Pour vous, Madame

Nelly a écrit:Je ne suis pas Apollon,
Ma jeunesse a fui Madame,
Pourtant mon sentiment pour vous
S'élève, je le sens, au bonheur suprême.


Je vous offre mon bien le plus précieux,
Celui qui ne se monnaye point,
Celui dont la valeur dans les cieux
Est égale à mon désir couché dans l'écrin.


Comment vivre sans l'illusion que vous m'aimez,
Comment puis-je me soumettre à si grande torture,
Quand votre visage d'opaline, votre douce chevelure,
Vos prunelles turquoise sont un appel à l'amour.


Envahie de votre personne, belle dame
Les soirées s'étirent à n'en plus finir,
Mes nuits sont calvaires à ne plus dormir,
Vous adorez est devenu pour moi, un drame...


Si loin de vous je dois exister,
Se sera dans le chagrin, résigné,
Et mes penchants pour vous Madame
Iront dans l'oubli, la mort dans l'âme.


Si il fallait ma vie vous offrir,
Je le ferai sans aucuns regrets,
Et si cela ne suffisait à votre désir
Mon âme, je serai prêt à sacrifier.


D'amour pour vous, je me meurs.
Quand mes paupières seront closes,
Que mon cœur fané comme la rose,
Déposera son doux parfum, pour vous,
Madame .....


Nelly Le 02/10/2009

Nelly a écrit:Je ne suis pas Apollon,
Ma jeunesse a fui Madame,
Pourtant mon sentiment pour vous
S'élève, je le sens, au bonheur suprême.


Je vous offre mon bien le plus précieux,
Celui qui ne se monnaye point,
Celui dont la valeur dans les cieux
Est égale à mon désir couché dans l'écrin.


Comment vivre sans l'illusion que vous m'aimez,
Comment puis-je me soumettre à si grande torture,
Quand votre visage d'opaline, votre douce chevelure,
Vos prunelles turquoise sont un appel à l'amour.


Envahie de votre personne, belle dame
Les soirées s'étirent à n'en plus finir,
Mes nuits sont calvaires à ne plus dormir,
Vous adorez est devenu pour moi, un drame...


Si loin de vous je dois exister,
Se sera dans le chagrin, résigné,
Et mes penchants pour vous Madame
Iront dans l'oubli, la mort dans l'âme.


Si il fallait ma vie vous offrir,
Je le ferai sans aucuns regrets,
Et si cela ne suffisait à votre désir
Mon âme, je serai prêt à sacrifier.


D'amour pour vous, je me meurs.
Quand mes paupières seront closes,
Que mon cœur fané comme la rose,
Déposera son doux parfum, pour vous,
Madame .....


Nelly Le 02/10/2009

Nelly a écrit:Je ne suis pas Apollon,
Ma jeunesse a fui Madame,
Pourtant mon sentiment pour vous
S'élève, je le sens, au bonheur suprême.


Je vous offre mon bien le plus précieux,
Celui qui ne se monnaye point,
Celui dont la valeur dans les cieux
Est égale à mon désir couché dans l'écrin.


Comment vivre sans l'illusion que vous m'aimez,
Comment puis-je me soumettre à si grande torture,
Quand votre visage d'opaline, votre douce chevelure,
Vos prunelles turquoise sont un appel à l'amour.


Envahie de votre personne, belle dame
Les soirées s'étirent à n'en plus finir,
Mes nuits sont calvaires à ne plus dormir,
Vous adorez est devenu pour moi, un drame...


Si loin de vous je dois exister,
Se sera dans le chagrin, résigné,
Et mes penchants pour vous Madame
Iront dans l'oubli, la mort dans l'âme.


Si il fallait ma vie vous offrir,
Je le ferai sans aucuns regrets,
Et si cela ne suffisait à votre désir
Mon âme, je serai prêt à sacrifier.


D'amour pour vous, je me meurs.
Quand mes paupières seront closes,
Que mon cœur fané comme la rose,
Déposera son doux parfum, pour vous,
Madame .....


Nelly Le 02/10/2009

daniel a écrit:

Nelly a écrit:Je ne suis pas Apollon,
Ma jeunesse a fui Madame,
Pourtant mon sentiment pour vous
S'élève, je le sens, au bonheur suprême.


Je vous offre mon bien le plus précieux,
Celui qui ne se monnaye point,
Celui dont la valeur dans les cieux
Est égale à mon désir couché dans l'écrin.


Comment vivre sans l'illusion que vous m'aimez,
Comment puis-je me soumettre à si grande torture,
Quand votre visage d'opaline, votre douce chevelure,
Vos prunelles turquoise sont un appel à l'amour.


Envahie de votre personne, belle dame
Les soirées s'étirent à n'en plus finir,
Mes nuits sont calvaires à ne plus dormir,
Vous adorez est devenu pour moi, un drame...


Si loin de vous je dois exister,
Se sera dans le chagrin, résigné,
Et mes penchants pour vous Madame
Iront dans l'oubli, la mort dans l'âme.


Si il fallait ma vie vous offrir,
Je le ferai sans aucuns regrets,
Et si cela ne suffisait à votre désir
Mon âme, je serai prêt à sacrifier.


D'amour pour vous, je me meurs.
Quand mes paupières seront closes,
Que mon cœur fané comme la rose,
Déposera son doux parfum, pour vous,
Madame .....


Nelly Le 02/10/2009

Madame, vous lire est plaisir, vous faites luire les mots.

amadin a écrit:

Nelly a écrit:Je ne suis pas Apollon,
Ma jeunesse a fui Madame,
Pourtant mon sentiment pour vous
S'élève, je le sens, au bonheur suprême.


Je vous offre mon bien le plus précieux,
Celui qui ne se monnaye point,
Celui dont la valeur dans les cieux
Est égale à mon désir couché dans l'écrin.


Comment vivre sans l'illusion que vous m'aimez,
Comment puis-je me soumettre à si grande torture,
Quand votre visage d'opaline, votre douce chevelure,
Vos prunelles turquoise sont un appel à l'amour.


Envahie de votre personne, belle dame
Les soirées s'étirent à n'en plus finir,
Mes nuits sont calvaires à ne plus dormir,
Vous adorez est devenu pour moi, un drame...


Si loin de vous je dois exister,
Se sera dans le chagrin, résigné,
Et mes penchants pour vous Madame
Iront dans l'oubli, la mort dans l'âme.


Si il fallait ma vie vous offrir,
Je le ferai sans aucuns regrets,
Et si cela ne suffisait à votre désir
Mon âme, je serai prêt à sacrifier.


D'amour pour vous, je me meurs.
Quand mes paupières seront closes,
Que mon cœur fané comme la rose,
Déposera son doux parfum, pour vous,
Madame .....


Nelly Le 02/10/2009

c'est beau d'aimer avec des mots aussi doux.