Je me donne la mort

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Je veux m’ouvrir les veines,
Et laisser couler ma peine.
Les larmes sur mes joues, déversé,
Sont devenues gigantesque torrent déchaîné.

En m’ôtant la vie,
Je renonce au Paradis.
Un suicidé à pour éternelle demeure l’en enfer,
Mais sa ne sera pas plus pire, que ma vie sur Terre.

Je veux détruire mon âme,
Et en un geste me condamne.
La mort n’est plus loin,
Inconsciemment, je sert les poings.

Vivement que la mort me prenne,
Je vous assure cette envie ne m’est pas soudaine.
J’ai dans le cœur une déchirure profonde
Et mes hurlements reste sourd, quand la haine m’inonde!

Ma cervelle en ébullition, j’ai le mal de vivre,
A quoi bon continuer si je suis à la dérive?
Les tornades de mes peurs, prennent tout mes espoirs,
Et la terre tremble pour moi tant dans ma tête il fait noir…

Je souffre tant et ne voix pas d’autres choix,
Le bonheur est un mot que je ne connaît pas!
Le soleil, au dessus de moi, n’a jamais brillé,
Mes rêves et envies, il n’a fait que brûler..

Mon corps est fatigué, sa y est j’ai froid,
Mes yeux se sont fermés, et s’ouvrent mes doigt
Fossoyeur je te donne du boulot, pour aujourd’hui,
Creuse ma tombe! que j’ai enfin du répit.