CORPS DE FEMME
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CORPS DE FEMME
CORPS DE FEMME
Corps de femme, le merveilleux caché en toi,
Existe-t-il plus grande tendresse que la mienne
Lorsque tu dors, douce, dans l’ombre de ta lumière.
En m’immisçant en toi comme dans un gouffre,
Je répète les noms des fleurs pour mieux t’expliquer :
Pétunia, azalée, robinia hispida.
Lorsque tu dors tu joues, ô rivière confluente,
Je plonge mes mains, attristés mais éternelles,
Avec leurs cailloux de nacre et la mousse brûlée.
Je te connais toute et tout m’émerveille,
Je viens de l’abysse pour y retourner,
La soif salée m’envahit et tu meurs, douce douleur.
Et combien je te cherche : comme l’écho à sa voix,
Comme la voix, son écho ne finit pas,
Brûlant tout mon sang dans ma tête sans lumière.
Et combien je te veux : comme la surface de l’eau
Qui cherche son remous pour la tourbillonner,
S’arrêter là où tout a commencé, là où la mort n’est pas.
Qu’y a t-il plus beau que ton corps,
De tes fruits offerts ? Je suis comme un bateau
Qui chavire et coule entre tes deux rives.
Te voilà enfin nue et vaincue, mais qui passera
Sous l’arc de triomphe avec l’auréole amère,
Dans tes rêves je suis perdu à jamais.
Et le poème invisible est là, celui même qui transforme
Tous tes miracles en un seul et unique, sous la pluie
Et le maudit ciel, qui blesse et pleure derrière tes cils.
yéfi 2009
Corps de femme, le merveilleux caché en toi,
Existe-t-il plus grande tendresse que la mienne
Lorsque tu dors, douce, dans l’ombre de ta lumière.
En m’immisçant en toi comme dans un gouffre,
Je répète les noms des fleurs pour mieux t’expliquer :
Pétunia, azalée, robinia hispida.
Lorsque tu dors tu joues, ô rivière confluente,
Je plonge mes mains, attristés mais éternelles,
Avec leurs cailloux de nacre et la mousse brûlée.
Je te connais toute et tout m’émerveille,
Je viens de l’abysse pour y retourner,
La soif salée m’envahit et tu meurs, douce douleur.
Et combien je te cherche : comme l’écho à sa voix,
Comme la voix, son écho ne finit pas,
Brûlant tout mon sang dans ma tête sans lumière.
Et combien je te veux : comme la surface de l’eau
Qui cherche son remous pour la tourbillonner,
S’arrêter là où tout a commencé, là où la mort n’est pas.
Qu’y a t-il plus beau que ton corps,
De tes fruits offerts ? Je suis comme un bateau
Qui chavire et coule entre tes deux rives.
Te voilà enfin nue et vaincue, mais qui passera
Sous l’arc de triomphe avec l’auréole amère,
Dans tes rêves je suis perdu à jamais.
Et le poème invisible est là, celui même qui transforme
Tous tes miracles en un seul et unique, sous la pluie
Et le maudit ciel, qui blesse et pleure derrière tes cils.
yéfi 2009
yefimia- Nombre de messages : 2495
Humeur : Cyclothimique
Date d'inscription : 01/05/2008
Re: CORPS DE FEMME
, Yéfi !
(j'ai un peu corrigé l'ortho...)
bien à toi
(j'ai un peu corrigé l'ortho...)
bien à toi
gepetto- Nombre de messages : 1908
Humeur : Ça dépend du Lion ou du Rat...
Date d'inscription : 04/10/2008
Re: CORPS DE FEMME
Merci pour les correcs.
A bien tôt.
Yéfi
A bien tôt.
Yéfi
yefimia- Nombre de messages : 2495
Humeur : Cyclothimique
Date d'inscription : 01/05/2008
kimannzo- Nombre de messages : 898
loisirs : ecriture; équitation;jogging
Humeur : dynamique...
Date d'inscription : 27/05/2009
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