l'aube sur ton dos
+3
cristopher-cris
rayane
Heartshiver
7 participants
Page 1 sur 1
l'aube sur ton dos
La digue éclaboussée à l’indigo diaphane
Aux chants d’alchimie des vagues sur la roche
La voie écumée transperçant les montagnes
Tremble aux amorties d’étoiles qui ricochent
Sur la lande étirée aux reflets mélomanes
Dorsale alunie de l’écliptique proche
Les paillettes d’orée étiolent du titane
Dans l’allotropie d’étreintes qui se pochent
Course noctambule désir supernova
La belle irradiation des astres en manège
Volte aux molécules par-dessus les quanta
Des poudres d’évasion d’un baiser en solfège
Les peaux diagonales baignent dans leur délice
Les amants font égal jusqu’à leurs frontispices
Icône lactée de notre incandescence
dans l’asystolie d’effusions de corolles
La rumba saccadée à même pas de danse
Silhouette unie les ombres sur le sol
Renfle fugue enlacée entre synchrone essence
Aux chamailleries détroit de notre atoll
Le désordre enrobé aux pulsions d’évidences
Sur la plage infinie où tes yeux baby-doll
Les frissons feux follets le souffre étincelant
Parcourent guerre et paix le souffle des amants
Mesure impalpable d’amour métempsychose
Chaque aube où l’on renaît toccata tête au vent
La source invariable d’une rosée éclose
Éblouie au sommet nos pétales de sang
Merveille remontée au coeur adamantin
À l’apologie d’une lèvre architrave
Où la rive exaltée aux spectres du matin
Pourchasse ébahie les caresses concaves
Près d’un lac inondé des corps en terre-plein
La pulpe rafraîchie à l’aube de goyave
Zigzag l’eau bleutée sous un soleil d’étains
Nectar qui s’amplifie entre bouches suaves
Isthme aux deltoïdes la chair azulejo
Des âmes s’oxydent l’ivresse en caraco
Trempant aux méridiens des pulsions radicelles
Passion Atlantide cocktail bar vertigo
Aux éclats rétiniens des corps qui se morcèlent
Paille dans le vide sur courbe de ton dos
Aux chants d’alchimie des vagues sur la roche
La voie écumée transperçant les montagnes
Tremble aux amorties d’étoiles qui ricochent
Sur la lande étirée aux reflets mélomanes
Dorsale alunie de l’écliptique proche
Les paillettes d’orée étiolent du titane
Dans l’allotropie d’étreintes qui se pochent
Course noctambule désir supernova
La belle irradiation des astres en manège
Volte aux molécules par-dessus les quanta
Des poudres d’évasion d’un baiser en solfège
Les peaux diagonales baignent dans leur délice
Les amants font égal jusqu’à leurs frontispices
Icône lactée de notre incandescence
dans l’asystolie d’effusions de corolles
La rumba saccadée à même pas de danse
Silhouette unie les ombres sur le sol
Renfle fugue enlacée entre synchrone essence
Aux chamailleries détroit de notre atoll
Le désordre enrobé aux pulsions d’évidences
Sur la plage infinie où tes yeux baby-doll
Les frissons feux follets le souffre étincelant
Parcourent guerre et paix le souffle des amants
Mesure impalpable d’amour métempsychose
Chaque aube où l’on renaît toccata tête au vent
La source invariable d’une rosée éclose
Éblouie au sommet nos pétales de sang
Merveille remontée au coeur adamantin
À l’apologie d’une lèvre architrave
Où la rive exaltée aux spectres du matin
Pourchasse ébahie les caresses concaves
Près d’un lac inondé des corps en terre-plein
La pulpe rafraîchie à l’aube de goyave
Zigzag l’eau bleutée sous un soleil d’étains
Nectar qui s’amplifie entre bouches suaves
Isthme aux deltoïdes la chair azulejo
Des âmes s’oxydent l’ivresse en caraco
Trempant aux méridiens des pulsions radicelles
Passion Atlantide cocktail bar vertigo
Aux éclats rétiniens des corps qui se morcèlent
Paille dans le vide sur courbe de ton dos
Heartshiver- Nombre de messages : 96
Date d'inscription : 29/10/2009
Re: l'aube sur ton dos
Heartshiver a écrit:La digue éclaboussée à l’indigo diaphane
Aux chants d’alchimie des vagues sur la roche
La voie écumée transperçant les montagnes
Tremble aux amorties d’étoiles qui ricochent
Sur la lande étirée aux reflets mélomanes
Dorsale alunie de l’écliptique proche
Les paillettes d’orée étiolent du titane
Dans l’allotropie d’étreintes qui se pochent
Course noctambule désir supernova
La belle irradiation des astres en manège
Volte aux molécules par-dessus les quanta
Des poudres d’évasion d’un baiser en solfège
Les peaux diagonales baignent dans leur délice
Les amants font égal jusqu’à leurs frontispices
Icône lactée de notre incandescence
dans l’asystolie d’effusions de corolles
La rumba saccadée à même pas de danse
Silhouette unie les ombres sur le sol
Renfle fugue enlacée entre synchrone essence
Aux chamailleries détroit de notre atoll
Le désordre enrobé aux pulsions d’évidences
Sur la plage infinie où tes yeux baby-doll
Les frissons feux follets le souffre étincelant
Parcourent guerre et paix le souffle des amants
Mesure impalpable d’amour métempsychose
Chaque aube où l’on renaît toccata tête au vent
La source invariable d’une rosée éclose
Éblouie au sommet nos pétales de sang
Merveille remontée au coeur adamantin
À l’apologie d’une lèvre architrave
Où la rive exaltée aux spectres du matin
Pourchasse ébahie les caresses concaves
Près d’un lac inondé des corps en terre-plein
La pulpe rafraîchie à l’aube de goyave
Zigzag l’eau bleutée sous un soleil d’étains
Nectar qui s’amplifie entre bouches suaves
Isthme aux deltoïdes la chair azulejo
Des âmes s’oxydent l’ivresse en caraco
Trempant aux méridiens des pulsions radicelles
Passion Atlantide cocktail bar vertigo
Aux éclats rétiniens des corps qui se morcèlent
Paille dans le vide sur courbe de ton dos
Music en vers! la passion fait écrire de belles courbes...rimées
rayane- Nombre de messages : 1418
Date d'inscription : 23/09/2008
Re: l'aube sur ton dos
Étincelants les mots des corps en harmonie. Bon partage.Heartshiver a écrit:La digue éclaboussée à l’indigo diaphane
Aux chants d’alchimie des vagues sur la roche
La voie écumée transperçant les montagnes
Tremble aux amorties d’étoiles qui ricochent
Sur la lande étirée aux reflets mélomanes
Dorsale alunie de l’écliptique proche
Les paillettes d’orée étiolent du titane
Dans l’allotropie d’étreintes qui se pochent
Course noctambule désir supernova
La belle irradiation des astres en manège
Volte aux molécules par-dessus les quanta
Des poudres d’évasion d’un baiser en solfège
Les peaux diagonales baignent dans leur délice
Les amants font égal jusqu’à leurs frontispices
Icône lactée de notre incandescence
dans l’asystolie d’effusions de corolles
La rumba saccadée à même pas de danse
Silhouette unie les ombres sur le sol
Renfle fugue enlacée entre synchrone essence
Aux chamailleries détroit de notre atoll
Le désordre enrobé aux pulsions d’évidences
Sur la plage infinie où tes yeux baby-doll
Les frissons feux follets le souffre étincelant
Parcourent guerre et paix le souffle des amants
Mesure impalpable d’amour métempsychose
Chaque aube où l’on renaît toccata tête au vent
La source invariable d’une rosée éclose
Éblouie au sommet nos pétales de sang
Merveille remontée au coeur adamantin
À l’apologie d’une lèvre architrave
Où la rive exaltée aux spectres du matin
Pourchasse ébahie les caresses concaves
Près d’un lac inondé des corps en terre-plein
La pulpe rafraîchie à l’aube de goyave
Zigzag l’eau bleutée sous un soleil d’étains
Nectar qui s’amplifie entre bouches suaves
Isthme aux deltoïdes la chair azulejo
Des âmes s’oxydent l’ivresse en caraco
Trempant aux méridiens des pulsions radicelles
Passion Atlantide cocktail bar vertigo
Aux éclats rétiniens des corps qui se morcèlent
Paille dans le vide sur courbe de ton dos
cristopher-cris- Nombre de messages : 2748
loisirs : lecture, voyage
Date d'inscription : 18/07/2008
Re: l'aube sur ton dos
Belle aube que voilà sous nos yeux.Au plaisir de vous relire.
karim safriwi- Nombre de messages : 615
Date d'inscription : 03/07/2008
Re: l'aube sur ton dos
merci messieurs
m'erre si m'essieu
mer cîme et cieux
même si mon coeur freeze dans la rue où se tournent mes rêves
jcontinue maladroitement à me réfugier dans l'illusion de la poésie
et quand la réalité s'effiloche au boulevard des feux de ma sève
jme dis que mes tourments sont rien comparés à cmonde de folie
heureusement le hasard des fois chamboule son conte à rebours
laissant à vous prélasser des heures passées dans des flammes rousses
celles qui vous touchent au bout de votre brulure concupiscente d'amour
mènant irrémédiablement à contempler l'effluve d'une muse qui vous mousse
lol
ainsi donc en attendant une muse,
je m'émousse flibuste en tit mousse le pompon à raz de sa marée cage.
ainsi donc je lui dirais sans ruses,
Je suis la houle qui t'hèle voguant sur ta peau de coquillage collé à mon oreille
où j'écoute le firmament et l'océan alphabétiser les vagues illettrées
dans l'osmose en décomposition romanesque du vertige de tes rayons de soleil.
Merci.
m'erre si m'essieu
mer cîme et cieux
même si mon coeur freeze dans la rue où se tournent mes rêves
jcontinue maladroitement à me réfugier dans l'illusion de la poésie
et quand la réalité s'effiloche au boulevard des feux de ma sève
jme dis que mes tourments sont rien comparés à cmonde de folie
heureusement le hasard des fois chamboule son conte à rebours
laissant à vous prélasser des heures passées dans des flammes rousses
celles qui vous touchent au bout de votre brulure concupiscente d'amour
mènant irrémédiablement à contempler l'effluve d'une muse qui vous mousse
lol
ainsi donc en attendant une muse,
je m'émousse flibuste en tit mousse le pompon à raz de sa marée cage.
ainsi donc je lui dirais sans ruses,
Je suis la houle qui t'hèle voguant sur ta peau de coquillage collé à mon oreille
où j'écoute le firmament et l'océan alphabétiser les vagues illettrées
dans l'osmose en décomposition romanesque du vertige de tes rayons de soleil.
Merci.
Dernière édition par Heartshiver le Ven 13 Nov - 11:39, édité 1 fois
Heartshiver- Nombre de messages : 96
Date d'inscription : 29/10/2009
kimannzo- Nombre de messages : 898
loisirs : ecriture; équitation;jogging
Humeur : dynamique...
Date d'inscription : 27/05/2009
Re: l'aube sur ton dos
lol
merci kim
tu mréchauffes le coeur
sinon pour ma voix
elle est bien telle que tu l'imagines
lol
jt'envoie un White kiss à la caresse d'un Barry
merci kim
tu mréchauffes le coeur
sinon pour ma voix
elle est bien telle que tu l'imagines
lol
jt'envoie un White kiss à la caresse d'un Barry
Heartshiver- Nombre de messages : 96
Date d'inscription : 29/10/2009
Re: l'aube sur ton dos
justeHeartshiver a écrit:
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
The Police - So Lonely
merci messieurs
m'erre si m'essieu
mer cîme et cieux
même si mon coeur freeze dans la rue où se tournent mes rêves
jcontinue maladroitement à me réfugier dans l'illusion de la poésie
et quand la réalité s'effiloche au boulevard des feux de ma sève
jme dis que mes tourments sont rien comparés à cmonde de folie
heureusement le hasard des fois chamboule son conte à rebours
laissant à vous prélasser des heures passées dans des flammes rousses
celles qui vous touchent au bout de votre brulure concupiscente d'amour
mènant irrémédiablement à contempler l'effluve d'une muse qui vous mousse
lol
ainsi donc en attendant une muse,
je m'émousse flibuste en tit mousse le pompon à raz de sa marée cage.
ainsi donc je lui dirais sans ruses,
Je suis la houle qui t'hèle voguant sur ta peau de coquillage collé à mon oreille
où j'écoute le firmament et l'océan alphabétiser les vagues illettrées
dans l'osmose en décomposition romanesque du vertige de tes rayons de soleil.
Merci.
sandrine jillou- Nombre de messages : 1700
loisirs : écrire, courir, vélo.
Date d'inscription : 08/10/2008
cristopher-cris- Nombre de messages : 2748
loisirs : lecture, voyage
Date d'inscription : 18/07/2008
Re: l'aube sur ton dos
merci vous deux,
en me baladant sur you tube, j'ai croisé cette chanson qui m'a touché,
Renaud-Petite fille des sombres rues
bonne continuation
en me baladant sur you tube, j'ai croisé cette chanson qui m'a touché,
Renaud-Petite fille des sombres rues
bonne continuation
Heartshiver- Nombre de messages : 96
Date d'inscription : 29/10/2009
Re: l'aube sur ton dos
Confusion raffinée à même ta chapelle
L’évanescence aux lois de riffs pyrroliques
L’entrejambe accolé sur les valeurs charnelles
Aux vitraux de soie d’un éveil magnétique
Empreinte illimitée érosion visuelle
Entre les picotas d’un lierre épidermique
Frottis d’intimité qu’émotions déficellent
Fléchant de candelas les siphons extatiques
Chorus clavicules palpables serpentines
Les lueurs concrètes granulent les élans
Aux bassins qu’ondulent sur la grève divine
L’ébauche secrète de chavirer le temps
Souffles sur ta mèche rouleaux à nous frémir
Séant aux pourlèches l’entr’aperçu chavire
Lagon d’eau violetée archipel d’un trésor
Caché aux cambrures de ton panorama
Pulpe édulcorée pastel au bout des doigts
Les flux en fourrures des entre peaux fluors
Tectonique racée à l’ambre araucaria
Sous les chamarrures d’épis technicolors
Où l’effluve émincée au même météore
Brûle aux commissures des lèvres chinchillas
Cierge fondu de chairs par frôlement sismique
Cœurs aux riches terres paillettes chromatiques
Le rougeoiement bleu au silo de tes reins
Chambre hôtel des dieux le diable entre tes seins
Les murs au vent mohair de flammes cinétiques
Tournoyant sans milieu nos échos aériens
Heartshiver- Nombre de messages : 96
Date d'inscription : 29/10/2009
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum