REVES… EPHEMERES
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REVES… EPHEMERES
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A : Anita
…A force de veiller
De compter le nombre d’étoiles
Je finis par sombrer dans la nuit
Mes prunelles s’alourdissent
Et je rêve les membres détendus
Les rêves s’ajoutent aux rêves
Et le tout m’emporte vers d’autres cimes
J’oublie les racines de mon identité
Je ne me souviens plus des codes
Je deviens un autre… passager
Métamorphosé par d’autres destinées
On joue inconsciemment d’autres rôles
Ou de simples figurants…dans un décor
Quand la nuit s’en va de ses pas lents
Quand les heures s’écoulent sans tic-tac
Quand on s’évapore doucement
Comme une perle de rosée
Dans le cœur d’une rose
On chante sans voix
On parle sans parole
On étreint sans bras
On marche sans pieds
On s’élève sans ailes
On franchit les frontières lointaines
Et on s’évade sous d’autres horizons
On ne peut pas intercepter le rêve
C’est une sorte de liberté
Et quand l’aube pointe
Que la rumeur s’installe
Qu’un fugitif rayon nous dévisage
Dévoile le miroir de l’ultime retour
Il vient se suspendre à notre insu
Et nous fait tout oublier
On soupire sur l’oreiller solitaire
De ne plus vivre ailleurs… !
Le jour se lève avec ses défis
On court dans les bras des villes
Pour une autre avancée
Dans l’axe irrégulier… de la vie
Kacem loubay
Mardi 9 Mars 2004
Khénifra - Maroc
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Le poète de l’autre rive
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A : Anita
…A force de veiller
De compter le nombre d’étoiles
Je finis par sombrer dans la nuit
Mes prunelles s’alourdissent
Et je rêve les membres détendus
Les rêves s’ajoutent aux rêves
Et le tout m’emporte vers d’autres cimes
J’oublie les racines de mon identité
Je ne me souviens plus des codes
Je deviens un autre… passager
Métamorphosé par d’autres destinées
On joue inconsciemment d’autres rôles
Ou de simples figurants…dans un décor
Quand la nuit s’en va de ses pas lents
Quand les heures s’écoulent sans tic-tac
Quand on s’évapore doucement
Comme une perle de rosée
Dans le cœur d’une rose
On chante sans voix
On parle sans parole
On étreint sans bras
On marche sans pieds
On s’élève sans ailes
On franchit les frontières lointaines
Et on s’évade sous d’autres horizons
On ne peut pas intercepter le rêve
C’est une sorte de liberté
Et quand l’aube pointe
Que la rumeur s’installe
Qu’un fugitif rayon nous dévisage
Dévoile le miroir de l’ultime retour
Il vient se suspendre à notre insu
Et nous fait tout oublier
On soupire sur l’oreiller solitaire
De ne plus vivre ailleurs… !
Le jour se lève avec ses défis
On court dans les bras des villes
Pour une autre avancée
Dans l’axe irrégulier… de la vie
Kacem loubay
Mardi 9 Mars 2004
Khénifra - Maroc
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Le poète de l’autre rive
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Re: REVES… EPHEMERES
on est voyageur malgré nos, on marche avec cette sensation d'etre immobile...
ton texte, nous laisse entendre à peine un bruit... celui de nos pas..
ton texte, nous laisse entendre à peine un bruit... celui de nos pas..
amadin- Nombre de messages : 202
Date d'inscription : 28/09/2009
Re: REVES… EPHEMERES
Le rêve et le voyage deux activités des êtres qui cherchent le changement, l'épanouissement et la mobilisation. Le voyage nous transporte corps et âmes.Le rêve lui, ne prend de nous qu'une partie pour nous faire flâner.Beau texte Kacem.kacem_loubay a écrit:REVES… EPHEMERES
A : Anita
…A force de veiller
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Et je rêve les membres détendus
Les rêves s’ajoutent aux rêves
Et le tout m’emporte vers d’autres cimes
J’oublie les racines de mon identité
Je ne me souviens plus des codes
Je deviens un autre… passager
Métamorphosé par d’autres destinées
On joue inconsciemment d’autres rôles
Ou de simples figurants…dans un décor
Quand la nuit s’en va de ses pas lents
Quand les heures s’écoulent sans tic-tac
Quand on s’évapore doucement
Comme une perle de rosée
Dans le cœur d’une rose
On chante sans voix
On parle sans parole
On étreint sans bras
On marche sans pieds
On s’élève sans ailes
On franchit les frontières lointaines
Et on s’évade sous d’autres horizons
On ne peut pas intercepter le rêve
C’est une sorte de liberté
Et quand l’aube pointe
Que la rumeur s’installe
Qu’un fugitif rayon nous dévisage
Dévoile le miroir de l’ultime retour
Il vient se suspendre à notre insu
Et nous fait tout oublier
On soupire sur l’oreiller solitaire
De ne plus vivre ailleurs… !
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Kacem loubay
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rayane- Nombre de messages : 1418
Date d'inscription : 23/09/2008
Re: REVES… EPHEMERES
Les rêves sont la littérature du sommeil: Jean Cocteau
karim safriwi- Nombre de messages : 615
Date d'inscription : 03/07/2008
kimannzo- Nombre de messages : 898
loisirs : ecriture; équitation;jogging
Humeur : dynamique...
Date d'inscription : 27/05/2009
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