SORTIE EN MER

Le ciel était d'azur, l'été jouait encore,
A peine entendait-on la brise matinale
Siffler dans les haubans ... et s'éveillait le port !
Dans la douceur du temps, tout semblait si normal !

C'est sur un vieux gréement que l'on se retrouvait,
Toi, moi et quelques autres, la mer nous attendait,
je revois ton visage , l'éclat de ton regard,
On était si heureux...et ce fut le départ !

Les vagues avalaient les rayons du soleil,
C'est tout juste éloigné qu'on hissait la grand'voile,
et je ne perdais rien, mon esprit en éveil
Des gestes de marins à tirer sur la toile !

Vers les Iles St Marcouf, le bateau naviguait,
les côtes s'effaçaient ainsi que les rumeurs,
des mouettes criaient, un cormoran plongeait
Et au fond de tes yeux se lisait le bonheur !

L'équipage s'affairait et l'on virait de bord,
La terre nous revenait, ses pointes , ses falaises,
Soudain le mal de mer, je sentais le malaise !

Ce fut une journée de rêve et d'aventures,
nos sourires croisée, nos clins d'oeil discrets
Avaient le goût sincère de l'amour qui perdure,
ta main retînt la mienne et mpi de frissonner !

Ainsi marins d'un jour, nous fûmes baptisés,
la nuit vînt saluer la vieille dame en bois,
lui offrant milles feux pour son retour à quai
Et dans ce crépuscule je ne voyais que toi !


kimannzo

Il manquait une rime à une strophe..vite que je répare l'erreur :

L'équipage s'affairait et l'on virait de bord,
La terre nous revenait, ses pointes, ses falaises,
la trinquette tremblait et le foc se gonflait,
soudain le mal de mer, je sentais le malaise !

kimannzo ...avec mes excuses !

kimannzo a écrit:Le ciel était d'azur, l'été jouait encore,
A peine entendait-on la brise matinale
Siffler dans les haubans ... et s'éveillait le port !
Dans la douceur du temps, tout semblait si normal !

C'est sur un vieux gréement que l'on se retrouvait,
Toi, moi et quelques autres, la mer nous attendait,
je revois ton visage , l'éclat de ton regard,
On était si heureux...et ce fut le départ !

Les vagues avalaient les rayons du soleil,
C'est tout juste éloigné qu'on hissait la grand'voile,
et je ne perdais rien, mon esprit en éveil
Des gestes de marins à tirer sur la toile !

Vers les Iles St Marcouf, le bateau naviguait,
les côtes s'effaçaient ainsi que les rumeurs,
des mouettes criaient, un cormoran plongeait
Et au fond de tes yeux se lisait le bonheur !

L'équipage s'affairait et l'on virait de bord,
La terre nous revenait, ses pointes , ses falaises,
Soudain le mal de mer, je sentais le malaise !

Ce fut une journée de rêve et d'aventures,
nos sourires croisée, nos clins d'oeil discrets
Avaient le goût sincère de l'amour qui perdure,
ta main retînt la mienne et mpi de frissonner !

Ainsi marins d'un jour, nous fûmes baptisés,
la nuit vînt saluer la vieille dame en bois,
lui offrant milles feux pour son retour à quai
Et dans ce crépuscule je ne voyais que toi !


kimannzo

beau texte kim, j'aime bien te lire

Une très beau moment en mer
Navigant avec aisance sur tes vers
Qui flottent sur les vagues de l'amour
Entre deux regards de velours.

Merci pour le partage.

kimanzo
Au plaisir du partage

pour naviguer avec vous...ce fut un plaisir ..merci mes amis

je viens de faire une belle navigation!

kimannzo a écrit:Le ciel était d'azur, l'été jouait encore,
A peine entendait-on la brise matinale
Siffler dans les haubans ... et s'éveillait le port !
Dans la douceur du temps, tout semblait si normal !

C'est sur un vieux gréement que l'on se retrouvait,
Toi, moi et quelques autres, la mer nous attendait,
je revois ton visage , l'éclat de ton regard,
On était si heureux...et ce fut le départ !

Les vagues avalaient les rayons du soleil,
C'est tout juste éloigné qu'on hissait la grand'voile,
et je ne perdais rien, mon esprit en éveil
Des gestes de marins à tirer sur la toile !

Vers les Iles St Marcouf, le bateau naviguait,
les côtes s'effaçaient ainsi que les rumeurs,
des mouettes criaient, un cormoran plongeait
Et au fond de tes yeux se lisait le bonheur !

L'équipage s'affairait et l'on virait de bord,
La terre nous revenait, ses pointes , ses falaises,
Soudain le mal de mer, je sentais le malaise !

Ce fut une journée de rêve et d'aventures,
nos sourires croisée, nos clins d'oeil discrets
Avaient le goût sincère de l'amour qui perdure,
ta main retînt la mienne et mpi de frissonner !

Ainsi marins d'un jour, nous fûmes baptisés,
la nuit vînt saluer la vieille dame en bois,
lui offrant milles feux pour son retour à quai
Et dans ce crépuscule je ne voyais que toi !


kimannzo

Une découverte douce!!!
Elle est proposée grâce à une promenade
en vers... Joe.

L'équipage s'affairait et l'on virait de bord,
La terre nous revenait, ses pointes , ses falaises,
Soudain le mal de mer, je sentais le malaise !

Ce fut une journée de rêve et d'aventures,
nos sourires croisée, nos clins d'oeil discrets
Avaient le goût sincère de l'amour qui perdure,
ta main retînt la mienne et moi de frissonner !

Un beau voyage tu as fais au coeur
du tendre de la vague

PS: chut, et mpi de frissonner !

Une tite faute de frappe mais pas imprtant
ousp moi aussi

Amitiés le Réal

pour les fautes de frappe Atouthasard....négligeante que je suis...! un clin d'oeil à ce Québec que j'aime tant ! et bien à toi ..

merci à tous d'avoir navigué avec moi . Bises ;