Ay Marieke Marieke !

Ay Marieke Marieke !
Pseudo-poème inspiré de la célèbre chanson de qui vous savez

Affamé et enflammé, de et par ses mots
Sollicitant l’olivier de son Rameau
Vivant, survivant, de et à ma défaite
Occultée, sans panache, par mes pirouettes

Mendiant un armistice qui se fait attendre
A tendre la joue on se fait surprendre
Sûr qu’à prendre ou à laisser, on préfère
Refaire l’instant avant que ça dégénère

Refaire, se refaire, se soumettre à l’infini
Comme un rat je suis refait, en catimini
Comme un rat, je suis pris à son piège
Elle m’a tout pris, la rebelle de Liège !

Plus brisé que le fameux vase de Soissons
Plus désarticulé qu’une poupée de son
Flamingant dans les landes du Plat Pays
Dans la recherche de Marieke j’ai failli

Ay Marieke Marieke, je t’aimais tant
Entre l’enclume de tes fesses, pourtant
J’avais du mal à trouver mes aises
Occis par le marteau de tes fadaises

Tes « chéri » lancés à l’emporte-pièce
Tes « baises-moi » avec ou sans caresses
Ta manière de t’empaler sur ma bite
En disent long sur ton amour baise-vite

Et les sentiments, bordel, y penses-tu ?
Vois-tu plus loin que le bout de ton cul ?
Erotiser à outrance c’est bien beau
Mais il y a le risque de virer robot !

Pourtant j’entrevois un espoir fugace
Qu’une salutaire romance reprenne sa place
Quand tu me dis, à l’heure du départ
Que tu souhaites encore me revoir

Mon cœur s’envole alors vers les cimes
En oublie son stress et sa déprime
Pour ne plus penser qu’à l’instant magique
Où reviendra Marieke la magnifique !

Abdeslam a écrit:Ay Marieke Marieke !
Pseudo-poème inspiré de la célèbre chanson de qui vous savez

Affamé et enflammé, de et par ses mots
Sollicitant l’olivier de son Rameau
Vivant, survivant, de et à ma défaite
Occultée, sans panache, par mes pirouettes

Mendiant un armistice qui se fait attendre
A tendre la joue on se fait surprendre
Sûr qu’à prendre ou à laisser, on préfère
Refaire l’instant avant que ça dégénère

Refaire, se refaire, se soumettre à l’infini
Comme un rat je suis refait, en catimini
Comme un rat, je suis pris à son piège
Elle m’a tout pris, la rebelle de Liège !

Plus brisé que le fameux vase de Soissons
Plus désarticulé qu’une poupée de son
Flamingant dans les landes du Plat Pays
Dans la recherche de Marieke j’ai failli

Ay Marieke Marieke, je t’aimais tant
Entre l’enclume de tes fesses, pourtant
J’avais du mal à trouver mes aises
Occis par le marteau de tes fadaises

Tes « chéri » lancés à l’emporte-pièce
Tes « baises-moi » avec ou sans caresses
Ta manière de t’empaler sur ma bite
En disent long sur ton amour baise-vite

Et les sentiments, bordel, y penses-tu ?
Vois-tu plus loin que le bout de ton cul ?
Erotiser à outrance c’est bien beau
Mais il y a le risque de virer robot !

Pourtant j’entrevois un espoir fugace
Qu’une salutaire romance reprenne sa place
Quand tu me dis, à l’heure du départ
Que tu souhaites encore me revoir

Mon cœur s’envole alors vers les cimes
En oublie son stress et sa déprime
Pour ne plus penser qu’à l’instant magique
Où reviendra Marieke la magnifique !

Deux fois posté ce beau poème! mais c'est qu'il le vaut vraiment.