DOULEUR

yefimia a écrit:"Les douleurs légères s'expriment,
les grandes douleurs sont muettes".

Sénèque

Tres jolie et sincère.
Amitié
YEFI

cristopher-cris a écrit:Douleur ?
D’où vient-elle ? Pourquoi ?

Comment la faire taire ?
Pourquoi est-elle liée au cœur et à l’amour ?

sarah a écrit:Le bonheur et la douleur procèdent de la même tension comme de la même perdition.

Admin a écrit:

S'il fallait boire les mers entières
Pour étancher ma soif à tes lèvres
S'il fallait monter toutes les montagnes
Pour que, un seul regard de toi, je gagne
S'il fallait descendre au fond des volcans
Pour enfin enlacer ton cœur provocant
Si, seulement tes yeux viennent vers mes cieux
Ils verront l'amour que je voue, périlleux
Pour toi, source de songe et rêve
Qui me fait tourner la tête sans trêve.

L’impacte de ces vers est fort !!! Voilà ce qui en sort !!!

atouthasard a écrit:D'où l'heure est elle venue
Comme leurre des nues
Où l'heure est elle vendue
La minute est parvenue

À faire la seconde foi que je me suis tenu
D'où l'heure est elle venue...

Amitiés Réal

douceur a écrit:
Rayane
pas de mot pour ce beau poème !

au fil des mots a écrit:L'expression des sentiments, des désirs, des utopies sans jugement ni haine pour celle qui a quitté . Si l'humain pouvait toujours réagir ainsi que le monde serait beau ...
J'aime bcp

rayane a écrit:S'il fallait aller en enfer
Pour te retrouver,
Je prendrais le chemin le plus court
en aller simple sans retour.

Je ne ferais la volonté buissonnière
Même si tu m’as quitté sans rien dire
Sans un adieu, pour mon cœur
Qui, de t’aimer était si fier.

Tu n’es plus là, seuls les souvenirs
Restent au fond de mon monde.
Ils me regardent et se demandent
Ce que je vais faire sans toi.

Que dire à mes mains
Qui chercheront ta peau chaque soir
Pour lui dire tout l’amour
Qui grandi et gronde en moi.


Que dire à mes lèvres
Qui désirent embrasser tes paupières.
Et dire à tes yeux bavards
Toute la tendresse qui tourne en douleurs.

rayane a écrit:S'il fallait aller en enfer
Pour te retrouver,
Je prendrais le chemin le plus court
en aller simple sans retour.

Je ne ferais la volonté buissonnière
Même si tu m’as quitté sans rien dire
Sans un adieu, pour mon cœur
Qui, de t’aimer était si fier.

Tu n’es plus là, seuls les souvenirs
Restent au fond de mon monde.
Ils me regardent et se demandent
Ce que je vais faire sans toi.

Que dire à mes mains
Qui chercheront ta peau chaque soir
Pour lui dire tout l’amour
Qui grandi et gronde en moi.


Que dire à mes lèvres
Qui désirent embrasser tes paupières.
Et dire à tes yeux bavards
Toute la tendresse qui tourne en douleurs.