Le flottant
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Le flottant
Le Flottant ( un rappel aux vagabonds et étinérants de nos villes)
J’ai couché les rêves pour ne pas qu’il regarde le monde qui l’enveloppe.
Mais sans rêves le vide à pousser mon corps dans la rue des mornes.
Corps meurtri par le froid aux habits déchirer,
Sous ses guenilles un corps le mien pousse des hurlements de faim.
Bataille infernale du non rêves contre la volonté de la survie de chaque membre d’un être de chair.
Révolte de la chair, qui défend le cœur, qui lui refuse de mourir.
J’ai l’âme meurtrie par la chair qui l’assène de sa volonté de vivre.
Sur un banc dur, mes yeux puisent chaque étoile qui scrute la vie humaine.
Va tu venir vers moi, dit la voix dans la tête.
Alors les paupières glissent lentement des larmes sur un visage meurtri.
Mon amour tu me manques tellement.
Mon amour je tarde à te retrouver, parce que c’est mon corps ne veut pas me quitter.
Il est avec moi depuis plusieurs années et il est le seul témoin de ta présence.
Mon amour mon âme, est avec toi et mon cœur est ici seul, avec mon corps qui peine à vivre.
Dit à mon âme de s’éloigner, pour qu’elle puisse faire battre mon cœur.
Mon âme et mon cœur réalise ensemble, beaucoup de rêves.
Et tu sais tu me la souvent répéter, le rêves est le berceau de la vie.
Oindre sur les secrets du passée, moulée dans la vie des jours et des jours, courir au rebus de la vie sans attraper un seul rêve.
La nuit coule sur la vie aux flots de la pensée meurtrie.
C’est la vie qui roule autour du parc des endormies aux manteaux froissées.
Malheur à ceux qui sont dépourvu de la mesure du travail.
Honte et douleur aux boires de l’oublie.
Puissance et férocité sur les corps des dépourvues.
L’on vie alors l’œuvre des hommes, éloignée les flottants des parcs et des villes.
L’œuvre olympique ne pouvait être tachée des êtres sans âmes.
Un jour l’âme revint, dans le corps de l’amour perdu.
Elle reprit alors sa place, auprès du cœur, qui fut tellement heureux de son retour; qu’il serra t l’âme à se rompre.
Alors ainsi réunie, il parcouru le chemin des rêves afin de retrouver l’amour perdu.
Denis H (auteur)
J’ai couché les rêves pour ne pas qu’il regarde le monde qui l’enveloppe.
Mais sans rêves le vide à pousser mon corps dans la rue des mornes.
Corps meurtri par le froid aux habits déchirer,
Sous ses guenilles un corps le mien pousse des hurlements de faim.
Bataille infernale du non rêves contre la volonté de la survie de chaque membre d’un être de chair.
Révolte de la chair, qui défend le cœur, qui lui refuse de mourir.
J’ai l’âme meurtrie par la chair qui l’assène de sa volonté de vivre.
Sur un banc dur, mes yeux puisent chaque étoile qui scrute la vie humaine.
Va tu venir vers moi, dit la voix dans la tête.
Alors les paupières glissent lentement des larmes sur un visage meurtri.
Mon amour tu me manques tellement.
Mon amour je tarde à te retrouver, parce que c’est mon corps ne veut pas me quitter.
Il est avec moi depuis plusieurs années et il est le seul témoin de ta présence.
Mon amour mon âme, est avec toi et mon cœur est ici seul, avec mon corps qui peine à vivre.
Dit à mon âme de s’éloigner, pour qu’elle puisse faire battre mon cœur.
Mon âme et mon cœur réalise ensemble, beaucoup de rêves.
Et tu sais tu me la souvent répéter, le rêves est le berceau de la vie.
Oindre sur les secrets du passée, moulée dans la vie des jours et des jours, courir au rebus de la vie sans attraper un seul rêve.
La nuit coule sur la vie aux flots de la pensée meurtrie.
C’est la vie qui roule autour du parc des endormies aux manteaux froissées.
Malheur à ceux qui sont dépourvu de la mesure du travail.
Honte et douleur aux boires de l’oublie.
Puissance et férocité sur les corps des dépourvues.
L’on vie alors l’œuvre des hommes, éloignée les flottants des parcs et des villes.
L’œuvre olympique ne pouvait être tachée des êtres sans âmes.
Un jour l’âme revint, dans le corps de l’amour perdu.
Elle reprit alors sa place, auprès du cœur, qui fut tellement heureux de son retour; qu’il serra t l’âme à se rompre.
Alors ainsi réunie, il parcouru le chemin des rêves afin de retrouver l’amour perdu.
Denis H (auteur)
Denis H- Nombre de messages : 3
loisirs : écriture, marche, recherche science
Humeur : sensibilité, patient, non colérique
Date d'inscription : 28/04/2009
Re: Le flottant
J’ai couché les rêves pour ne pas qu’il regarde le monde qui l’enveloppe.
Mais sans rêves le vide à pousser mon corps dans la rue des mornes.
Corps meurtri par le froid aux habits déchirer,
Sous ses guenilles un corps le mien pousse des hurlements de faim.
Bataille infernale du non rêves contre la volonté de la survie de chaque membre d’un être de chair.
Révolte de la chair, qui défend le cœur, qui lui refuse de mourir.
J’ai l’âme meurtrie par la chair qui l’assène de sa volonté de vivre.
Sur un banc dur, mes yeux puisent chaque étoile qui scrute la vie humaine.
Vas-tu venir vers moi, dit la voix dans la tête.
Alors les paupières glissent lentement des larmes sur un visage meurtri.
Mon amour tu me manques tellement.
Mon amour je tarde à te retrouver, parce que c’est mon corps ne veut pas me quitter.
Il est avec moi depuis plusieurs années et il est le seul témoin de ta présence.
Mon amour mon âme, est avec toi et mon cœur est ici seul, avec mon corps qui peine à vivre.
Dit à mon âme de s’éloigner, pour qu’elle puisse faire battre mon cœur.
Mon âme et mon cœur réalise ensemble, beaucoup de rêves.
Et tu sais tu me la souvent répéter, le rêves est le berceau de la vie.
Oindre sur les secrets du passée, moulée dans la vie des jours et des jours, courir au rebus de la vie sans attraper un seul rêve.
La nuit coule sur la vie aux flots de la pensée meurtrie.
C’est la vie qui roule autour du parc des endormies aux manteaux froissées.
Malheur à ceux qui sont dépourvu de la mesure du travail.
Honte et douleur aux boires de l’oublie.
Puissance et férocité sur les corps des dépourvues.
L’on vie alors l’œuvre des hommes, éloignée les flottants des parcs et des villes.
L’œuvre olympique ne pouvait être tachée des êtres sans âmes.
Un jour l’âme revint, dans le corps de l’amour perdu.
Elle reprit alors sa place, auprès du cœur, qui fut tellement heureux de son retour; qu’il serra l’âme à se rompre.
Alors ainsi réunie, il parcouru le chemin des rêves afin de retrouver l’amour perdu.
Bel écrit des facettes amères de la vie qui n’est pas douce pour tous.
Merci pour le partage Denis
Mais sans rêves le vide à pousser mon corps dans la rue des mornes.
Corps meurtri par le froid aux habits déchirer,
Sous ses guenilles un corps le mien pousse des hurlements de faim.
Bataille infernale du non rêves contre la volonté de la survie de chaque membre d’un être de chair.
Révolte de la chair, qui défend le cœur, qui lui refuse de mourir.
J’ai l’âme meurtrie par la chair qui l’assène de sa volonté de vivre.
Sur un banc dur, mes yeux puisent chaque étoile qui scrute la vie humaine.
Vas-tu venir vers moi, dit la voix dans la tête.
Alors les paupières glissent lentement des larmes sur un visage meurtri.
Mon amour tu me manques tellement.
Mon amour je tarde à te retrouver, parce que c’est mon corps ne veut pas me quitter.
Il est avec moi depuis plusieurs années et il est le seul témoin de ta présence.
Mon amour mon âme, est avec toi et mon cœur est ici seul, avec mon corps qui peine à vivre.
Dit à mon âme de s’éloigner, pour qu’elle puisse faire battre mon cœur.
Mon âme et mon cœur réalise ensemble, beaucoup de rêves.
Et tu sais tu me la souvent répéter, le rêves est le berceau de la vie.
Oindre sur les secrets du passée, moulée dans la vie des jours et des jours, courir au rebus de la vie sans attraper un seul rêve.
La nuit coule sur la vie aux flots de la pensée meurtrie.
C’est la vie qui roule autour du parc des endormies aux manteaux froissées.
Malheur à ceux qui sont dépourvu de la mesure du travail.
Honte et douleur aux boires de l’oublie.
Puissance et férocité sur les corps des dépourvues.
L’on vie alors l’œuvre des hommes, éloignée les flottants des parcs et des villes.
L’œuvre olympique ne pouvait être tachée des êtres sans âmes.
Un jour l’âme revint, dans le corps de l’amour perdu.
Elle reprit alors sa place, auprès du cœur, qui fut tellement heureux de son retour; qu’il serra l’âme à se rompre.
Alors ainsi réunie, il parcouru le chemin des rêves afin de retrouver l’amour perdu.
Bel écrit des facettes amères de la vie qui n’est pas douce pour tous.
Merci pour le partage Denis
sarah- Nombre de messages : 2022
Date d'inscription : 12/11/2008
Re: Le flottant
Je trouve sublime ces deux premiers vers, tout simplement parce qu’ils me parlent, sans rêve que serait la vie des Hommes ?Denis H a écrit:Le Flottant ( un rappel aux vagabonds et étinérants de nos villes)
J’ai couché les rêves pour ne pas qu’il regarde le monde qui l’enveloppe.
Mais sans rêves le vide à pousser mon corps dans la rue des mornes.
Denis H (auteur)
C'est très fort...
Merci pour ce partage...
Ménestrelle- Nombre de messages : 234
Date d'inscription : 01/05/2009
Re: Le flottant
Denis, s'il te plaît : tu as laissé des fautes qui endommagent le texte... (cf mon mp)...
gepetto- Nombre de messages : 1908
Humeur : Ça dépend du Lion ou du Rat...
Date d'inscription : 04/10/2008
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