Triste.

chadiya madihi a écrit:

Je me vois vider
À chaque pas loin de toi.
Ni le soleil à le même éclat
Ni le temps à la même odeur
Celle des fêtes et des griseries sans fin.
Tout est néant en moi
Loin d’être sourde à la peine
Qui gronde en mon sang
Je l’écoute
Et je n’y peux rien.
Fatiguée, que je suis
Et si lasse,
Je ne rêve même plus
Je n’espère point
T’oublier
L’oubli est un chemin
Qui ne prend pas mes pas

CELUI QUI SAIT a écrit:

chadiya madihi a écrit:

Je me vois vider
À chaque pas loin de toi.
Ni le soleil à le même éclat
Ni le temps à la même odeur
Celle des fêtes et des griseries sans fin.
Tout est néant en moi
Loin d’être sourde à la peine
Qui gronde en mon sang
Je l’écoute
Et je n’y peux rien.
Fatiguée, que je suis
Et si lasse,
Je ne rêve même plus
Je n’espère point
T’oublier
L’oubli est un chemin
Qui ne prend pas mes pas

L'oubli,une alternative,mais peut-on réellement oublier?
Effacer de notre disque dur quelques superflus logiciels,
Les aléas de la vie ternissent souvent notre arc-en-ciel,
Demain sera un autre jour où j'aimerai sans me soucier.

chadiya madihi a écrit:

Je me vois vider
À chaque pas loin de toi.
Ni le soleil à le même éclat
Ni le temps à la même odeur
Celle des fêtes et des griseries sans fin.
Tout est néant en moi
Loin d’être sourde à la peine
Qui gronde en mon sang
Je l’écoute
Et je n’y peux rien.
Fatiguée, que je suis
Et si lasse,
Je ne rêve même plus
Je n’espère point
T’oublier
L’oubli est un chemin
Qui ne prend pas mes pas

CELUI QUI SAIT a écrit:

L'oubli,une alternative,mais peut-on réellement oublier?
Effacer de notre disque dur quelques superflus logiciels,
Les aléas de la vie ternissent souvent notre arc-en-ciel,
Demain sera un autre jour où j'aimerai sans me soucier.

TITEFEE a écrit:
Le temps est pour cela notre seul allié car il adoucit les peines. Seule la nostalgie des jours où régnait la joie demeure encore un peu et nous cueille alors que l'on ne s'y attend pas...j'aime ton poème, surtout pour l'écho qui reste en moi d'une vie passée, ratée et pourtant vécue

Janedeau a écrit:
J'aime ton poème qui décrit bien cet errance qui t'emporte dans l'oubli !
Et combien est elle douce losqu'elle nous plonge en ses rêves et nous y retient !
Nulle souffrance n'est plus lourde que celle d'un coeur qui saigne

Merci pour ce tristounet

chadiya madihi a écrit:

Je me vois vider
À chaque pas loin de toi.
Ni le soleil à le même éclat
Ni le temps à la même odeur
Celle des fêtes et des griseries sans fin.
Tout est néant en moi
Loin d’être sourde à la peine
Qui gronde en mon sang
Je l’écoute
Et je n’y peux rien.
Fatiguée, que je suis
Et si lasse,
Je ne rêve même plus
Je n’espère point
T’oublier
L’oubli est un chemin
Qui ne prend pas mes pas

chadiya madihi a écrit:

Je me vois vider
À chaque pas loin de toi.
Ni le soleil à le même éclat
Ni le temps à la même odeur
Celle des fêtes et des griseries sans fin.
Tout est néant en moi
Loin d’être sourde à la peine
Qui gronde en mon sang
Je l’écoute
Et je n’y peux rien.
Fatiguée, que je suis
Et si lasse,
Je ne rêve même plus
Je n’espère point
T’oublier
L’oubli est un chemin
Qui ne prend pas mes pas