Une Vague Dans L’Âme…
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sarah
amadin
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kacem_loubay
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Une Vague Dans L’Âme…
Une Vague Dans L’Âme…
A : Med OUCHAD
…On ne cesse de me dire :
Ton avenir est entre les mains
Lis les lignes entrouvertes... !
Je me perds dans les fragments
Les racines entremêlées, découpées
S’éloignent en des trajets abrupts…
Je cligne de l’œil
A travers le cloisonnement des mots
Les lettres aiguisées en dents de scie
Me toisent dans la froideur de l’aube
Et je me détourne de tout… !
On vient me saisir
Mes yeux s’accrochent à la muraille
Un cri strident dégagé quelque part
Un appel surgît de l’orée foisonnante
Me fait me détendre
Tel un arc fléchi dans son geste final
Et je sombre dans la nuit
La lumière crue me rend la mémoire
Ce ne sont que les derniers spasmes
D’une douleur innommable
Transitant des fibres d’un corps alourdi
Avant de se propager en torrents
Le tout charrie les scories d’un volcan
Qui ne fait que remuer ses membres
J’essaie de me relever, d’étendre les bras
D’allumer le dernier cierge suspendu
Sur les remparts d’une pile de livres séniles
Ma table de chevet vacille sous le poids
Des manuscrits à la teinte de feuilles mortes
Qu’écrase la lenteur de l’éveil… !
Hier persiste encore dans l’air
Un parfum vieilli avant terme
Croise ses bras sur chaque meuble
S’incruste dans les recoins les plus isolés
Il attend une autre aération de ses poumons
Possible que le prochain lever
Finira par rendre la vie aux choses inertes…
Une vague dans l’âme renoue les trames
Je suis ainsi sur le seuil d’une porte ouverte
Les yeux suivent à la dérobée tous les convois
Seul le soleil qui m'apparaît très loin
Me dit : lutte mon ami dans l’arène de la vie
Ne baisse jamais les bras devant la destinée…
kacem loubay
Mardi 11 Septembre 2007
Khénifra – Maroc
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Le poète de l'autre rive
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A : Med OUCHAD
…On ne cesse de me dire :
Ton avenir est entre les mains
Lis les lignes entrouvertes... !
Je me perds dans les fragments
Les racines entremêlées, découpées
S’éloignent en des trajets abrupts…
Je cligne de l’œil
A travers le cloisonnement des mots
Les lettres aiguisées en dents de scie
Me toisent dans la froideur de l’aube
Et je me détourne de tout… !
On vient me saisir
Mes yeux s’accrochent à la muraille
Un cri strident dégagé quelque part
Un appel surgît de l’orée foisonnante
Me fait me détendre
Tel un arc fléchi dans son geste final
Et je sombre dans la nuit
La lumière crue me rend la mémoire
Ce ne sont que les derniers spasmes
D’une douleur innommable
Transitant des fibres d’un corps alourdi
Avant de se propager en torrents
Le tout charrie les scories d’un volcan
Qui ne fait que remuer ses membres
J’essaie de me relever, d’étendre les bras
D’allumer le dernier cierge suspendu
Sur les remparts d’une pile de livres séniles
Ma table de chevet vacille sous le poids
Des manuscrits à la teinte de feuilles mortes
Qu’écrase la lenteur de l’éveil… !
Hier persiste encore dans l’air
Un parfum vieilli avant terme
Croise ses bras sur chaque meuble
S’incruste dans les recoins les plus isolés
Il attend une autre aération de ses poumons
Possible que le prochain lever
Finira par rendre la vie aux choses inertes…
Une vague dans l’âme renoue les trames
Je suis ainsi sur le seuil d’une porte ouverte
Les yeux suivent à la dérobée tous les convois
Seul le soleil qui m'apparaît très loin
Me dit : lutte mon ami dans l’arène de la vie
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kacem loubay
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Le poète de l'autre rive
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Re: Une Vague Dans L’Âme…
te revoilà kacem! où tu étais tout ce temps? ta muse va bien ça se voit!kacem_loubay a écrit:Une Vague Dans L’Âme…
A : Med OUCHAD
…On ne cesse de me dire :
Ton avenir est entre les mains
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Je me perds dans les fragments
Les racines entremêlées, découpées
S’éloignent en des trajets abrupts…
Je cligne de l’œil
A travers le cloisonnement des mots
Les lettres aiguisées en dents de scie
Me toisent dans la froideur de l’aube
Et je me détourne de tout… !
On vient me saisir
Mes yeux s’accrochent à la muraille
Un cri strident dégagé quelque part
Un appel surgît de l’orée foisonnante
Me fait me détendre
Tel un arc fléchi dans son geste final
Et je sombre dans la nuit
La lumière crue me rend la mémoire
Ce ne sont que les derniers spasmes
D’une douleur innommable
Transitant des fibres d’un corps alourdi
Avant de se propager en torrents
Le tout charrie les scories d’un volcan
Qui ne fait que remuer ses membres
J’essaie de me relever, d’étendre les bras
D’allumer le dernier cierge suspendu
Sur les remparts d’une pile de livres séniles
Ma table de chevet vacille sous le poids
Des manuscrits à la teinte de feuilles mortes
Qu’écrase la lenteur de l’éveil… !
Hier persiste encore dans l’air
Un parfum vieilli avant terme
Croise ses bras sur chaque meuble
S’incruste dans les recoins les plus isolés
Il attend une autre aération de ses poumons
Possible que le prochain lever
Finira par rendre la vie aux choses inertes…
Une vague dans l’âme renoue les trames
Je suis ainsi sur le seuil d’une porte ouverte
Les yeux suivent à la dérobée tous les convois
Seul le soleil qui m'apparaît très loin
Me dit : lutte mon ami dans l’arène de la vie
Ne baisse jamais les bras devant la destinée…
kacem loubay
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Le poète de l'autre rive
firdaws- Nombre de messages : 930
Humeur : joie de vie !
Date d'inscription : 21/05/2008
Re: Une Vague Dans L’Âme…
" souffre et tais-toi, et si tu es homme souviens-toi."
le poète se tait mais n'oublie jamais.
ce texte est bien un cri strident. Se débattent lumière et ténèbres.La plume grince....
très profond.
le poète se tait mais n'oublie jamais.
ce texte est bien un cri strident. Se débattent lumière et ténèbres.La plume grince....
très profond.
amadin- Nombre de messages : 202
Date d'inscription : 28/09/2009
Re: Une Vague Dans L’Âme…
cri profond qui déchir le silence pour aller vers l'horizon, aller vers un soleil nouveau, cri-espoir de vie. kacem.kacem_loubay a écrit:Une Vague Dans L’Âme…
A : Med OUCHAD
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Ton avenir est entre les mains
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Je me perds dans les fragments
Les racines entremêlées, découpées
S’éloignent en des trajets abrupts…
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Les lettres aiguisées en dents de scie
Me toisent dans la froideur de l’aube
Et je me détourne de tout… !
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Mes yeux s’accrochent à la muraille
Un cri strident dégagé quelque part
Un appel surgît de l’orée foisonnante
Me fait me détendre
Tel un arc fléchi dans son geste final
Et je sombre dans la nuit
La lumière crue me rend la mémoire
Ce ne sont que les derniers spasmes
D’une douleur innommable
Transitant des fibres d’un corps alourdi
Avant de se propager en torrents
Le tout charrie les scories d’un volcan
Qui ne fait que remuer ses membres
J’essaie de me relever, d’étendre les bras
D’allumer le dernier cierge suspendu
Sur les remparts d’une pile de livres séniles
Ma table de chevet vacille sous le poids
Des manuscrits à la teinte de feuilles mortes
Qu’écrase la lenteur de l’éveil… !
Hier persiste encore dans l’air
Un parfum vieilli avant terme
Croise ses bras sur chaque meuble
S’incruste dans les recoins les plus isolés
Il attend une autre aération de ses poumons
Possible que le prochain lever
Finira par rendre la vie aux choses inertes…
Une vague dans l’âme renoue les trames
Je suis ainsi sur le seuil d’une porte ouverte
Les yeux suivent à la dérobée tous les convois
Seul le soleil qui m'apparaît très loin
Me dit : lutte mon ami dans l’arène de la vie
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kacem loubay
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Le poète de l'autre rive
sarah- Nombre de messages : 2022
Date d'inscription : 12/11/2008
Re: Une Vague Dans L’Âme…
Tout va bien puisque les vers finissent sur un air d'espoir. La lecture fut un plaisir kacem.
karim safriwi- Nombre de messages : 615
Date d'inscription : 03/07/2008
Re: Une Vague Dans L’Âme…
Souffrance encore et toujours est ce un choix ou un destin?
Beau texte.
Beau texte.
roby- Nombre de messages : 1357
Date d'inscription : 28/10/2008
Re: Une Vague Dans L’Âme…
On croit pouvoir contrôler le destin . . .
Mais qu'en est-il réellement ?
Les choix que nous faisons nous ramène à d'autres choix, encore et encore . . .
Quoi qu'il en soit, il ne faut jamais se laisser abattre.
Heureuse de revoir ta plume parmis nous Kacem !
Mais qu'en est-il réellement ?
Les choix que nous faisons nous ramène à d'autres choix, encore et encore . . .
Quoi qu'il en soit, il ne faut jamais se laisser abattre.
Heureuse de revoir ta plume parmis nous Kacem !
Nadia- Nombre de messages : 362
loisirs : Lecture, dessin, musique, et bien sûr, écriture.
Humeur : Impulsive ou très discrète
Date d'inscription : 19/05/2009
Re: Une Vague Dans L’Âme…
Bonsoir firdaws
…J’étais dans une autre dimension, dans un lieu de piété.
En Arabie Saoudite pour faire la Omra. 42 jours d’absence
Où je pénétrais un autre monde de culte, de profondes
Méditations parmi quelques 3 millions de fidèles.
Voilà je suis de retour, mais soyez patients je dois re-trouver
un peu ma vitesse de croisière et faire appel à mes muses…
Mes amitiés poétiques de l’autre rive
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Bonsoir amadin
…La souffrance est un état d’âme qui peut nous marquer.
On partage avec les autres la joie et non la peine.
On ne fait que côtoyer les autres, chercher une empreinte
et décrire la vie avec ses mystères et ses controverses…
Mes amitiés de l’autre rive
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Bonsoir Sarah
L’espoir est une source inépuisable qui souffle, mais il
faut savoir suivre son orientation…Apprendre ou réapprendre
à sourire à la vie, car tout heure qui s’en va ne peut laisser
que quelques bribes qu’il faut arracher et conserver. Tout n’est
que recommencement, juste un jeu de lumière et d’ombre…
Mes amitiés de l’autre rive
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Bonsoir karim safriwi
… Chacun de nous essaie de s’introduire dans le monde du
poète, d’y voir et d’y puiser ces moindres prémices. Ces
vers qui nous font frémir, qui nous mettent dans un état
second. On sent à travers la lecture une partie de soi, il
nous parle, nous chuchote les secrets de la vie et nous fait
rêver, galoper les différentes prairies de l’inspiration.
Mes amitiés de l’autre rive
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Bonsoir Nadia
…Hélas ma chère, il est difficile de contrôler notre
propre destin. Il est hors de question de le vivre
selon ses propres moyens. C’est une page obscure
que les uns et les autres essaient d’y trouver une
vraie réponse. Baisser les bras c’est se sentir
défaitiste, mais lutter a ses propres limites dans
le cadre de : Où, quand, comment,pourquoi… et
j’en passe
Mes amitiés de l’autre rive
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…J’étais dans une autre dimension, dans un lieu de piété.
En Arabie Saoudite pour faire la Omra. 42 jours d’absence
Où je pénétrais un autre monde de culte, de profondes
Méditations parmi quelques 3 millions de fidèles.
Voilà je suis de retour, mais soyez patients je dois re-trouver
un peu ma vitesse de croisière et faire appel à mes muses…
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Bonsoir amadin
…La souffrance est un état d’âme qui peut nous marquer.
On partage avec les autres la joie et non la peine.
On ne fait que côtoyer les autres, chercher une empreinte
et décrire la vie avec ses mystères et ses controverses…
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Bonsoir Sarah
L’espoir est une source inépuisable qui souffle, mais il
faut savoir suivre son orientation…Apprendre ou réapprendre
à sourire à la vie, car tout heure qui s’en va ne peut laisser
que quelques bribes qu’il faut arracher et conserver. Tout n’est
que recommencement, juste un jeu de lumière et d’ombre…
Mes amitiés de l’autre rive
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Bonsoir karim safriwi
… Chacun de nous essaie de s’introduire dans le monde du
poète, d’y voir et d’y puiser ces moindres prémices. Ces
vers qui nous font frémir, qui nous mettent dans un état
second. On sent à travers la lecture une partie de soi, il
nous parle, nous chuchote les secrets de la vie et nous fait
rêver, galoper les différentes prairies de l’inspiration.
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Bonsoir Nadia
…Hélas ma chère, il est difficile de contrôler notre
propre destin. Il est hors de question de le vivre
selon ses propres moyens. C’est une page obscure
que les uns et les autres essaient d’y trouver une
vraie réponse. Baisser les bras c’est se sentir
défaitiste, mais lutter a ses propres limites dans
le cadre de : Où, quand, comment,pourquoi… et
j’en passe
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Re: Une Vague Dans L’Âme…
Pourquoi se donner tant de mal à se questionner sur le futur et sur le destin, vivre est déjà difficile parfois........Beau partage kacem.kacem_loubay a écrit:Une Vague Dans L’Âme…
A : Med OUCHAD
…On ne cesse de me dire :
Ton avenir est entre les mains
Lis les lignes entrouvertes... !
Je me perds dans les fragments
Les racines entremêlées, découpées
S’éloignent en des trajets abrupts…
Je cligne de l’œil
A travers le cloisonnement des mots
Les lettres aiguisées en dents de scie
Me toisent dans la froideur de l’aube
Et je me détourne de tout… !
On vient me saisir
Mes yeux s’accrochent à la muraille
Un cri strident dégagé quelque part
Un appel surgît de l’orée foisonnante
Me fait me détendre
Tel un arc fléchi dans son geste final
Et je sombre dans la nuit
La lumière crue me rend la mémoire
Ce ne sont que les derniers spasmes
D’une douleur innommable
Transitant des fibres d’un corps alourdi
Avant de se propager en torrents
Le tout charrie les scories d’un volcan
Qui ne fait que remuer ses membres
J’essaie de me relever, d’étendre les bras
D’allumer le dernier cierge suspendu
Sur les remparts d’une pile de livres séniles
Ma table de chevet vacille sous le poids
Des manuscrits à la teinte de feuilles mortes
Qu’écrase la lenteur de l’éveil… !
Hier persiste encore dans l’air
Un parfum vieilli avant terme
Croise ses bras sur chaque meuble
S’incruste dans les recoins les plus isolés
Il attend une autre aération de ses poumons
Possible que le prochain lever
Finira par rendre la vie aux choses inertes…
Une vague dans l’âme renoue les trames
Je suis ainsi sur le seuil d’une porte ouverte
Les yeux suivent à la dérobée tous les convois
Seul le soleil qui m'apparaît très loin
Me dit : lutte mon ami dans l’arène de la vie
Ne baisse jamais les bras devant la destinée…
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daniel- Nombre de messages : 1002
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