Ad vitam æternam, Brassens…
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davidof
au fil des mots
Ménestrelle
7 participants
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Ad vitam æternam, Brassens…
Ce poème a reçu une très mauvaise critique, premièrement parce qu'au départ, je l'avais présenté sous la forme d'un sonnet "sans règle précise", (un sonnet pour Brassens, faut le faire, rire !) Puis secondement, l'éloge semble peu convainquante et sans doute un peu désuette, pas assez élaborée, maladroite, que sais-je...
Je ne me suis pas compliquée la vie. Je l'ai laissé sous la forme de 13 vers, un peu remanié, mais j'ai tout compacté, c'est tout moi ça ! Rebelle et désobéissante ! J'aime ce qui m'appartient, faire à ma manière... Ça dérange parfois, d'autre fois non. Je ne suis pas grande fan de Brassens, j'ai juste en mémoire quelques bribes d'antan. Ce n'est pas si loin, hier, mais les souvenirs me rapportent à l'école, lieu de mon enfance où j' eus appris quelques-unes de ses chansons... Brassens... J'aime beaucoup sa voix...
Ad vitam æternam, Brassens…
De quelle grande commémoration abonderait le souvenir,
Si la plume mélodieuse débordait d’une sombre encre,
Venant poindre ici le parchemin, et d’un zèle embrunir,
Ce qui reste d’antan, dont les bardes rêveurs échancrent ?
Voyez, le ton venteux sur les chalands lointains, Brassens,
À présent, le trépas s’est pincé de votre âme incandescente,
Grattée d’une ardente rengaine que des mains douces évincent
Sur la guitare du temps ; puis chantonne vos odes accrescentes.
Ces fluctuat nec mergitur… Sont-ce là paralittérature
Voguant sur le sillage, vibrant sur la corde des guitaristes ?
Pour être copain d’abord, soyons chantres colonialistes,
Berçons les volutes de vos trésors comme un abord augure ;
Mais ouïrions-nous ce dont il émane de la Vénus Callipyge ?
Entre Saturne et Grand Pan, le lied murmure le prodige.
Je ne me suis pas compliquée la vie. Je l'ai laissé sous la forme de 13 vers, un peu remanié, mais j'ai tout compacté, c'est tout moi ça ! Rebelle et désobéissante ! J'aime ce qui m'appartient, faire à ma manière... Ça dérange parfois, d'autre fois non. Je ne suis pas grande fan de Brassens, j'ai juste en mémoire quelques bribes d'antan. Ce n'est pas si loin, hier, mais les souvenirs me rapportent à l'école, lieu de mon enfance où j' eus appris quelques-unes de ses chansons... Brassens... J'aime beaucoup sa voix...
Ad vitam æternam, Brassens…
De quelle grande commémoration abonderait le souvenir,
Si la plume mélodieuse débordait d’une sombre encre,
Venant poindre ici le parchemin, et d’un zèle embrunir,
Ce qui reste d’antan, dont les bardes rêveurs échancrent ?
Voyez, le ton venteux sur les chalands lointains, Brassens,
À présent, le trépas s’est pincé de votre âme incandescente,
Grattée d’une ardente rengaine que des mains douces évincent
Sur la guitare du temps ; puis chantonne vos odes accrescentes.
Ces fluctuat nec mergitur… Sont-ce là paralittérature
Voguant sur le sillage, vibrant sur la corde des guitaristes ?
Pour être copain d’abord, soyons chantres colonialistes,
Berçons les volutes de vos trésors comme un abord augure ;
Mais ouïrions-nous ce dont il émane de la Vénus Callipyge ?
Entre Saturne et Grand Pan, le lied murmure le prodige.
Ménestrelle- Nombre de messages : 234
Date d'inscription : 01/05/2009
Re: Ad vitam æternam, Brassens…
Je ne peux que voter pour ta désobéissance, la liberté est une cause à défendre de tout coeur.
Concernant ton poème, j'ai moi aussi de la peine à y entrer, ce qui ne signifie pas qu'il est mauvais , au contraire. Je pense que c'est l'influence du style Brassens qui nous emprisonne. Dès que je lis ou entends son nom, ce style se met en marche (choix de mots formulation desphrases, etc), le son de sa guitarre aussi, tu sais les cordes pincées ... je me sens prisonnière de sa façon de s'exprimer et n'arrive pas à entrer dans la tienne pour ce texte-là. Je vais donc le lire et le relire et essayer de ressentir Brassens au travers de ta plume en me libérant de la sienne.
Merci de me permettre ce voyage à Brassens land d'une manière différente. ;-)
Concernant ton poème, j'ai moi aussi de la peine à y entrer, ce qui ne signifie pas qu'il est mauvais , au contraire. Je pense que c'est l'influence du style Brassens qui nous emprisonne. Dès que je lis ou entends son nom, ce style se met en marche (choix de mots formulation desphrases, etc), le son de sa guitarre aussi, tu sais les cordes pincées ... je me sens prisonnière de sa façon de s'exprimer et n'arrive pas à entrer dans la tienne pour ce texte-là. Je vais donc le lire et le relire et essayer de ressentir Brassens au travers de ta plume en me libérant de la sienne.
Merci de me permettre ce voyage à Brassens land d'une manière différente. ;-)
Re: Ad vitam æternam, Brassens…
Je préfère de loin tes tires d’ailes et tes oiseaux-vers illustrés.
Celui là est trop lourd pour moi qui ne suis qu’amateur.
pour me faire pardonner.
Celui là est trop lourd pour moi qui ne suis qu’amateur.
pour me faire pardonner.
davidof- Nombre de messages : 2697
loisirs : pêche, voyage, music...
Date d'inscription : 21/05/2008
Re: Ad vitam æternam, Brassens…
Ce poème a reçu une très mauvaise critique, premièrement parce qu'au départ, je l'avais présenté sous la forme d'un sonnet "sans règle précise", (un sonnet pour Brassens, faut le faire, rire !)
Moi j'ai écrit ceci, un peu long mais à la Brassens et à ma façon, hihi
moi aussi je suis...
juste le Réal, bise à toi
Je m’emmerde vous dis-je…
D`être « sustentatoir »
À l’adverbe, savoir
Le présent compensé
N’est pas si singulier
Aux pluriels, détresse
Il y a dans l’écu
Une vulgarité
Et Monnet s’éclaircit
En toute volupté
On voit bien l’avenir
Dans un devoir distant
On sait bien se tenir
Privé de l’assistant
Et la verve rampante
Comme lierre d’antan
La moitié dans l’attente
Elle cri je me vole
Comme un bouquin lié
Un livret sur le sol
À cueillir la rosée
Un souhait pour la marge
Et si j’avions des elles
Pour un lui qui rigole
Et si j’avions jarretelle
Comme un bas sans luciole
J’alarmerai raison
En combattant pensé
Étant dans l’horizon
Dans mes pas séquencés
Un trop thème à l’orteil
On dira un bracelet
Pour le temps dit passé
Et on fera le guet
Sous un lilas secret
Ne faut surtout pas vendre
La source du temps
Et regretter son âme
Sans la pause au bémol
Mais être a pas d’avoir, car il sait qu’on le fuit
Un chemin dans le noir avait tant si envie
De meubler mon histoire en croisant les parvis
Une mémoire et puis un appel pour la vie
Une corde ostensoir pendulait dans ma nuit
Une lune entonnoir si petite à l’ennui
Et un sas au pouvoir, relire Gosciny
Un sourire sans grimoire il faudrait bien l’écrit
Je m’emmerde en saison le labour n’est pas fleur
Mais il y a chansons pour fleurir tous les cœurs
Et Jeanne a son jardin une fleur un refrain
Elle cueille un matin en fait un parchemin
Était-elle un destin un avenir enfin
Une canne d’étain le pommeau dans sa main
Le majeur à l’index faut pas avoir la main
Pour décrire son ex, je ne veux plus matin
Et si d’août est prétexte à savoir lendemain
Je suis où dans mon texte à me voir le chagrin
Plus vieux quand je le dis poursuivant ma raison
Sans plume à l’horizon il y a la façon
D’encrer un emmerdeur à la une mission
Je m’emmerde sciant le tranchant est le son
Le poète à l’an-vers avait tant de jupons
L’obsolète pré vert sulpicien d’un juron
Et la foi vie que terre avait une tension
Mais il n’y a pas clerc dans toutes mes visions
Le savoir, qui d’un mot décrit toute ignorance
Le vouloir est propos au dortoir d’assistance
La mémoire d’un anneau quand le banc est pudique
Blanc se voit dans l’appeau, sonorité ludique
Je m’emmerde à l’endos il est au si tôt gène
Il se sert de l’an-clos pour encarter ma laine
Vais celle qui à l’eau entame une rengaine
Avait-il chapiteaux pour revoir une scène
Je m’emmerde vous dis je à vous savoir en cul
Sous la couche d’os zone un père-ver est repu
J’emmerde le je puits-je à singe assit poilu
Le trouvère qui trône était-il parvenu
Mais au levant mon œil a bien vu que l’enfant
N’était pas si en deuil d’enterrer son présent
Il emmerdait le champ au pas plus que passant
Il savait que son chant emmerderait puisant
Si rêve est cueilli quand la nuit se penche
Le temps est suivi de la dame blanche
Et le noir ainsi écrira dans l’anse
Si peu de la vie juste une romance
Quand il est un conseil de conseiller les gens
Était-il dans la rue à cueillir vos mémoires
Un souvenir pour l’un l’autre était en devoir
Celui le si savant l’emmerdeur de l’avant
Prolétaire au drapeau Victor vu son ego
Révolution dans l’âme au cœur fut le pied bot
Si je perds ma maison, le gueux prendra le sceau
Si peu comme le vœu d’être encore puceau
Je m’emmerde vous dis-je…
D`être « sustentatoir »
À l’adverbe, savoir
Le présent compensé
N’est pas si singulier
Aux pluriels, détresse
Il y a dans l’écu
Une vulgarité
Et Monnet s’éclaircit
En toute volupté
On voit bien l’avenir
Dans un devoir distant
On sait bien se tenir
Privé de l’assistant
Et la verve rampante
Comme lierre d’antan
La moitié dans l’attente
Elle cri je me vole
Comme un bouquin lié
Un livret sur le sol
À cueillir la rosée
Un souhait pour la marge
Et si j’avions des elles
Pour un lui qui rigole
Et si j’avions jarretelle
Comme un bas sans luciole
J’alarmerai raison
En combattant pensé
Étant dans l’horizon
Dans mes pas séquencés
Un trop thème à l’orteil
On dira un bracelet
Pour le temps dit passé
Et on fera le guet
Sous un lilas secret
Ne faut surtout pas vendre
La source du temps
Et regretter son âme
Sans la pause au bémol
Mais être a pas d’avoir, car il sait qu’on le fuit
Un chemin dans le noir avait tant si envie
De meubler mon histoire en croisant les parvis
Une mémoire et puis un appel pour la vie
Une corde ostensoir pendulait dans ma nuit
Une lune entonnoir si petite à l’ennui
Et un sas au pouvoir, relire Gosciny
Un sourire sans grimoire il faudrait bien l’écrit
Je m’emmerde en saison le labour n’est pas fleur
Mais il y a chansons pour fleurir tous les cœurs
Et Jeanne a son jardin une fleur un refrain
Elle cueille un matin en fait un parchemin
Était-elle un destin un avenir enfin
Une canne d’étain le pommeau dans sa main
Le majeur à l’index faut pas avoir la main
Pour décrire son ex, je ne veux plus matin
Et si d’août est prétexte à savoir lendemain
Je suis où dans mon texte à me voir le chagrin
Plus vieux quand je le dis poursuivant ma raison
Sans plume à l’horizon il y a la façon
D’encrer un emmerdeur à la une mission
Je m’emmerde sciant le tranchant est le son
Le poète à l’an-vers avait tant de jupons
L’obsolète pré vert sulpicien d’un juron
Et la foi vie que terre avait une tension
Mais il n’y a pas clerc dans toutes mes visions
Le savoir, qui d’un mot décrit toute ignorance
Le vouloir est propos au dortoir d’assistance
La mémoire d’un anneau quand le banc est pudique
Blanc se voit dans l’appeau, sonorité ludique
Je m’emmerde à l’endos il est au si tôt gène
Il se sert de l’an-clos pour encarter ma laine
Vais celle qui à l’eau entame une rengaine
Avait-il chapiteaux pour revoir une scène
Je m’emmerde vous dis je à vous savoir en cul
Sous la couche d’os zone un père-ver est repu
J’emmerde le je puits-je à singe assit poilu
Le trouvère qui trône était-il parvenu
Mais au levant mon œil a bien vu que l’enfant
N’était pas si en deuil d’enterrer son présent
Il emmerdait le champ au pas plus que passant
Il savait que son chant emmerderait puisant
Si rêve est cueilli quand la nuit se penche
Le temps est suivi de la dame blanche
Et le noir ainsi écrira dans l’anse
Si peu de la vie juste une romance
Quand il est un conseil de conseiller les gens
Était-il dans la rue à cueillir vos mémoires
Un souvenir pour l’un l’autre était en devoir
Celui le si savant l’emmerdeur de l’avant
Prolétaire au drapeau Victor vu son ego
Révolution dans l’âme au cœur fut le pied bot
Si je perds ma maison, le gueux prendra le sceau
Si peu comme le vœu d’être encore puceau
Je m’emmerde vous dis-je…
atouthasard- Nombre de messages : 1113
Date d'inscription : 11/10/2008
Re: Ad vitam æternam, Brassens…
Ad vitam æternam
Pour l'éternité,
L’hommage-couronne sur le front de ceux qu’on aime.
Ceux qu’on ne voudrait pas oublier.
Qu’on voudrait garder prés du cœur.
ps: j'aime la réplique de Réal
Pour l'éternité,
L’hommage-couronne sur le front de ceux qu’on aime.
Ceux qu’on ne voudrait pas oublier.
Qu’on voudrait garder prés du cœur.
ps: j'aime la réplique de Réal
Re: Ad vitam æternam, Brassens…
Surprenant, beau mais très hermétique ce poème.
Mes amitiés
Yefimia
Mes amitiés
Yefimia
yefimia- Nombre de messages : 2495
Humeur : Cyclothimique
Date d'inscription : 01/05/2008
Re: Ad vitam æternam, Brassens…
atouthasard, je suis vraiment ravie que tu aies mis ce poème (chanson) que je trouve magnifique ! Merci pour ce partage. S'il y a d'autres fans de Brassens, n'hésitez-pas... ;-)
Merci à tous pour vos lectures et commentaires.
Me voici donc encor venir couronner Brassens, à ma façon, mais cette fois m'en rapprochant un peu plus... presque le/la mode Brassens... J'pense que certains d'vraient rentrer d'dans...
C'est un Honneur aux Con-cierges ;-)
Bon, il m'est impossible de battre l'tambour avec mes parties génitales ;-)
Mais, j'peux battre la breloque... Rire !
Pardonnez mon insolence...
Mesdam’ les Cancanières
J’aime vous écouter, enrhumés du cerveau,
Jetant sur mon châssis, rumeurs et flot de mots,
Tombant lascifs, pareils au mort dans le caveau,
Jetant sur mon châssis, fracas et jets de maux ;
Faut-il donc que je sois personne de renom
Pour tenir fermement les beaux harnais des cons ?
De mon petit écho, de mon petit radeau,
Je vous l’dis, je tiendrai le dos des grands blaireaux ;
Mesdam’s les Cancanières
J’vous l’dis, j’vous l’dis,
Mais j’m’ennui’
À vous écouter me nuire,
Tout’s derrière, tout’s derrière,
J’m’ennui’
À vous écouter me nuire,
Tout’s derrière,
Et moi devant.
D’un tire-fond, je clos leur flûte de grand Pan,
J’écrase les cafards à l’ombre du jardin,
Sur la fraîche rosé’, au p’tit matin dansant,
Fleurissent des pensé’s, puits des soucis défunts ;
J’m’en lave encor les mains quand le monde se couche
Sous l’éclat de la lune, et bien moi je découche !
De leur fenêtre alors, les yeux cupides fusent,
Mais je vous l’dis, sur mon cuir l’avarice diffuse ;
Mesdam’s les Cancanières
J’vous l’dis, j’vous l’dis,
Mais j’m’ennui’
À vous écouter me nuire,
Tout’s derrière, tout’s derrière,
J’m’ennui’
À vous écouter me nuire,
Tout’s derrière,
Et moi devant.
Il bruine de travers l’crachin sur la paillasse,
Mesdames, regardez vot’ fumier sur l’pallier,
Cela fumasse lourd pareill'ment aux caillasses,
Les relents du dessous de vos maudits halliers !
Me faudrait-il Mesdam’s être un mâle enjoué,
Sur le lit fair’ de vous une célébrité,
Ramonant vot’côté curieux d’paparazzi,
Pour qu'en mon grand esprit naquît un paradis ?
Mesdam’s les Cancanières
J’vous l’dis, j’vous l’dis,
Mais j’m’ennui’
À vous écouter me nuire,
Tout’s derrière, tout’s derrière,
J’m’ennui’
À vous écouter me nuire,
Tout’s derrière,
Et moi devant.
Merci à tous pour vos lectures et commentaires.
Me voici donc encor venir couronner Brassens, à ma façon, mais cette fois m'en rapprochant un peu plus... presque le/la mode Brassens... J'pense que certains d'vraient rentrer d'dans...
C'est un Honneur aux Con-cierges ;-)
Bon, il m'est impossible de battre l'tambour avec mes parties génitales ;-)
Mais, j'peux battre la breloque... Rire !
Pardonnez mon insolence...
Mesdam’ les Cancanières
J’aime vous écouter, enrhumés du cerveau,
Jetant sur mon châssis, rumeurs et flot de mots,
Tombant lascifs, pareils au mort dans le caveau,
Jetant sur mon châssis, fracas et jets de maux ;
Faut-il donc que je sois personne de renom
Pour tenir fermement les beaux harnais des cons ?
De mon petit écho, de mon petit radeau,
Je vous l’dis, je tiendrai le dos des grands blaireaux ;
Mesdam’s les Cancanières
J’vous l’dis, j’vous l’dis,
Mais j’m’ennui’
À vous écouter me nuire,
Tout’s derrière, tout’s derrière,
J’m’ennui’
À vous écouter me nuire,
Tout’s derrière,
Et moi devant.
D’un tire-fond, je clos leur flûte de grand Pan,
J’écrase les cafards à l’ombre du jardin,
Sur la fraîche rosé’, au p’tit matin dansant,
Fleurissent des pensé’s, puits des soucis défunts ;
J’m’en lave encor les mains quand le monde se couche
Sous l’éclat de la lune, et bien moi je découche !
De leur fenêtre alors, les yeux cupides fusent,
Mais je vous l’dis, sur mon cuir l’avarice diffuse ;
Mesdam’s les Cancanières
J’vous l’dis, j’vous l’dis,
Mais j’m’ennui’
À vous écouter me nuire,
Tout’s derrière, tout’s derrière,
J’m’ennui’
À vous écouter me nuire,
Tout’s derrière,
Et moi devant.
Il bruine de travers l’crachin sur la paillasse,
Mesdames, regardez vot’ fumier sur l’pallier,
Cela fumasse lourd pareill'ment aux caillasses,
Les relents du dessous de vos maudits halliers !
Me faudrait-il Mesdam’s être un mâle enjoué,
Sur le lit fair’ de vous une célébrité,
Ramonant vot’côté curieux d’paparazzi,
Pour qu'en mon grand esprit naquît un paradis ?
Mesdam’s les Cancanières
J’vous l’dis, j’vous l’dis,
Mais j’m’ennui’
À vous écouter me nuire,
Tout’s derrière, tout’s derrière,
J’m’ennui’
À vous écouter me nuire,
Tout’s derrière,
Et moi devant.
Ménestrelle- Nombre de messages : 234
Date d'inscription : 01/05/2009
Re: Ad vitam æternam, Brassens…
Brassens, celui-là ne l'aurait pas renié.
TITEFEE- Nombre de messages : 1437
loisirs : poésies, ballades
Humeur : rêveuse
Date d'inscription : 17/02/2008
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