Art seulement(Harcèlement)

RIMEUR a écrit:A dévisager
Cette vénus de grâce
Au visage
Qui fascine
Tel un charmant paysage
J’enrage
A tel point que
j'envisage
Sans ambages
De louanger
Cette sublime jeune dame
Au joli corsage
De passage
dans mon village
Je m’engage alors
Appréhendant à tout instant
l'orage
Mais la colombe
Au beau plumage
Remarquant vite
Mon remue- ménage
Dans ses parages
Et voyant les ravages
Et les outrages de l’âge
Sur mon visage
Me dévisage alors
Comme un sauvage
Dans une cage
Puis me toise
D’un regard qui en dit long
Sur sa rage
Au point que je perds
Tout mon ramage
Mais
Pas mon courage
Car bravant
Les caquetages
Et les persiflages
Des rapaces diurnes
De mon entourage
Qui m’ont toujours
Traité de volage
Je m’engage de nouveau
A violer le sillage
De cette créature fuyant
Comme un mirage
Mon dévergondage
Mais elle disparaît
Au premier virage
Sans doute emportée par d’autres
Séduisants rivages
Me laissant
Seul dans
Le cirage




Le personnage est de papier!
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RIMEUR a écrit:A dévisager
Cette vénus de grâce
Au visage
Qui fascine
Tel un charmant paysage
J’enrage
A tel point que
j'envisage
Sans ambages
De louanger
Cette sublime jeune dame
Au joli corsage
De passage
dans mon village
Je m’engage alors
Appréhendant à tout instant
l'orage
Mais la colombe
Au beau plumage
Remarquant vite
Mon remue- ménage
Dans ses parages
Et voyant les ravages
Et les outrages de l’âge
Sur mon visage
Me dévisage alors
Comme un sauvage
Dans une cage
Puis me toise
D’un regard qui en dit long
Sur sa rage
Au point que je perds
Tout mon ramage
Mais
Pas mon courage
Car bravant
Les caquetages
Et les persiflages
Des rapaces diurnes
De mon entourage
Qui m’ont toujours
Traité de volage
Je m’engage de nouveau
A violer le sillage
De cette créature fuyant
Comme un mirage
Mon dévergondage
Mais elle disparaît
Au premier virage
Sans doute emportée par d’autres
Séduisants rivages
Me laissant
Seul dans
Le cirage




Le personnage est de papier!
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RIMEUR a écrit:A dévisager
Cette vénus de grâce
Au visage
Qui fascine
Tel un charmant paysage
J’enrage
A tel point que
j'envisage
Sans ambages
De louanger
Cette sublime jeune dame
Au joli corsage
De passage
dans mon village
Je m’engage alors
Appréhendant à tout instant
l'orage
Mais la colombe
Au beau plumage
Remarquant vite
Mon remue- ménage
Dans ses parages
Et voyant les ravages
Et les outrages de l’âge
Sur mon visage
Me dévisage alors
Comme un sauvage
Dans une cage
Puis me toise
D’un regard qui en dit long
Sur sa rage
Au point que je perds
Tout mon ramage
Mais
Pas mon courage
Car bravant
Les caquetages
Et les persiflages
Des rapaces diurnes
De mon entourage
Qui m’ont toujours
Traité de volage
Je m’engage de nouveau
A violer le sillage
De cette créature fuyant
Comme un mirage
Mon dévergondage
Mais elle disparaît
Au premier virage
Sans doute emportée par d’autres
Séduisants rivages
Me laissant
Seul dans
Le cirage
WAW, celà n'a pas était facile d'endurer la tentation et de "rater le coup"!
entre nous: tes mots sont forts et entre nous, les oiseaux aiment qu'on insiste un peu pour les prendre dans nos filet!
bravo encor une fois



Le personnage est de papier!
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