Viens, mon aimé partons.

Viens mon aimé, partons en Juillet en Norvège.
Nous y découvrirons les fjords verts du grand Nord,
Où les bois de pins bleus, dans un divin accord,
Attendent patients le retour de la neige.

Je te conterai là, légende et sortilège
Des elfes des forêts. Nous irons sans effort
Jusqu’aux stèles de pierre qui vénèrent la mort
Des Vikings abattus, sans faire un sacrilège.

Et puis le soir venu, le ciel noir plein les yeux,
Nous nous nagerons tous deux, émus, silencieux
Au milieu du flot pâle, imprégné de mystère.

Des trolls ventrus et courts, avec le bout des doigts
Nous feront signe alors d’où proviennent les voix
Des esprits vaporeux qui règnent sur la terre.

TITEFEE a écrit:Viens mon aimé, partons en Juillet en Norvège.
Nous y découvrirons les fjords verts du grand Nord,
Où les bois de pins bleus, dans un divin accord,
Attendent patients le retour de la neige.

Je te conterai là, légende et sortilège
Des elfes des forêts. Nous irons sans effort
Jusqu’aux stèles de pierre qui vénèrent la mort
Des Vikings abattus, sans faire un sacrilège.

Et puis le soir venu, le ciel noir plein les yeux,
Nous nous nagerons tous deux, émus, silencieux
Au milieu du flot pâle, imprégné de mystère.

Des trolls ventrus et courts, avec le bout des doigts
Nous feront signe alors d’où proviennent les voix
Des esprits vaporeux qui règnent sur la terre.

Attendent patients le retour de la neige
patiemment, non ? pour les pieds...

Jusqu’aux stèles de pierre qui vénèrent la mort...
de pieds, là, il y en a 13...

Nous nous nagerons tous deux, émus, silencieux
Je pense que ce "nous" est de trop

Joli sonnet au demeurant, chère poétesse

Bisou tit'fée
de Gep

Et nous ferons de cette éternité,
Un espace en son temps,un aparté,
Car au royaume de Miss petite fée,
L'esprit,de contes,en revient truffé.

A quand le voyage?

TITEFEE a écrit:Viens mon aimé, partons en Juillet en Norvège.
Nous y découvrirons les fjords verts du grand Nord,
Où les bois de pins bleus, dans un divin accord,
Attendent patients le retour de la neige.

Je te conterai là, légende et sortilège
Des elfes des forêts. Nous irons sans effort
Jusqu’aux stèles de pierre qui vénèrent la mort
Des Vikings abattus, sans faire un sacrilège.

Et puis le soir venu, le ciel noir plein les yeux,
Nous nous nagerons tous deux, émus, silencieux
Au milieu du flot pâle, imprégné de mystère.

Des trolls ventrus et courts, avec le bout des doigts
Nous feront signe alors d’où proviennent les voix
Des esprits vaporeux qui règnent sur la terre.

salut,

dans ce beau texte,je respire de la joie

gepetto a écrit:

TITEFEE a écrit:Viens mon aimé, partons en Juillet en Norvège.
Nous y découvrirons les fjords verts du grand Nord,
Où les bois de pins bleus, dans un divin accord,
Attendent patients le retour de la neige.

Je te conterai là, légende et sortilège
Des elfes des forêts. Nous irons sans effort
Jusqu’aux stèles de pierre qui vénèrent la mort
Des Vikings abattus, sans faire un sacrilège.

Et puis le soir venu, le ciel noir plein les yeux,
Nous nous nagerons tous deux, émus, silencieux
Au milieu du flot pâle, imprégné de mystère.

Des trolls ventrus et courts, avec le bout des doigts
Nous feront signe alors d’où proviennent les voix
Des esprits vaporeux qui règnent sur la terre.

Attendent patients le retour de la neige
patiemment, non ? pour les pieds...

Jusqu’aux stèles de pierre qui vénèrent la mort...
de pieds, là, il y en a 13...

Nous nous nagerons tous deux, émus, silencieux
Je pense que ce "nous" est de trop

Joli sonnet au demeurant, chère poétesse

Bisou tit'fée
de Gep

voilà tout beau tout frais mon sonnet...

Viens mon aimé, partons en Juillet en Norvège.
Nous y découvrirons les fjords verts du grand Nord,
Où les bois de pins bleus, dans un divin accord,
Attendent patients le retour de la neige. je compte bien 12 pieds avec pa- ti-ents...

Je te conterai là, légende et sortilège
Des elfes des forêts. Nous irons sans effort
Jusqu’aux stèles de pierre où ont subi leur mort
les Vikings abattus, sans faire un sacrilège.

Et puis le soir venu, le ciel noir plein les yeux,
Nous nagerons tous deux, émus, silencieux
Au milieu du flot pâle, imprégné de mystère.

Des trolls ventrus et courts, avec le bout des doigts
Nous feront signe alors d’où proviennent les voix
Des esprits vaporeux qui règnent sur la terre.


Merci à toi qui es venu jusqu'aux fjords de Norvège.

CELUI QUI SAIT a écrit:Et nous ferons de cette éternité,
Un espace en son temps,un aparté,
Car au royaume de Miss petite fée,
L'esprit,de contes,en revient truffé.

A quand le voyage?

Je suis allée jusqu'au confins de la Norvège, là où les rivières sont grouillantes de truites... où les cascades descendent tels fils de mariée. Mais il y a longtemps, et j'aimerai bien que nous allions, BIbi et moi voir les fjords de toutes les couleurs et les forêts où élans et rennes paissent en liberté. A Bergen, il faisait jour à minuit, et la ville était bruissante de tous ses habitants qui déambulaient.. peut-être cela a t'il changé ! Mais le rêve demeure!

TITEFEE a écrit:

CELUI QUI SAIT a écrit:Et nous ferons de cette éternité,
Un espace en son temps,un aparté,
Car au royaume de Miss petite fée,
L'esprit,de contes,en revient truffé.

A quand le voyage?

Je suis allée jusqu'au confins de la Norvège, là où les rivières sont grouillantes de truites... où les cascades descendent tels fils de mariée. Mais il y a longtemps, et j'aimerai bien que nous allions, BIbi et moi voir les fjords de toutes les couleurs et les forêts où élans et rennes paissent en liberté. A Bergen, il faisait jour à minuit, et la ville était bruissante de tous ses habitants qui déambulaient.. peut-être cela a t'il changé ! Mais le rêve demeure!

Fais de ton rêve une nouvelle réalité....Je te le souhaite vivement....Avec mes respects.Bien à toi.

« I have a dream » ....disait M.L.King en rêvant de liberté et égalité

pour les noirs.

Et son rêve c’est réalisé. Alors ma chère, continue à rêver, qui sais.



Salutas



Y E F I

Attendent patients le retour de la neige. je compte bien 12 pieds avec pa- ti-ents...

on dit, une diérèse ou synérèse pour patient, mais pas nécessairement pour tous, faut faire attention

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Bon je me suis amusé

Viens mon aimé partons, en Juillet en Norvège.
Nous y découvrirons les fjords verts du grand Nord
Où les bois de pins bleus, dans un divin accord
Étaient si patients pour contourner la neige

Je te conterai là, légende et sortilège
Des elfes des forêts, nous irons sans effort
Jusqu'à l’aile de pierre en sachant bien la mort
Des Vikings abattus, sans faire un sacrilège.

Et puis le soir venu, le ciel noir plein les yeux,
Nous nagerons tous deux, émus et silencieux
Au milieu du flot pâle, imprégné de mystère.

Des trolls ventrus et courts, avec le bout des doigts
Des esprits vaporeux qui règnent sur la terre.
Nous feront signe alors d’où proviennent les voix


abba abba ccd ede

classique sonnet

Vous écrivez bien M'dame, on ne peut pas faire ce que j'ai faits avec un mauvais texte

et la vérité je ne détiens pas, hein

Le Réal qui s'amuse

Bises à toi

merci à toi Athouhasard de m'avoir si gentiment répondu en refaisant ma poèsie et en m'indiquant un lien qui me sera précieux.
Vois-tu, je me suis laissée embarquer dans un rêve à la suite d'un poème connu d'un de nos poètes classiques bien connu, qui s'appelle Albert SAMAIN et en lisant sa poésie, qui me rappelait un lointain voyage au pays des vikings, des trolls et des fées, je me suis servie de ses rimes...Ce que je fais de temps en temps quand je laisse mon esprit voguer et m'appuie sur des rimes qui me ressemblent et m'enchantent

voilà son poème...
Ilda

Pâle comme un matin de septembre en Norvège,
Elle avait la douceur magnétique du nord ;
Tout s’apaisait près d’elle en un tacite accord,
Comme le bruit des pas s’étouffe dans la neige.

Son visage, par un étrange sortilège,
Avait pris dès l’enfance et gardait sans efforts
Un peu de la beauté sublime qu’ont les morts ;
Et le rire semblait près d’elle sacrilège.

Triste avec passion, sur l’eau de ses grands yeux
Le songe errait comme un rameur silencieux.
Tout ce qui la touchait s’imprégnait d’un mystère.

Et si douce, enroulant ses boucles à ses doigts,
Avec une pudeur farouche de sa voix,
Elle vivait pour la volupté de se taire.

Triste avec passion, sur l’eau de ses grands yeux
Le songe errait comme un rameur silencieux.
Tout ce qui la touchait s’imprégnait d’un mystère.

Et si douce, enroulant ses boucles à ses doigts,
Avec une pudeur farouche de sa voix,
Elle vivait pour la volupté de se taire.

Je me suis fais dire par une amie qui a une très belle plume et qui écrit en alex sans vérifier, que j'étais perfectionniste et que parfois un vers boiteux c'est pas si pire, hihi

Mais je remarque de plus en plus que les gens font souvent des erreurs dans les sonnets et tu m'aides à comprendre avec ce texte, mais en Réal ité mis sa est-ce
(je me sens dans un état latin ce soir, hihi) CE QUI EST IMPORTANT C'EST D'AVOIR DU PLAISIR

AU QUÉBEC ON DIT, AVOIR DU FUN NOIR

Bises TITEFEE



Le Réal ité

Rime généreuse qui sonne magnifiquement. Un bien bonjour à vous miss..

Le fond, la forme, l'effet, les fées ..... fabuleux

j'aime toujours tes vers ,merci tite féérique