DIS MOI

yefimia a écrit:Dis moi qui suis-je


Dis moi qui tu es, femme oiseau,
le feu ou l’éclair,
seulement la première étincelle,
une étoile volante,
peut-être mon éternel sort.

A tes pensées je m’arrime,
le verre de vin dans la main,
sur les siècles j’empile les jours.
Qui es tu femme intangible,
peut-être le désir ou la destinée.

Dis moi qui tu es, es tu le rêve,
mon bonheur embrumé,
la fée ou l’ange posé sur mon épaule,
une larme esseulée dans mes yeux,
peut-être mon éternel moi.

dis moi que ton avatar n'est pas image de ton humeur!

Non, j'aime Basquiat.

qui est elle ?

une image sensuelle
de l'espoir à la pelle

ou un rêve incertain
déposé sur ta main ?

c'est joli

attention aux coup de soleil yefimia , tout as drôlement bronzé ;-D

Je sors couvert.

Merci d'avoir passé par ici

Yefi

yefimia a écrit:Dis moi qui suis-je


Dis moi qui tu es, femme oiseau,
le feu ou l’éclair,
seulement la première étincelle,
une étoile volante,
peut-être mon éternel sort.

A tes pensées je m’arrime,
le verre de vin dans la main,
sur les siècles j’empile les jours.
Qui es tu femme intangible,
peut-être le désir ou la destinée.

Dis moi qui tu es, es tu le rêve,
mon bonheur embrumé,
la fée ou l’ange posé sur mon épaule,
une larme esseulée dans mes yeux,
peut-être mon éternel moi.

Elle est l'espoir et l'insaisisable qui te fait rêver d'où est nait ce beau poéme.
Amitiés

Jamais l'on ne sait qui elle est vraiment.
Et c'est tout le sel qui fait dire
Qu'on peut l'aimer pour le meilleur
Et pour le pire.

JB

yefimia a écrit:Dis moi qui suis-je


Dis moi qui tu es, femme oiseau,
le feu ou l’éclair,
seulement la première étincelle,
une étoile volante,
peut-être mon éternel sort.

A tes pensées je m’arrime,
le verre de vin dans la main,
sur les siècles j’empile les jours.
Qui es tu femme intangible,
peut-être le désir ou la destinée.

Dis moi qui tu es, es tu le rêve,
mon bonheur embrumé,
la fée ou l’ange posé sur mon épaule,
une larme esseulée dans mes yeux,
peut-être mon éternel moi.

Elle est partie manquante,celle à qui tu dois tout,
La féminité éternelle qui hante tes jours surtout,
La solitude sait se donner une invisible présence,
Te faisant craindre l'heure de la derniére sentence.

Salutas Yéfi.

Ah Marquis,
tu as bien "demasqué" mes états d'âme.
Quand je saurai qui elle est, je saurai qui suis-je.

Salutas

Yefi