Tu étais

Cet amant-là se nomme souvenir, l'homme de chair et d'os lui ne correspond plus à cela.
Cet amant-là ne t'offre que soupir, Il doit faire son temps , puis s'enfuir loin de là
Alors seras-tu prête enfin à ne plus attendre que l'on te donne, mais enfin prête à prendre ce qu'on te propose,
Cet état d'esprit qui ne mettra en cause que ta personne, te permettra de ne plus être le résultat , mais la cause ;-))
Merci pour le partage de tes textes remplis des sentiments si frais ...

Il y a longtemps que j'ai changé cet homme "de chair et d'os".
Mais pour X raisons, le souvenir parfois revient me hanter et me remplir de regrets.
Mais heureusement cela ne dure pas.
Merci beaucoup pour ton com.

Nadia a écrit:

Tu étais



Tu étais mon espoir,
Celui qui me disait où j’allais.
Avec toi tout était dérisoire,
Et la vie, toujours, souriait.
Mon bonheur naissait dans tes yeux
Qu’il te suffisait d’ouvrir
Pour balayer mon ciel orageux
Et y dessiner ton sourire.

Tu étais mon avenir,
Celui qui d’un mot, peuplait mon cœur.
Tu habitais chacun de mes soupirs
Dans lesquels flottait ton odeur.
Ton rire m’apportait la certitude
D’un voyage vers le bien-être,
Et de partir dans un monde en altitude
Où l’amour s’est imposé en maître.

Tu seras mes nuits,
Désormais seul refuge de ton souvenir.
Depuis que ton regard me fuit,
Je perds la notion du pire
Me disant que sans toi,
Plus rien n’en vaut la peine.
Il ne me reste plus que la foi
De croire un jour que tu reviennes.

Toujours autant de plaisir à te lire Nadia.
Je m'y reconnait, autant dans le fond que dans la forme.

de l'imparfait au futur
les vers sont bien conjugué, merci pour ce .

Mici a écrit:

Nadia a écrit:

Tu étais



Tu étais mon espoir,
Celui qui me disait où j’allais.
Avec toi tout était dérisoire,
Et la vie, toujours, souriait.
Mon bonheur naissait dans tes yeux
Qu’il te suffisait d’ouvrir
Pour balayer mon ciel orageux
Et y dessiner ton sourire.

Tu étais mon avenir,
Celui qui d’un mot, peuplait mon cœur.
Tu habitais chacun de mes soupirs
Dans lesquels flottait ton odeur.
Ton rire m’apportait la certitude
D’un voyage vers le bien-être,
Et de partir dans un monde en altitude
Où l’amour s’est imposé en maître.

Tu seras mes nuits,
Désormais seul refuge de ton souvenir.
Depuis que ton regard me fuit,
Je perds la notion du pire
Me disant que sans toi,
Plus rien n’en vaut la peine.
Il ne me reste plus que la foi
De croire un jour que tu reviennes.

Toujours autant de plaisir à te lire Nadia.
Je m'y reconnait, autant dans le fond que dans la forme.

C'est pour la même raison que j'aime aussi beaucoup tes poèmes ;)

rayane a écrit:de l'imparfait au futur
les vers sont bien conjugué, merci pour ce .

Merci pour ton sympathique passage

Nadia a écrit:

Tu étais



Tu étais mon espoir,
Celui qui me disait où j’allais.
Avec toi tout était dérisoire,
Et la vie, toujours, souriait.
Mon bonheur naissait dans tes yeux
Qu’il te suffisait d’ouvrir
Pour balayer mon ciel orageux
Et y dessiner ton sourire.

Tu étais mon avenir,
Celui qui d’un mot, peuplait mon cœur.
Tu habitais chacun de mes soupirs
Dans lesquels flottait ton odeur.
Ton rire m’apportait la certitude
D’un voyage vers le bien-être,
Et de partir dans un monde en altitude
Où l’amour s’est imposé en maître.

Tu seras mes nuits,
Désormais seul refuge de ton souvenir.
Depuis que ton regard me fuit,
Je perds la notion du pire
Me disant que sans toi,
Plus rien n’en vaut la peine.
Il ne me reste plus que la foi
De croire un jour que tu reviennes.

Il ne reste que le souvenir.

51SOLEIL a écrit:

Nadia a écrit:

Tu étais



Tu étais mon espoir,
Celui qui me disait où j’allais.
Avec toi tout était dérisoire,
Et la vie, toujours, souriait.
Mon bonheur naissait dans tes yeux
Qu’il te suffisait d’ouvrir
Pour balayer mon ciel orageux
Et y dessiner ton sourire.

Tu étais mon avenir,
Celui qui d’un mot, peuplait mon cœur.
Tu habitais chacun de mes soupirs
Dans lesquels flottait ton odeur.
Ton rire m’apportait la certitude
D’un voyage vers le bien-être,
Et de partir dans un monde en altitude
Où l’amour s’est imposé en maître.

Tu seras mes nuits,
Désormais seul refuge de ton souvenir.
Depuis que ton regard me fuit,
Je perds la notion du pire
Me disant que sans toi,
Plus rien n’en vaut la peine.
Il ne me reste plus que la foi
De croire un jour que tu reviennes.

Il ne reste que le souvenir.

Oui. Faute d'autre chose . . .
Mais c'est un souvenir qui me forge de l'intérieur.

Nadia a écrit:

Tu étais



Tu étais mon espoir,
Celui qui me disait où j’allais.
Avec toi tout était dérisoire,
Et la vie, toujours, souriait.
Mon bonheur naissait dans tes yeux
Qu’il te suffisait d’ouvrir
Pour balayer mon ciel orageux
Et y dessiner ton sourire.

Tu étais mon avenir,
Celui qui d’un mot, peuplait mon cœur.
Tu habitais chacun de mes soupirs
Dans lesquels flottait ton odeur.
Ton rire m’apportait la certitude
D’un voyage vers le bien-être,
Et de partir dans un monde en altitude
Où l’amour s’est imposé en maître.

Tu seras mes nuits,
Désormais seul refuge de ton souvenir.
Depuis que ton regard me fuit,
Je perds la notion du pire
Me disant que sans toi,
Plus rien n’en vaut la peine.
Il ne me reste plus que la foi
De croire un jour que tu reviennes.

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Nadia a écrit:

Tu étais



Tu étais mon espoir,
Celui qui me disait où j’allais.
Avec toi tout était dérisoire,
Et la vie, toujours, souriait.
Mon bonheur naissait dans tes yeux
Qu’il te suffisait d’ouvrir
Pour balayer mon ciel orageux
Et y dessiner ton sourire.

Tu étais mon avenir,
Celui qui d’un mot, peuplait mon cœur.
Tu habitais chacun de mes soupirs
Dans lesquels flottait ton odeur.
Ton rire m’apportait la certitude
D’un voyage vers le bien-être,
Et de partir dans un monde en altitude
Où l’amour s’est imposé en maître.

Tu seras mes nuits,
Désormais seul refuge de ton souvenir.
Depuis que ton regard me fuit,
Je perds la notion du pire
Me disant que sans toi,
Plus rien n’en vaut la peine.
Il ne me reste plus que la foi
De croire un jour que tu reviennes.

nostalgique sur cet amour perdu...
et cet espoir d'y regoûter un jour...
certains disent que l'on a qu'un seul amour dans sa vie...