Vacances estriviales du grincheux
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Vacances estriviales du grincheux
Il voyage, il se faufile
Je devine un son futile
qui se gonfle à mon approche
je sors les mains de mes poches
Les index dans les oreilles
Je snobe le chant des abeilles.
Qu’elles s’envolent vers le verger !
Je n’ai rien à leur donner.
Elle voyage, et elle s’impose
La chaleur qui m’indispose
Qui augmente au fil du temps
Je sors les mains de mes gants
Une paume sur le front
Forte fièvre jusqu’au menton.
Je n’arrive à la chasser !
Je ne peux y échapper
Elle voyage, elle se déplace
Je sens une odeur de crasse
Qui s’accroît par la sueur
Mes mains collent par la moiteur
une pince sur les narines
Les effluves qui me dépriment.
N’auraient qu’à passer plus loin !
N’en ferai pas tout un foin.
Il voyage, se concrétise
Je perçois l’état de crise
Qui prend forme à mon approche
Tout cela deviendra moche
Si je ne peux supporter
Les aléas de l’été.
Petits riens deviendront tout !
Ça pourrait me rendre fou.
Je devine un son futile
qui se gonfle à mon approche
je sors les mains de mes poches
Les index dans les oreilles
Je snobe le chant des abeilles.
Qu’elles s’envolent vers le verger !
Je n’ai rien à leur donner.
Elle voyage, et elle s’impose
La chaleur qui m’indispose
Qui augmente au fil du temps
Je sors les mains de mes gants
Une paume sur le front
Forte fièvre jusqu’au menton.
Je n’arrive à la chasser !
Je ne peux y échapper
Elle voyage, elle se déplace
Je sens une odeur de crasse
Qui s’accroît par la sueur
Mes mains collent par la moiteur
une pince sur les narines
Les effluves qui me dépriment.
N’auraient qu’à passer plus loin !
N’en ferai pas tout un foin.
Il voyage, se concrétise
Je perçois l’état de crise
Qui prend forme à mon approche
Tout cela deviendra moche
Si je ne peux supporter
Les aléas de l’été.
Petits riens deviendront tout !
Ça pourrait me rendre fou.
Re: Vacances estriviales du grincheux
Tu es fiévreuse mon amie,
Mieux vaut demeurer au lit,
Je me ferais apothicaire,
Rien que pour te plaire.
Je ne te dirais point la suite.
Mieux vaut demeurer au lit,
Je me ferais apothicaire,
Rien que pour te plaire.
Je ne te dirais point la suite.
Invité- Invité
Re: Vacances estriviales du grincheux
Ma peur pour toi
se gonfle !
La sueur
de ma crainte
Se transforme
En questions !
Je te souhaite
Printemps parfumé
De tranquillité
Pour que tu sortes
De ta couette
Et viennes prendre un thé
À la menthe
Sous les oliviers
se gonfle !
La sueur
de ma crainte
Se transforme
En questions !
Je te souhaite
Printemps parfumé
De tranquillité
Pour que tu sortes
De ta couette
Et viennes prendre un thé
À la menthe
Sous les oliviers
Re: Vacances estriviales du grincheux
Le grincheux trouve toujours à redire !
cristopher-cris- Nombre de messages : 2748
loisirs : lecture, voyage
Date d'inscription : 18/07/2008
Re: Vacances estriviales du grincheux
CELUI QUI SAIT a écrit:Tu es fiévreuse mon amie,
Mieux vaut demeurer au lit,
Je me ferais apothicaire,
Rien que pour te plaire.
Je ne te dirais point la suite.
Que voilà coquins secours
Dans un ambigu discours
Tu papotes et tu te moques
Attention à la riposte ![Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Re: Vacances estriviales du grincheux
Admin a écrit:Ma peur pour toi
se gonfle !
La sueur
de ma crainte
Se transforme
En questions !
Je te souhaite
Printemps parfumé
De tranquillité
Pour que tu sortes
De ta couette
Et viennes prendre un thé
À la menthe
Sous les oliviers
Si grincher :orage: = tasse de thé .... comment faire pour arrêter ?
Menthe en plus : -hep génie , chez Aziza... de suite
Re: Vacances estriviales du grincheux
cristopher-cris a écrit:Le grincheux trouve toujours à redire !
Je dois avouer quej'adore grincher, ronchonner et grogner de temps à autre mais uniquement quand je suis seule. Une fois les complaintes (idiotes et souvent pas fondées) évacuées la place est libre pour la bonne humeur..
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