais tranquillement
L’esprit et le regard dans le vide.
Un rayon de soleil vint frapper ma pupille
En même temps je l’aperçus.
Mes yeux découvraient sa silhouette
De femme sensuelle
Une robe à bretelles toute légère
Sur des hanches bien faites
Laissait découvrir
Un décolleté généreux
Elle marchait délicatement
Arriva à côte de moi
Passa sa main dans ses cheveux
Laissant dérouler sa longue chevelure
Son bras effleura le mien
Comme une invitation
Quelles étaient ses senteurs à n’en plus finir
D’où pouvaient elles provenir
De la porte entrouverte du fleuriste
De cette femme que je venais de croiser
Ou tout simplement l’arrivée du printemps ?
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Je me promenais tranquillement
L’esprit et le regard dans le vide.
Un rayon de soleil vint frapper ma pupille
En même temps je l’aperçus.
Mes yeux découvraient sa silhouette
De femme sensuelle
Une robe à bretelles toute légère
Sur des hanches bien faites
Laissait découvrir
Un décolleté généreux
Elle marchait délicatement
Arriva à côte de moi
Passa sa main dans ses cheveux
Laissant dérouler sa longue chevelure
Son bras effleura le mien
Comme une invitation
Quelles étaient ses senteurs à n’en plus finir
D’où pouvaient elles provenir
De la porte entrouverte du fleuriste
De cette femme que je venais de croiser
Ou tout simplement l’arrivée du printemps ?
Dernière édition par HENRY LE POETE le Mar 27 Mai - 10:01, édité 1 fois
Re: LE PRINTEMPS
Rencontre si fugace
et merveilleux émoi
le corps et le coeur pris
on se sent décoller
flottant dans le printemps
comme un virtuel amant.
Joli poème qui agite des souvenirs.
et merveilleux émoi
le corps et le coeur pris
on se sent décoller
flottant dans le printemps
comme un virtuel amant.
Joli poème qui agite des souvenirs.
Re: LE PRINTEMPS
c'est trop mignon, le printemps vu ainsi.Bravo bravo et bravo pour ce morceau de fraîcheur , de sensualité et de tendresse.
Re: LE PRINTEMPS
Dire sans dire, faire sentir, inspirer... OUI, voilà aussi comment parler de sensation (s)
« Nommer un objet, c'est supprimer les trois quarts de la jouissance du poème qui est faite de deviner peu à peu : le suggérer, voilà le rêve... Il doit y avoir toujours énigme en poésie et c'est le but de la littérature ».
Stéphane MALLARME, le bien armé
« Nommer un objet, c'est supprimer les trois quarts de la jouissance du poème qui est faite de deviner peu à peu : le suggérer, voilà le rêve... Il doit y avoir toujours énigme en poésie et c'est le but de la littérature ».
Stéphane MALLARME, le bien armé
Re: LE PRINTEMPS
un beau poème/nature joyeuse
j'aime aussi le com:
« Nommer un objet, c'est supprimer les trois quarts de la jouissance du poème qui est faite de deviner peu à peu : le suggérer, voilà le rêve... Il doit y avoir toujours énigme en poésie et c'est le but de la littérature ».
Stéphane MALLARME, le bien armé
**
beau partage sur ces pages.
j'aime aussi le com:
« Nommer un objet, c'est supprimer les trois quarts de la jouissance du poème qui est faite de deviner peu à peu : le suggérer, voilà le rêve... Il doit y avoir toujours énigme en poésie et c'est le but de la littérature ».
Stéphane MALLARME, le bien armé
**
beau partage sur ces pages.
firdaws- Nombre de messages : 930
Humeur : joie de vie !
Date d'inscription : 21/05/2008
Re: LE PRINTEMPS
WWWAAOOUUHH, trop suggestif ou pas assez, moi qui parlais de ne pas nommer les objets avec Mallarmé en buvant ensemble le thé de l'amitié...
Mais je crois qu'il aurait craqué lui aussi pour faire un poème à partir de cette image, la bien-nommée.
Mais je crois qu'il aurait craqué lui aussi pour faire un poème à partir de cette image, la bien-nommée.
Re: LE PRINTEMPS
Très, très, très joli poème Henry.
MERCI
MERCI
yefimia- Nombre de messages : 2495
Humeur : Cyclothimique
Date d'inscription : 01/05/2008
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