L'HOMME

yefimia a écrit:L’homme


Dans mon enfance, j’ai connu un oiseau,
De cœur petit comme une noisette,
Mort de tristesse le troisième matin,
Quand les hommes ont ôtés son nid et sa forêt.

Je me souviens d’un vieux et triste cabot,
Qui a trouvé la force de mourir de chagrin,
Quand elle a disparu la main généreuse,
Qui offrait l’os, les caresses et les coups.

Seul, j’ai survécu la mort des êtres aimés,
Plein des amis chers ont disparu dans le noir,
J’ai vaincu les trahisons, les injures et adieux,
Mais toujours j’ai envi de soleil et des hommes.

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yefimia a écrit:L’homme


Dans mon enfance, j’ai connu un oiseau,
De cœur petit comme une noisette,
Mort de tristesse le troisième matin,
Quand les hommes ont ôtés son nid et sa forêt.

Je me souviens d’un vieux et triste cabot,
Qui a trouvé la force de mourir de chagrin,
Quand elle a disparu la main généreuse,
Qui offrait l’os, les caresses et les coups.

Seul, j’ai survécu la mort des êtres aimés,
Plein des amis chers ont disparu dans le noir,
J’ai vaincu les trahisons, les injures et adieux,
Mais toujours j’ai envi de soleil et des hommes.

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Mais toujours j’ai envi de soleil et des hommes.

atouthasard a écrit:

Mais toujours j’ai envi de soleil et des hommes.

Si tu connais la main au bas du parchemin
l'écrit sera sans fin et surtout sans chagrin
on dira les matins, on lira le destin
on fera bien le pain, ma mie est en chemin




Salut l'ami

L'ami RÉ