La mort
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au fil des mots
roby
Yonlihinza Amadou
7 participants
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La mort
La mort
Sans préavis
Elle frappe à la porte
Choisi une vie
Et l'emporte.
"Elle passe toujours à coté"
On se dit
Quelle ne frappe jamais
Si près.
On se trompe.
Elle fini toujours
Par roder dans notre cour
Pour prendre
Une partie de notre cœur
Et nous en priver.
Le plus dur
On ne se fait jamais d'adieu
On ne se fait pas à l'idée
Qu'on puisse être privé
Des êtres chers à nous.
Lorsque leur présence se dénoue
La douleur remue
Et noue des peines
En chaîne
Aux creux de nos yeux.
Sans préavis
Elle frappe à la porte
Choisi une vie
Et l'emporte.
"Elle passe toujours à coté"
On se dit
Quelle ne frappe jamais
Si près.
On se trompe.
Elle fini toujours
Par roder dans notre cour
Pour prendre
Une partie de notre cœur
Et nous en priver.
Le plus dur
On ne se fait jamais d'adieu
On ne se fait pas à l'idée
Qu'on puisse être privé
Des êtres chers à nous.
Lorsque leur présence se dénoue
La douleur remue
Et noue des peines
En chaîne
Aux creux de nos yeux.
Yonlihinza Amadou- Nombre de messages : 432
Date d'inscription : 26/06/2008
Re: La mort
Ainsi nous tremblons aux injonctions pressantes de ce qui est la mort,
Une étreinte éternelle donné par un dernier baiser en guise de transport,
Une allégorie inattendue s'invitant,sans convenance,au grand bal macabre,
Arrivant à la lueur blafarde et vascillante que se donnent les candélabres,
Faucille à la main,elle fauche ce qui reste encore de la vie,de l'espérance,
Besogne faite,elle s'en retourne,attendant l'heure d'une nouvelle sentence.
Bien à toi.
Une étreinte éternelle donné par un dernier baiser en guise de transport,
Une allégorie inattendue s'invitant,sans convenance,au grand bal macabre,
Arrivant à la lueur blafarde et vascillante que se donnent les candélabres,
Faucille à la main,elle fauche ce qui reste encore de la vie,de l'espérance,
Besogne faite,elle s'en retourne,attendant l'heure d'une nouvelle sentence.
Bien à toi.
Invité- Invité
Re: La mort
La vie et la mort jeu imprévisible,
C'est pourquoi
On doit rendre notre cœur lisible.
Ne point cacher nos sentiments
Pour attendre un moment
Qui ne viendra jamais
Probablement.
Penser au présent
Le vivre intensément,
Pour qu'on ne soit indéfiniment
Assaillît par les regrets.
C'est pourquoi
On doit rendre notre cœur lisible.
Ne point cacher nos sentiments
Pour attendre un moment
Qui ne viendra jamais
Probablement.
Penser au présent
Le vivre intensément,
Pour qu'on ne soit indéfiniment
Assaillît par les regrets.
roby- Nombre de messages : 1357
Date d'inscription : 28/10/2008
Re: La mort
Il suffit d'une rencontre décisive pour que le parfum flottant dans son sillage se fige à jamais dans notre mémoire,
La mort est d'une froideur glaciale, et lorsque, parfois , on réussit à lui fermer la porte au nez, elle s'en retourne comme elle est venue , sans état d'âme... de l'autre côté de la porte, il n'en va pas de même.
Poème plein de sensibilité ... merci
La mort est d'une froideur glaciale, et lorsque, parfois , on réussit à lui fermer la porte au nez, elle s'en retourne comme elle est venue , sans état d'âme... de l'autre côté de la porte, il n'en va pas de même.
Poème plein de sensibilité ... merci
Re: La mort
......Inlassablement, tout près de nous
sa main osseuse nous guette tous.
Faut-il avoir peur d'elle,
dans l'espoir serai-ce le salut......
Amitiés
Yefimia
sa main osseuse nous guette tous.
Faut-il avoir peur d'elle,
dans l'espoir serai-ce le salut......
Amitiés
Yefimia
yefimia- Nombre de messages : 2495
Humeur : Cyclothimique
Date d'inscription : 01/05/2008
Re: La mort
Apprendre à mourir ! Et pourquoi donc ? On y réussit très bien la première fois! :Chamfort
au plaisir
au plaisir
Re: La mort
OH super commentaire pour mes mots douleurs. merci CQSCELUI QUI SAIT a écrit:Ainsi nous tremblons aux injonctions pressantes de ce qui est la mort,
Une étreinte éternelle donné par un dernier baiser en guise de transport,
Une allégorie inattendue s'invitant,sans convenance,au grand bal macabre,
Arrivant à la lueur blafarde et vascillante que se donnent les candélabres,
Faucille à la main,elle fauche ce qui reste encore de la vie,de l'espérance,
Besogne faite,elle s'en retourne,attendant l'heure d'une nouvelle sentence.
Bien à toi.
Yonlihinza Amadou- Nombre de messages : 432
Date d'inscription : 26/06/2008
Re: La mort
roby a écrit:La vie et la mort jeu imprévisible,
C'est pourquoi
On doit rendre notre cœur lisible.
Ne point cacher nos sentiments
Pour attendre un moment
Qui ne viendra jamais
Probablement.
Penser au présent
Le vivre intensément,
Pour qu'on ne soit indéfiniment
Assaillît par les regrets.
Poeme com j'aime
les mots en gras je les adopte.
Yonlihinza Amadou- Nombre de messages : 432
Date d'inscription : 26/06/2008
Re: La mort
Beau commentaire bien filé.merci belle fileuse de motsau fil des mots a écrit:Il suffit d'une rencontre décisive pour que le parfum flottant dans son sillage se fige à jamais dans notre mémoire,
La mort est d'une froideur glaciale, et lorsque, parfois , on réussit à lui fermer la porte au nez, elle s'en retourne comme elle est venue , sans état d'âme... de l'autre côté de la porte, il n'en va pas de même.
Poème plein de sensibilité ... merci
Yonlihinza Amadou- Nombre de messages : 432
Date d'inscription : 26/06/2008
Re: La mort
Elle est salut..............quoi dire d'autre?yefimia a écrit:......Inlassablement, tout près de nous
sa main osseuse nous guette tous.
Faut-il avoir peur d'elle,
dans l'espoir serai-ce le salut......
Amitiés
Yefimia
Yonlihinza Amadou- Nombre de messages : 432
Date d'inscription : 26/06/2008
kimannzo- Nombre de messages : 898
loisirs : ecriture; équitation;jogging
Humeur : dynamique...
Date d'inscription : 27/05/2009
Re: La mort
Bonjour
Personne n'aime parler ni ne sais le faire (sauf les hommes de la religion peut'être).
Merci pour le passage.
Yonlihinza Amadou- Nombre de messages : 432
Date d'inscription : 26/06/2008
Lamort
Yonlihinza Amadou a écrit:La mort
Sans préavis
Elle frappe à la porte
Choisi une vie
Et l'emporte.
"Elle passe toujours à coté"
On se dit
Quelle ne frappe jamais
Si près.
On se trompe.
Elle fini toujours
Par roder dans notre cour
Pour prendre
Une partie de notre cœur
Et nous en priver.
Le plus dur
On ne se fait jamais d'adieu
On ne se fait pas à l'idée
Qu'on puisse être privé
Des êtres chers à nous.
Lorsque leur présence se dénoue
La douleur remue
Et noue des peines
En chaîne
Aux creux de nos yeux.
La mort est délivrance pour certain .....pour d'autre un grand malheur ...Ce qui a de bien si je peux m'exprimer ainsi, la mort frappe n'importe où n'importe quand et ne s'embarrasse pas de classe sociale, d'age............riche ou pauvre la faucheuse ne fait pas de différence!
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Merci Amadou pour ce Amitiés
Nelly
Nelly- Nombre de messages : 210
loisirs : l'écriture, la lecture
Humeur : dynamique, spontanée, joviale
Date d'inscription : 25/09/2009
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