il n'existe pas de bonne raison.

Tu sais bien qu’il n’existe aucune autre raison,
Que le fait, que toi seul bâtit cette prison
Où t’enferme la soif d’inutiles promesses.
Tu vis des jours falots, en rêvant aux appas
De ce fuyant Eros et de folles caresses
Quand, dans ce que tu vis, l’amour n’existe pas !

Mais, en rêvant la vie, est-ce que tu peux croire
Qu’elle t’apportera le bonheur et la gloire,
Alors, qu’en t’isolant, tu fuis le vrai péril
De te brûler les ailes et de vraiment aimer,
Jusqu’à devenir bête ou plutôt puéril,
Pour vivre intensément et enfin t’affirmer ?

Ne songe pas ce jour que tout doit s’inventer,
Alors que, sans action, tout peut bien s’arrêter.
Ce n’est qu’à cœur perdu et surtout la franchise
Que tu sauras comment le plaisir retenir,
Quand, un même pas beau, t’auras par lui conquise,
Car des sentiments vrais ne peuvent se ternir.

De quels talents, au fait, peux-tu vraiment prétendre
Quand tu gaspilles tout, à trop vouloir attendre !
Ta peur, de te montrer si fragile au grand jour,
T’invite à éviter les émotions cruelles
Car, jalousie avec cette peur de l’amour,
Graveront en toi de bien longues séquelles

TITEFEE a écrit:Tu sais bien qu’il n’existe aucune autre raison,
Que le fait, que toi seul bâtit cette prison
Où t’enferme la soif d’inutiles promesses.
Tu vis des jours falots, en rêvant aux appas
De ce fuyant Eros et de folles caresses
Quand, dans ce que tu vis, l’amour n’existe pas !

Mais, en rêvant la vie, est-ce que tu peux croire
Qu’elle t’apportera le bonheur et la gloire,
Alors, qu’en t’isolant, tu fuis le vrai péril
De te brûler les ailes et de vraiment aimer,
Jusqu’à devenir bête ou plutôt puéril,
Pour vivre intensément et enfin t’affirmer ?

Ne songe pas ce jour que tout doit s’inventer,
Alors que, sans action, tout peut bien s’arrêter.
Ce n’est qu’à cœur perdu et surtout la franchise
Que tu sauras comment le plaisir retenir,
Quand, un même pas beau, t’auras par lui conquise,
Car des sentiments vrais ne peuvent se ternir.

De quels talents, au fait, peux-tu vraiment prétendre
Quand tu gaspilles tout, à trop vouloir attendre !
Ta peur, de te montrer si fragile au grand jour,
T’invite à éviter les émotions cruelles
Car, jalousie avec cette peur de l’amour,
Graveront en toi de bien longues séquelles

Il y a toujours une raison donnée à la raison,
L'intimité est une trés complexe récollection,
Refusant souvent à autrui toute immixtion,
L'esprit demeure solitaire en ses passions.

l'intelligence peut faire défaut à l'être.
il peut ne pas comprendre et donner sens à sa vie, le discernement n'est pas donné à tout le monde.
titefée. et la painture t'en fais encore?

Avoir peur de la vie c'est ne pas vivre mais juste survivre.
à relire ce poéme intriguant qui me plais beaucoup.

TITEFEE a écrit:Tu sais bien qu’il n’existe aucune autre raison,
Que le fait, que toi seul bâtit cette prison
Où t’enferme la soif d’inutiles promesses.
Tu vis des jours falots, en rêvant aux appas
De ce fuyant Eros et de folles caresses
Quand, dans ce que tu vis, l’amour n’existe pas !

Mais, en rêvant la vie, est-ce que tu peux croire
Qu’elle t’apportera le bonheur et la gloire,
Alors, qu’en t’isolant, tu fuis le vrai péril
De te brûler les ailes et de vraiment aimer,
Jusqu’à devenir bête ou plutôt puéril,
Pour vivre intensément et enfin t’affirmer ?

Ne songe pas ce jour que tout doit s’inventer,
Alors que, sans action, tout peut bien s’arrêter.
Ce n’est qu’à cœur perdu et surtout la franchise
Que tu sauras comment le plaisir retenir,
Quand, un même pas beau, t’auras par lui conquise,
Car des sentiments vrais ne peuvent se ternir.

De quels talents, au fait, peux-tu vraiment prétendre
Quand tu gaspilles tout, à trop vouloir attendre !
Ta peur, de te montrer si fragile au grand jour,
T’invite à éviter les émotions cruelles
Car, jalousie avec cette peur de l’amour,
Graveront en toi de bien longues séquelles

Si tu m'avais dédié ce poème, je l'aurais pris pour moi. Parce qu'aussi étonnant qu'il soit, il me parle vraiment.
Il n'y a pas de raison, d'ailleurs, mais on en trouve toujours une quelque part, quitte à la trouver dans les dédales de son âme pour être bien sûr de celle-ci et avec se protéger d'un couvre-chef.
Il y a des raison qui se font sentinelles...
En parallèle, cela me fait penser à celà que tes sizains : vivre un max et carpe diem.
Lors, puissé-je prendre en compte ces quelques vers poétiques et me les adresser...
Merci pour ces jolis mots.

TITEFEE a écrit:Tu sais bien qu’il n’existe aucune autre raison,
Que le fait, que toi seul bâtit cette prison
Où t’enferme la soif d’inutiles promesses.
Tu vis des jours falots, en rêvant aux appas
De ce fuyant Eros et de folles caresses
Quand, dans ce que tu vis, l’amour n’existe pas !

Mais, en rêvant la vie, est-ce que tu peux croire
Qu’elle t’apportera le bonheur et la gloire,
Alors, qu’en t’isolant, tu fuis le vrai péril
De te brûler les ailes et de vraiment aimer,
Jusqu’à devenir bête ou plutôt puéril,
Pour vivre intensément et enfin t’affirmer ?

Ne songe pas ce jour que tout doit s’inventer,
Alors que, sans action, tout peut bien s’arrêter.
Ce n’est qu’à cœur perdu et surtout la franchise
Que tu sauras comment le plaisir retenir,
Quand, un même pas beau, t’auras par lui conquise,
Car des sentiments vrais ne peuvent se ternir.

De quels talents, au fait, peux-tu vraiment prétendre
Quand tu gaspilles tout, à trop vouloir attendre !
Ta peur, de te montrer si fragile au grand jour,
T’invite à éviter les émotions cruelles
Car, jalousie avec cette peur de l’amour,
Graveront en toi de bien longues séquelles

Il y a une seule raison de vous lire: le plaisir d'une belle et douce lecture
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

TITEFEE a écrit:Tu sais bien qu’il n’existe aucune autre raison,
Que le fait, que toi seul bâtit cette prison
Où t’enferme la soif d’inutiles promesses.
Tu vis des jours falots, en rêvant aux appas
De ce fuyant Eros et de folles caresses
Quand, dans ce que tu vis, l’amour n’existe pas !

Mais, en rêvant la vie, est-ce que tu peux croire
Qu’elle t’apportera le bonheur et la gloire,
Alors, qu’en t’isolant, tu fuis le vrai péril
De te brûler les ailes et de vraiment aimer,
Jusqu’à devenir bête ou plutôt puéril,
Pour vivre intensément et enfin t’affirmer ?

Ne songe pas ce jour que tout doit s’inventer,
Alors que, sans action, tout peut bien s’arrêter.
Ce n’est qu’à cœur perdu et surtout la franchise
Que tu sauras comment le plaisir retenir,
Quand, un même pas beau, t’auras par lui conquise,
Car des sentiments vrais ne peuvent se ternir.

De quels talents, au fait, peux-tu vraiment prétendre
Quand tu gaspilles tout, à trop vouloir attendre !
Ta peur, de te montrer si fragile au grand jour,
T’invite à éviter les émotions cruelles
Car, jalousie avec cette peur de l’amour,
Graveront en toi de bien longues séquelles

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

il n'y a aucune raison car ces longues séquelles
ont monté les échelons comme la vie nous a mené
a nos chaos de la vie.

tres belle poésie mon amie ! [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]