TU ETAIS

TU ETAIS

Tu étais mon amant virtuel
Partage d’un fort émotionnel
Je t’es dessiner, rêvé, ressenti
Seule au plus profond de mes nuits
Dans l’imaginaire de mon bleu ciel
Tu sentais bon l’orient et le soleil.

O ! combien de vers je t’es dédié
En espérant, à mon cœur te rapatrié
Combien de pièces amoureuses
J’ai imagé sans scènes douloureuses,
Aujourd’hui tout n’est que songe
De ce léger et beau voyage.

Sur ce blanc et doux nuage
Ensemble de court passage
Ces instants j’ai enluminés,
Comme une gravure ciselée
Sur l’écrin rouge de mon cœur
Où je garde ce précieux bonheur

Voilà un souvenir à conserver dans la malle aux merveilles .

au fil des mots a écrit:Voilà un souvenir à conserver dans la malle aux merveilles .

Je vais en prendre grand soin car il me ressource et m'inspire

Tu es touché par cupidon, avoue-le soleil. Ça se sent dans tes vers-délices.
J’aime bien l’air triste qui se dégage d'entre tes lignes.

davidof a écrit:Tu es touché par cupidon, avoue-le soleil. Ça se sent dans tes vers-délices.
J’aime bien l’air triste qui se dégage d'entre tes lignes.

Je crois bien que oui!! (sourire)
J'ai dirons nous une certaine nostalgie mais pas de souffrance.

Admin a écrit:

Bonjour doux soleil
Aimer n’est pas forcement lié à souffrir…
Quoique…
J’aime bien cette dédicace en souffle de brise

Comme tu le dis si bien quoique.........
C'est de toute façon un amour pas très possible trop de distance géographique alors les contacts s'espace.
Pour c'est une douceur sur mon coeur.