MA JEUNESSE ENVOLEE

Voilà qu'elles s'éloignent les heures de ma jeunesse,
Cette candeur d'aimer, les illusions perdues
Et le droit à l'espoir quand passe la tristesse
dans l'immortalité des pensées ingénues !

C'est fini cet orgueil de domminer un peu,
de se vouloir poète, de croire son âme bonne,
S'en vont à l'horizon jusqu'au soleil de feu
mes désirs insensés...et le destin résonne !

Ma jeunesse envolée
A le goût du regret
Mais je vais mon chemin
Vers d'autres lendemains !

Elles vont, pèlerinant, mes amours innocentes
Qui savaient aspirer la douceur des parfums,
les effluves ambiantes, sans crainte qu'elles s'éventent,
je pose mon regard sur ce passé défunt !

D'étranges nostalgies habitent mon "pensoir",
Ne pouvant plus séduire, éteindre mes printemps,
C'est la vie qui m'étreint et me force à m'asseoir
Sur les marches du temps au crépuscule naissant !

L'agonie d'un hier qui ne dit pas son nom
Se perd sous la paupière et brûle la pupille,
le temps d'un souvenir qui erre et puis se fond
dans l'espace "résilience" où l'angoisse vacille !

A crever l'amertume qui pollue mon miroir,
je fais de ma jeunesse un asile rassurant
Où je vais me poser et relire l'histoire
Au mépris de ces rides, à la barbe du temps !

Ma jeunesse envolée
A le goût du regret
Mais je vais mon chemin
je verrais bien demain !


kimannzo [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

sois tranquille, demain n'est pas assez loin, juste pour murir et devenir sage.

kimannzo a écrit:Voilà qu'elles s'éloignent les heures de ma jeunesse,
Cette candeur d'aimer, les illusions perdues
Et le droit à l'espoir quand passe la tristesse
dans l'immortalité des pensées ingénues !

C'est fini cet orgueil de domminer un peu,
de se vouloir poète, de croire son âme bonne,
S'en vont à l'horizon jusqu'au soleil de feu
mes désirs insensés...et le destin résonne !

Ma jeunesse envolée
A le goût du regret
Mais je vais mon chemin
Vers d'autres lendemains !

Elles vont, pèlerinant, mes amours innocentes
Qui savaient aspirer la douceur des parfums,
les effluves ambiantes, sans crainte qu'elles s'éventent,
je pose mon regard sur ce passé défunt !

D'étranges nostalgies habitent mon "pensoir",
Ne pouvant plus séduire, éteindre mes printemps,
C'est la vie qui m'étreint et me force à m'asseoir
Sur les marches du temps au crépuscule naissant !

L'agonie d'un hier qui ne dit pas son nom
Se perd sous la paupière et brûle la pupille,
le temps d'un souvenir qui erre et puis se fond
dans l'espace "résilience" où l'angoisse vacille !

A crever l'amertume qui pollue mon miroir,
je fais de ma jeunesse un asile rassurant
Où je vais me poser et relire l'histoire
Au mépris de ces rides, à la barbe du temps !

Ma jeunesse envolée
A le goût du regret
Mais je vais mon chemin
je verrais bien demain !


kimannzo

Ma joe, tu es triste? je te donne mon sourire pour te soutenir, mon bras pour te tenir loin de tes larmes, et mon amitié pour te chauffer le coeur.
Et pour toi [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

La belle plume se fait absente?
Pour elle [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] bouquet d'amitié