Le vers tombant
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Le vers tombant
Le vers tombant
Le vers tombant
Sur la feuille légère
La main de l’histoire
Cueillant le dos
De l’ennui
Une foi sans coutume
De savoir que l’écrit
Peut engendrer contexte
Une loi sans rimer
Mais le savoir
Est immuable
Et le penseur
Aux mots
Avait une habitude
Ancré où la soif
De la terre
Qui
Rêvait d’une source
Épuisante à la marée
Pour ses yeux incertains
Par le lieu, pas d’enfin
Le vers tombant
Sur la feuille légère
Tel, une soie
Tel, un avoir
Tel, un pouvoir
Tel, un filet givré
Pour capter la lumière
Du mot
Malgré l’encre
Dans le bleu de la mer
Qui vaguait tard un soir
Où la dune passagère
À l’an-droit au carré
De ce jeu pour
La plume
Dont on sait la mémoire
Le vers tombant
Sur la feuille légère
Une bruine pour coucher
Le temps
Au quart de l’heure
Quand la minute penchait
Pour l’avenir de l’homme
La forêt épuisée
Se contait au couteau
De n’avoir pas coupé
Pour lui faire
Un tombeau
Le vers lunant
Un bourgeon
Le givre
La pluie
Le froid
Le chaud
Le l’eau
Le terre
La chant
L’incompatible conjugué
Dans sa saison
D’ivoire
Sans l’oraison-savoir
Qui pli
Un je nous
Tout sur l’an-vers
Les maux sont encan
Le vers tombant
Sur la feuille légère
J’achète un mal
À l’âme
Au marché de l’encor
Je vends
Et je tends
Telle une corde
Pour tirer
À la fenêtre
Le rideau
De mon
Alcôve
Accoudé
Couché
Penché
Pesé
Certain
Sous
Une norme
Une forme
La somme
D’une quête
Plus ou moins…
Le cheval était
Un étal-long
Un univers plié
Un univers courbé
Le vers lunant
Un bourgeon
Le vers tombant
Sur la feuille légère
La main de l’histoire
Cueillant le dos
De l’ennui
Une foi sans coutume
De savoir que l’écrit
Peut engendrer contexte
Une loi sans rimer
Mais le savoir
Est immuable
Et le penseur
Aux mots
Avait une habitude
Ancré où la soif
De la terre
Qui
Rêvait d’une source
Épuisante à la marée
Pour ses yeux incertains
Par le lieu, pas d’enfin
Le vers tombant
Sur la feuille légère
Tel, une soie
Tel, un avoir
Tel, un pouvoir
Tel, un filet givré
Pour capter la lumière
Du mot
Malgré l’encre
Dans le bleu de la mer
Qui vaguait tard un soir
Où la dune passagère
À l’an-droit au carré
De ce jeu pour
La plume
Dont on sait la mémoire
Le vers tombant
Sur la feuille légère
Une bruine pour coucher
Le temps
Au quart de l’heure
Quand la minute penchait
Pour l’avenir de l’homme
La forêt épuisée
Se contait au couteau
De n’avoir pas coupé
Pour lui faire
Un tombeau
Le vers lunant
Un bourgeon
Le givre
La pluie
Le froid
Le chaud
Le l’eau
Le terre
La chant
L’incompatible conjugué
Dans sa saison
D’ivoire
Sans l’oraison-savoir
Qui pli
Un je nous
Tout sur l’an-vers
Les maux sont encan
Le vers tombant
Sur la feuille légère
J’achète un mal
À l’âme
Au marché de l’encor
Je vends
Et je tends
Telle une corde
Pour tirer
À la fenêtre
Le rideau
De mon
Alcôve
Accoudé
Couché
Penché
Pesé
Certain
Sous
Une norme
Une forme
La somme
D’une quête
Plus ou moins…
Le cheval était
Un étal-long
Un univers plié
Un univers courbé
Le vers lunant
Un bourgeon
atouthasard- Nombre de messages : 1113
Date d'inscription : 11/10/2008
Re: Le vers tombant
atouthasard a écrit:Le vers tombant
Le vers tombant
Sur la feuille légère
La main de l’histoire
Cueillant le dos
De l’ennui
Une foi sans coutume
De savoir que l’écrit
Peut engendrer contexte
Une loi sans rimer
Mais le savoir
Est immuable
Et le penseur
Aux mots
Avait une habitude
Ancré où la soif
De la terre
Qui
Rêvait d’une source
Épuisante à la marée
Pour ses yeux incertains
Par le lieu, pas d’enfin
Le vers tombant
Sur la feuille légère
Tel, une soie
Tel, un avoir
Tel, un pouvoir
Tel, un filet givré
Pour capter la lumière
Du mot
Malgré l’encre
Dans le bleu de la mer
Qui vaguait tard un soir
Où la dune passagère
À l’an-droit au carré
De ce jeu pour
La plume
Dont on sait la mémoire
Le vers tombant
Sur la feuille légère
Une bruine pour coucher
Le temps
Au quart de l’heure
Quand la minute penchait
Pour l’avenir de l’homme
La forêt épuisée
Se contait au couteau
De n’avoir pas coupé
Pour lui faire
Un tombeau
Le vers lunant
Un bourgeon
Le givre
La pluie
Le froid
Le chaud
Le l’eau
Le terre
La chant
L’incompatible conjugué
Dans sa saison
D’ivoire
Sans l’oraison-savoir
Qui pli
Un je nous
Tout sur l’an-vers
Les maux sont encan
Le vers tombant
Sur la feuille légère
J’achète un mal
À l’âme
Au marché de l’encor
Je vends
Et je tends
Telle une corde
Pour tirer
À la fenêtre
Le rideau
De mon
Alcôve
Accoudé
Couché
Penché
Pesé
Certain
Sous
Une norme
Une forme
La somme
D’une quête
Plus ou moins…
Le cheval était
Un étal-long
Un univers plié
Un univers courbé
Le vers lunant
Un bourgeon
L'écrit est nécessaire à la vie des mots
Comme le sont les feuilles aux arbres.
Et sans le partage, l'écrit et les mots meurent par la racine.
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