MISCELANIOUS

Sur mes lèvres je sens
la trace de tes larmes,
souvenir des jours où nous étions,
l'indicateur des jours où nous serons.
-----------------------------------
Tu me fatigues,
tes efforts permanents
de prouver que ce n'était pas toi
mais quelqu'un d'autre.
Comme si tu voulais me prouver
que la terre est plate.

Tes mots me fatigues,
dire que tu ne me mérites pas,
- alors que fais tu là encore?
Comme l'épilogue inutile
d'un roman inconcevable
que même Kafka n'aurai digéré,
tes excuses me fatiguent.
-------------------------
Et puis devant les yeux de qui?
-----------------------------
Seul, assis sur mon lit,
je me demande parfois
ou sont disparus les amis
quand on en a besoin le plus.

Yefi 2009

yefimia a écrit:Sur mes lèvres je sens
la trace de tes larmes,
souvenir des jours où nous étions,
l'indicateur des jours où nous serons.
-----------------------------------
Tu me fatigues,
tes efforts permanents
de prouver que ce n'était pas toi
mais quelqu'un d'autre.
Comme si tu voulais me prouver
que la terre est plate.

Tes mots me fatigues,
dire que tu ne me mérites pas,
- alors que fais tu là encore?
Comme l'épilogue inutile
d'un roman inconcevable
que même Kafka n'aurai digéré,
tes excuses me fatiguent.
-------------------------
Et puis devant les yeux de qui?
-----------------------------
Seul, assis sur mon lit,
je me demande parfois
ou sont disparus les amis
quand on en a besoin le plus.

Yefi 2009

sur mes levres je sens la trace de tes larmes. ceci vaut beaucoup en poesie,c'est le plus beau vers de la journee

merci et ravi de te lire,mohamed

Merci Mohamed.

Yefi