L'absente
4 participants
Page 1 sur 1
L'absente
L’air absente,
Elle marchait
Comme une feuille emportée par le vent.
Elle marchait,
Le souffle mâchait
Ses mèches, les relâchais, les dénouer.
Elle marchait,
Je la regardais.
Je me demandais si le vent l’emportait.
Si elle se sentait
Flotter dans l’air qui l’entourait
Elle était là, mais si absente.
Elle n’était ni plume, ni poussière.
Elle me paraissait si légère.
Elle marchait,
Ses pas emprisonnés dans ses pensées.
Ses yeux ne voyaient point
Là où elle marchait
La route la guidait.
Je la regardais,
Elle s’éloignait,
Je ne voulais la retenir,
Sa main lui tenir
Elle me refuse son cœur;
Son cœur est prit ailleurs
Dans cet ailleurs
Qu’elle ne pouvait rejoindre.
Celui quelle aime de tout son âme
A quitté la terre
La laissant, comme un poisson dans les airs.
Elle marchait
Comme une feuille emportée par le vent.
Elle marchait,
Le souffle mâchait
Ses mèches, les relâchais, les dénouer.
Elle marchait,
Je la regardais.
Je me demandais si le vent l’emportait.
Si elle se sentait
Flotter dans l’air qui l’entourait
Elle était là, mais si absente.
Elle n’était ni plume, ni poussière.
Elle me paraissait si légère.
Elle marchait,
Ses pas emprisonnés dans ses pensées.
Ses yeux ne voyaient point
Là où elle marchait
La route la guidait.
Je la regardais,
Elle s’éloignait,
Je ne voulais la retenir,
Sa main lui tenir
Elle me refuse son cœur;
Son cœur est prit ailleurs
Dans cet ailleurs
Qu’elle ne pouvait rejoindre.
Celui quelle aime de tout son âme
A quitté la terre
La laissant, comme un poisson dans les airs.
rayane- Nombre de messages : 1418
Date d'inscription : 23/09/2008
Re: L'absente
Un tête à tête avec un individu absent par la pensée empire la sensation de solitude .....
Re: L'absente
Elle m'avait dit: L'absence est à l'amour, ce qu'est au feu le vent ; il éteint le petit, il allume le grand.
je ne sait où elle a pêché ces mots que je trouves lourds.
je ne sait où elle a pêché ces mots que je trouves lourds.
rayane- Nombre de messages : 1418
Date d'inscription : 23/09/2008
Re: L'absente
ce que je peux t'offrir en com:
L'absence
Auteur : Jean-Jacques Goldman
Compositeur : Jean-Pierre Goussaud
Le tango lent de ton sang dans mes veines
J'entends battre ta vie plus que la mienne
Quand la nuit rapproche ceux qui sont loin
Le matin prend ma place et je m'éteins
Nulle envie, nulle pensée pour personne
L'absence a tout pris, que l'on me pardonne
Quand on n'est même plus la moitié d'un
Comme un billet déchiré ne vaut rien
Les saisons ne sont plus que de passage
Les couleurs ont déserté mes images
Je reverrai tout quand tu seras là
Je repeindrai tout quand tu reviendras
Je reverrai tout quand tu seras là
Je repeindrai tout quand tu reviendras
:écrire: :écrire:
L'absence
Auteur : Jean-Jacques Goldman
Compositeur : Jean-Pierre Goussaud
Le tango lent de ton sang dans mes veines
J'entends battre ta vie plus que la mienne
Quand la nuit rapproche ceux qui sont loin
Le matin prend ma place et je m'éteins
Nulle envie, nulle pensée pour personne
L'absence a tout pris, que l'on me pardonne
Quand on n'est même plus la moitié d'un
Comme un billet déchiré ne vaut rien
Les saisons ne sont plus que de passage
Les couleurs ont déserté mes images
Je reverrai tout quand tu seras là
Je repeindrai tout quand tu reviendras
Je reverrai tout quand tu seras là
Je repeindrai tout quand tu reviendras
:écrire: :écrire:
nisrine nacer- Nombre de messages : 1044
Date d'inscription : 09/09/2008
Re: L'absente
L'absence est une ride du souvenir. C'est la douceur d'une caresse, un petit poème oublié sur la table.
[Tahar Ben Jelloun]
PENSIF
[Tahar Ben Jelloun]
PENSIF
rayane- Nombre de messages : 1418
Date d'inscription : 23/09/2008
Re: L'absente
rayane a écrit:L’air absente,
Elle marchait
Comme une feuille emportée par le vent.
Elle marchait,
Le souffle mâchait
Ses mèches, les relâchais, les dénouer.
Elle marchait,
Je la regardais.
Je me demandais si le vent l’emportait.
Si elle se sentait
Flotter dans l’air qui l’entourait
Elle était là, mais si absente.
Elle n’était ni plume, ni poussière.
Elle me paraissait si légère.
Elle marchait,
Ses pas emprisonnés dans ses pensées.
Ses yeux ne voyaient point
Là où elle marchait
La route la guidait.
Je la regardais,
Elle s’éloignait,
Je ne voulais la retenir,
Sa main lui tenir
Elle me refuse son cœur;
Son cœur est prit ailleurs
Dans cet ailleurs
Qu’elle ne pouvait rejoindre.
Celui quelle aime de tout son âme
A quitté la terre
La laissant, comme un poisson dans les airs.
romantique et tres beau à lire
mohamed kojok- Nombre de messages : 281
loisirs : lecture et sport
Humeur : calme
Date d'inscription : 11/01/2008
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum