Loin d'elle

Sont-ce des regrets vraiment ?
Etait-ce une femme, une muse, une drogue ?
Cesse de tourner les pages de ce grand livre bleu
et plonge toi vite dans un autre, lis bien...
Il parle de quelqu'un que tu ne connais pas encore.

C'est quand on l'a perdu, qu'on découvre ce qu'on avait.
Beau message ton poème

Jacky

Très beau message que ton poème.
On sait ce que l'on perd mais on ne sait ce que l'on trouvera. Cependant, il y a après la nuit, le jour, et donc un lendemain.
Tout le bonheur à toi Cris.

:orage:

Jeaf a écrit:Sont-ce des regrets vraiment ?
Etait-ce une femme, une muse, une drogue ?
Cesse de tourner les pages de ce grand livre bleu
et plonge toi vite dans un autre, lis bien...
Il parle de quelqu'un que tu ne connais pas encore.

C'est quand on l'a perdu, qu'on découvre ce qu'on avait.
Beau message ton poème

Jacky

La rupture d'un seul coté fait trop mal.
Merci pour le com JACK.Ravi de vous savoir en forme et de retour parmi nous sur joie de vie.

Ménestrelle a écrit:Très beau message que ton poème.
On sait ce que l'on perd mais on ne sait ce que l'on trouvera. Cependant, il y a après la nuit, le jour, et donc un lendemain.
Tout le bonheur à toi Cris.

:orage:

En attendant le jour, la nuit se fait longue et tissée de peines multipliées par le remord.
Merci à toi pour le com.

cristopher-cris a écrit:
Elle m’achevait, par son cœur si dur
Par son indifférence pure
Elle me casse la vorace.
Tout en elle me manque
Son parfum, ses caresses.
L’ivresse quelle dosait dans mes veines
Le goût de ses lèvres reste enfuit
Au fond de mes rêves.
Il m’achève, le regret grince très fort
Endolori mon corps
Qui éprouve le remord
De l’avoir laisser partir.
Elle le fruit mûr
Que je n’ai su garder

Aurais-tu besoin d'une femme maîtresse,
Pour en regretter toutes tes faiblesses?
Aux souvenirs naissent ainsi les remords,
D'anciennes batailles en des corps à corps.

CELUI QUI SAIT a écrit:

cristopher-cris a écrit:
Elle m’achevait, par son cœur si dur
Par son indifférence pure
Elle me casse la vorace.
Tout en elle me manque
Son parfum, ses caresses.
L’ivresse quelle dosait dans mes veines
Le goût de ses lèvres reste enfuit
Au fond de mes rêves.
Il m’achève, le regret grince très fort
Endolori mon corps
Qui éprouve le remord
De l’avoir laisser partir.
Elle le fruit mûr
Que je n’ai su garder

Aurais-tu besoin d'une femme maîtresse,
Pour en regretter toutes tes faiblesses?
Aux souvenirs naissent ainsi les remords,
D'anciennes batailles en des corps à corps.

J 'ai plus besoin d'un voyage, d'un repos pour me faire vidanger
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Il y a bien station service en remplacement de ta mésange,
Pour que de ta mécanique,un jour prochain, tu la vidanges,
A moins que,désoeuvré de l'antonyme,celle-ci tu ne ranges,
Au temps arrivant viendront les fruits d'une autre vendange.

CELUI QUI SAIT a écrit:Il y a bien station service en remplacement de ta mésange,
Pour que de ta mécanique,un jour prochain, tu la vidanges,
A moins que,désoeuvré de l'antonyme,celle-ci tu ne ranges,
Au temps arrivant viendront les fruits d'une autre vendange.

L'humour en réplique me change bien les idées!
Le vidange étant fait
Je reviens en forme, pour savourer tous les vers de joiedevie

...se tapit toujours sous le coeur qui parle ! la rupture est une insulte à l'amour ! un texte touchant de vérité qui résonne quelque part en moi...sublime partage ..merci Cris !

cristopher-cris a écrit:
Elle m’achevait, par son cœur si dur
Par son indifférence pure
Elle me casse la vorace.
Tout en elle me manque
Son parfum, ses caresses.
L’ivresse quelle dosait dans mes veines
Le goût de ses lèvres reste enfuit
Au fond de mes rêves.
Il m’achève, le regret grince très fort
Endolori mon corps
Qui éprouve le remord
De l’avoir laisser partir.
Elle le fruit mûr
Que je n’ai su garder

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Bonsoir Christopher-cri
Très agréable à lire
Merci du partage
Bonne soirée
Amicalement
Allaoua