J'irai

Mici a écrit:

J’irai 21/07/09


J’irai le cœur léger
Vers celle qui m’aimera
J’irai sans trop penser
Qu’un jour elle partira.

J’irai sur ses lèvres butiner
Pour un premier baiser sucré
Au goût de miel
Eternel.

J’irai frôler son doux visage
Du bout de mes doigts sages
Epouser ses contours
En attendant mon tour.

J’irai explorer son corsage
Caresse de mon visage
Le nez entre ses seins
L’air de rien.

Et puis…

J’irai pour l’emmener
A l’abri des regards
Pour pouvoir me donner
Sans fard.

J’irai offrir mon être
A son envie d’aimer
Et même plus fort, peut-être
La déboussoler.

Dans un tourbillon de lumière
Nos corps
En poussière d’or
Tomberont les barrières.
Nos corps
En poussière d’or
Passeront les frontières.

Et sans m’en rendre compte
Il faudra que j’affronte
Son fantôme qu’elle laissera
Comme à chaque fois.

.........

Les souvenirs
Veulent souvent dire
Qu’on ne va pas finir
De souffrir.

je crois qu'on ne va que là où le destin nous guide.
tes écrits sont vraiment touchants, ils ont une mélodie un peu spéciale, ne me demande pas la quelle, moi même je ne suis qu'amateur de rime; et faire des com c'est juste livrer mon impression sur ce que je lis, pas plus.

Pas plus, et tellement à la fois.
Merci Daniel

Je suis d'accord avec Daniel.
Tes écrits sont émouvants.



Quoi que l'on fasse, la Terre tourne.
Et il faut tourner avec elle, non pas se laisser traîner par elle, sinon on se perd vite.
Sûr que c'est pas toujours évident. . .
C'est pour ça que le rêve existe, même s'il faut éviter de s'y complaire trop longtemps.

Vous êtes bon public, et ça me fait du bien.

Merci à vous tous

Et à toi Nadia :vase:

Mici a écrit:

J’irai 21/07/09


J’irai le cœur léger
Vers celle qui m’aimera
J’irai sans trop penser
Qu’un jour elle partira.

J’irai sur ses lèvres butiner
Pour un premier baiser sucré
Au goût de miel
Eternel.

J’irai frôler son doux visage
Du bout de mes doigts sages
Epouser ses contours
En attendant mon tour.

J’irai explorer son corsage
Caresse de mon visage
Le nez entre ses seins
L’air de rien.

Et puis…

J’irai pour l’emmener
A l’abri des regards
Pour pouvoir me donner
Sans fard.

J’irai offrir mon être
A son envie d’aimer
Et même plus fort, peut-être
La déboussoler.

Dans un tourbillon de lumière
Nos corps
En poussière d’or
Tomberont les barrières.
Nos corps
En poussière d’or
Passeront les frontières.

Et sans m’en rendre compte
Il faudra que j’affronte
Son fantôme qu’elle laissera
Comme à chaque fois.

.........

Les souvenirs
Veulent souvent dire
Qu’on ne va pas finir
De souffrir.

...Et tu auras bien raison...

Suis d'accord avec Nadia et Daniel.
Avancer est meilleure solution.
Belle lecture..