Re: Pensée automnale

par Invité Mer 2 Juin - 12:28

roby a écrit:
L'automne s'étale
En douceur
Il se sait saison authentique
Les forêts d’ocre, le paysage rustique
Le rêve d'un printemps
Couvant aux cœurs des vallées.
Le décor automnale n'est pas si mal
Les ombres, le vague à l'âme
Le crépuscule en deuil
Pour toutes les feuilles virulentes
Prêtes à partir
Une sensation de funèbre
Ne cesse de jaillir
De la terre qui fait sa sieste hibernale

l'automne est une si belle saison
merci du partage
j'ai aimée ma lecture
amitié
benino

par roby Mar 18 Mai - 21:03

daniel a écrit:
roby a écrit:
L'automne s'étale
En douceur
Il se sait saison authentique
Les forêts d’ocre, le paysage rustique
Le rêve d'un printemps
Couvant aux cœurs des vallées.
Le décor automnale n'est pas si mal
Les ombres, le vague à l'âme
Le crépuscule en deuil
Pour toutes les feuilles virulentes
Prêtes à partir
Une sensation de funèbre
Ne cesse de jaillir
De la terre qui fait sa sieste hibernale
Une saison passe
une autre arrive
mais c'est nous en fait qui passons à la dérive......

Ah que oui on passe d'une saison à l'autre pas après pas on approche le dernier pas.
Merci pour la lecture

par roby Mar 18 Mai - 21:01

davidof a écrit:L’automne

On voit tout le temps, en automne,
Quelque chose qui vous étonne,
C’est une branche, tout à coup,
Qui s’effeuille dans votre cou.

C’est un petit arbre tout rouge,
Un, d’une autre couleur encor,
Et puis, partout, ces feuilles d’or
Qui tombent sans que rien ne bouge.

Nous aimons bien cette saison,
Mais la nuit si tôt va descendre !
Retournons vite à la maison
Rôtir nos marrons dans la cendre.

Lucie DELARUE-MARDRUS

bravo pour le partage [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

par roby Mar 18 Mai - 21:00

miss Béa a écrit:
roby a écrit:
L'automne s'étale
En douceur
Il se sait saison authentique
Les forêts d’ocre, le paysage rustique
Le rêve d'un printemps
Couvant aux cœurs des vallées.
Le décor automnale n'est pas si mal
Les ombres, le vague à l'âme
Le crépuscule en deuil
Pour toutes les feuilles virulentes
Prêtes à partir
Une sensation de funèbre
Ne cesse de jaillir
De la terre qui fait sa sieste hibernale

Je suis ok dac avec toi, l'automne n'est pas une morte saison, mais au contraire elle est saison faisant la sieste afin de se reposer en hiver et de renaître au printemps...

Très joli, biz
Béa

Bonsoir la belle star absente comment vas-tu? heureux de te croiser

par **cristopher-cris** Ven 7 Mai - 20:13

Les saisons se couvent l'une l'autre
S'enchaînant comme le sourire aux lèvres et comme les pleurs aux yeux
Tes sont les cieux des saisons
Tantôt brumes et pluie tantôt soleil et dorure

par daniel Mer 24 Fév - 6:22

roby a écrit:
L'automne s'étale
En douceur
Il se sait saison authentique
Les forêts d’ocre, le paysage rustique
Le rêve d'un printemps
Couvant aux cœurs des vallées.
Le décor automnale n'est pas si mal
Les ombres, le vague à l'âme
Le crépuscule en deuil
Pour toutes les feuilles virulentes
Prêtes à partir
Une sensation de funèbre
Ne cesse de jaillir
De la terre qui fait sa sieste hibernale

Une saison passe
une autre arrive
mais c'est nous en fait qui passons à la dérive......

par **davidof** Lun 28 Déc - 18:29

L’automne

On voit tout le temps, en automne,
Quelque chose qui vous étonne,
C’est une branche, tout à coup,
Qui s’effeuille dans votre cou.

C’est un petit arbre tout rouge,
Un, d’une autre couleur encor,
Et puis, partout, ces feuilles d’or
Qui tombent sans que rien ne bouge.

Nous aimons bien cette saison,
Mais la nuit si tôt va descendre !
Retournons vite à la maison
Rôtir nos marrons dans la cendre.

Lucie DELARUE-MARDRUS

par **miss Béa** Sam 26 Déc - 18:54

roby a écrit:
L'automne s'étale
En douceur
Il se sait saison authentique
Les forêts d’ocre, le paysage rustique
Le rêve d'un printemps
Couvant aux cœurs des vallées.
Le décor automnale n'est pas si mal
Les ombres, le vague à l'âme
Le crépuscule en deuil
Pour toutes les feuilles virulentes
Prêtes à partir
Une sensation de funèbre
Ne cesse de jaillir
De la terre qui fait sa sieste hibernale

Je suis ok dac avec toi, l'automne n'est pas une morte saison, mais au contraire elle est saison faisant la sieste afin de se reposer en hiver et de renaître au printemps...

Très joli, biz
Béa

par roby Jeu 24 Déc - 10:39

rayane a écrit:"Ce vent léger qui te frôle
Ce vent qui te secoue
La cravate au cou
Ce vent qui ratisse
Ce vent qui balaie
Qui balance les rameaux
Qui berce les souvenances
Ce vent qui légèrement mugit
Qui doucement murmure
Ce vent qui soulève
Insidieusement les soucis
Ce vent qui ressuscite les jours happés
Pour toujours par le temps
Ce vent qui évoque l'enfance
À jamais engloutie
Par les ans
Ce vent léger qui te frôle
O passant
C'est un peu de toi qui s'effrite
C'est un peu
De toi qui
Peu à peu s'amenuise
Peu à peu s'en va".

Ahmed El Inani, Maroc.

Beau partage, je ne connaissais pas ce poète.Merci

par roby Jeu 24 Déc - 10:38

Abdeslam a écrit:
roby a écrit:
L'automne s'étale
En douceur
Il se sait saison authentique
Les forêts d’ocre, le paysage rustique
Le rêve d'un printemps
Couvant aux cœurs des vallées.
Le décor automnale n'est pas si mal
Les ombres, le vague à l'âme
Le crépuscule en deuil
Pour toutes les feuilles virulentes
Prêtes à partir
Une sensation de funèbre
Ne cesse de jaillir
De la terre qui fait sa sieste hibernale

Après les ardeurs estivales, le "calme" automnal, avant la tempête hivernale.
Beau texte, tableau triste de la réalité de cette saison "authentique".

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Bien résumé abdeslam, AINSI VA LA VIE. Merci

par roby Jeu 24 Déc - 10:37

nisrine nacer a écrit:
roby a écrit:
L'automne s'étale
En douceur
Il se sait saison authentique
Les forêts d’ocre, le paysage rustique
Le rêve d'un printemps
Couvant aux cœurs des vallées.
Le décor automnale n'est pas si mal
Les ombres, le vague à l'âme
Le crépuscule en deuil
Pour toutes les feuilles virulentes
Prêtes à partir
Une sensation de funèbre
Ne cesse de jaillir
De la terre qui fait sa sieste hibernale
Une saison de passage
Pour livrer passage au printemps
Qui viendra bientôt

au fait c'est la vie qui est saisons! et bienôt elle sera passée!

par rayane Mar 1 Déc - 7:47

"Ce vent léger qui te frôle
Ce vent qui te secoue
La cravate au cou
Ce vent qui ratisse
Ce vent qui balaie
Qui balance les rameaux
Qui berce les souvenances
Ce vent qui légèrement mugit
Qui doucement murmure
Ce vent qui soulève
Insidieusement les soucis
Ce vent qui ressuscite les jours happés
Pour toujours par le temps
Ce vent qui évoque l'enfance
À jamais engloutie
Par les ans
Ce vent léger qui te frôle
O passant
C'est un peu de toi qui s'effrite
C'est un peu
De toi qui
Peu à peu s'amenuise
Peu à peu s'en va".

Ahmed El Inani, Maroc.

par Abdeslam Dim 29 Nov - 11:42

roby a écrit:
L'automne s'étale
En douceur
Il se sait saison authentique
Les forêts d’ocre, le paysage rustique
Le rêve d'un printemps
Couvant aux cœurs des vallées.
Le décor automnale n'est pas si mal
Les ombres, le vague à l'âme
Le crépuscule en deuil
Pour toutes les feuilles virulentes
Prêtes à partir
Une sensation de funèbre
Ne cesse de jaillir
De la terre qui fait sa sieste hibernale

Après les ardeurs estivales, le "calme" automnal, avant la tempête hivernale.
Beau texte, tableau triste de la réalité de cette saison "authentique".

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

par nisrine nacer Dim 29 Nov - 9:11

roby a écrit:
L'automne s'étale
En douceur
Il se sait saison authentique
Les forêts d’ocre, le paysage rustique
Le rêve d'un printemps
Couvant aux cœurs des vallées.
Le décor automnale n'est pas si mal
Les ombres, le vague à l'âme
Le crépuscule en deuil
Pour toutes les feuilles virulentes
Prêtes à partir
Une sensation de funèbre
Ne cesse de jaillir
De la terre qui fait sa sieste hibernale

Une saison de passage
Pour livrer passage au printemps
Qui viendra bientôt

par roby Mer 18 Nov - 7:21

L'automne s'étale
En douceur
Il se sait saison authentique
Les forêts d’ocre, le paysage rustique
Le rêve d'un printemps
Couvant aux cœurs des vallées.
Le décor automnale n'est pas si mal
Les ombres, le vague à l'âme
Le crépuscule en deuil
Pour toutes les feuilles virulentes
Prêtes à partir
Une sensation de funèbre
Ne cesse de jaillir
De la terre qui fait sa sieste hibernale

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