Mélancolie
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Mélancolie
Ces ciels qui me dévastent
Les ciels qui me dévastent allongent mes nuits
Et sur mes désirs d’arcs en ciel étire l’ennui
Dans l’ombre éternelle des nuits embuées et glacées
Elle vibre là où la lyre et le colibri dans un chant d’été
De leur union irradiaient le monde des ombres détestées.
Mais la terre était la terre et nous foulions la grande pesanteur.
J’ai eu raison de te garder au creux de mes sillons
La trace était profonde et le germe plus beau
Quand notre amour ouvrant ses corolles vermillon
L’espace à suivre et le sentier d’un monde en écho
Nous offrait le pain le miel et l’eau d’un songe pur
Mais la terre était la terre et nous foulions la grande pesanteur
Ton onde devenait la mienne et nous allions histrions de l’aube
Dans ce ciel immense respirer aux ailes des grands dieux
Les perles noires de nos yeux s’essuyaient aux bleus des cieux.
Des possibles nous reculions la mesure et seule dansait ta robe
Dans le champs bleuet de nos âmes et le foehn de nos souffles.
Mais la terre était la terre et nous foulions la grande pesanteur
Nos allégresses oiseaux de l’espoir mais colombes crucifiées
Sur l’autel asymétrique de nos vies récifs aux cardinaux des vents
S’essoufflaient dans l’élan des cimes, baisers décimés au néant.
Tu t’étais couchée perle nue dans le lit de mon souffle argenté
Et je t’ai regardée si longtemps O corps d’albâtre, amour béant.
Mais la terre était la terre et nous foulions la grande pesanteur.
Pierrejean - décembre 2008 -
Les ciels qui me dévastent allongent mes nuits
Et sur mes désirs d’arcs en ciel étire l’ennui
Dans l’ombre éternelle des nuits embuées et glacées
Elle vibre là où la lyre et le colibri dans un chant d’été
De leur union irradiaient le monde des ombres détestées.
Mais la terre était la terre et nous foulions la grande pesanteur.
J’ai eu raison de te garder au creux de mes sillons
La trace était profonde et le germe plus beau
Quand notre amour ouvrant ses corolles vermillon
L’espace à suivre et le sentier d’un monde en écho
Nous offrait le pain le miel et l’eau d’un songe pur
Mais la terre était la terre et nous foulions la grande pesanteur
Ton onde devenait la mienne et nous allions histrions de l’aube
Dans ce ciel immense respirer aux ailes des grands dieux
Les perles noires de nos yeux s’essuyaient aux bleus des cieux.
Des possibles nous reculions la mesure et seule dansait ta robe
Dans le champs bleuet de nos âmes et le foehn de nos souffles.
Mais la terre était la terre et nous foulions la grande pesanteur
Nos allégresses oiseaux de l’espoir mais colombes crucifiées
Sur l’autel asymétrique de nos vies récifs aux cardinaux des vents
S’essoufflaient dans l’élan des cimes, baisers décimés au néant.
Tu t’étais couchée perle nue dans le lit de mon souffle argenté
Et je t’ai regardée si longtemps O corps d’albâtre, amour béant.
Mais la terre était la terre et nous foulions la grande pesanteur.
Pierrejean - décembre 2008 -
pierrejean- Nombre de messages : 52
Humeur : exhubérant, grave, mélancolique, charmeur
Date d'inscription : 23/12/2008
Re: Mélancolie
Ces ciels qui me dévastent
Les ciels qui me dévastent allongent mes nuits
Et sur mes désirs d’arcs en ciel étire l’ennui
Dans l’ombre éternelle des nuits embuées et glacées
Elle vibre là où la lyre et le colibri dans un chant d’été
De leur union irradiaient le monde des ombres détestées
Mais la terre était la terre et nous foulions la grande pesanteur
J’ai eu raison de te garder au creux de mes sillons
La trace était profonde et le germe plus beau
Quand notre amour ouvrant ses corolles vermillon
L’espace à suivre et le sentier d’un monde en écho
Nous offrait le pain le miel et l’eau d’un songe pur
Mais la terre était la terre et nous foulions la grande pesanteur
Ton onde devenait la mienne et nous allions histrions de l’aube
Dans ce ciel immense respirer aux ailes des grands dieux
Les perles noires de nos yeux s’essuyaient aux bleus des cieux.
Des possibles nous reculions la mesure et seule dansait ta robe
Dans le champs bleuet de nos âmes et le foehn de nos souffles.
Mais la terre était la terre et nous foulions la grande pesanteur
Nos allégresses oiseaux de l’espoir mais colombes crucifiées
Sur l’autel asymétrique de nos vies récifs aux cardinaux des vents
S’essoufflaient dans l’élan des cimes, baisers décimés au néant.
Tu t’étais couchée perle nue dans le lit de mon souffle argenté
Et je t’ai regardée si longtemps O corps d’albâtre, amour béant.
Mais la terre était la terre et nous foulions la grande pesanteur.
Pierrejean :
Mais la terre n’est pas la terre si nous ne foulions pas la grande pesanteur!
Les ondes de tes vers sont captivants est magnifiques à lire sans modérations
:MOVE:
Les ciels qui me dévastent allongent mes nuits
Et sur mes désirs d’arcs en ciel étire l’ennui
Dans l’ombre éternelle des nuits embuées et glacées
Elle vibre là où la lyre et le colibri dans un chant d’été
De leur union irradiaient le monde des ombres détestées
Mais la terre était la terre et nous foulions la grande pesanteur
J’ai eu raison de te garder au creux de mes sillons
La trace était profonde et le germe plus beau
Quand notre amour ouvrant ses corolles vermillon
L’espace à suivre et le sentier d’un monde en écho
Nous offrait le pain le miel et l’eau d’un songe pur
Mais la terre était la terre et nous foulions la grande pesanteur
Ton onde devenait la mienne et nous allions histrions de l’aube
Dans ce ciel immense respirer aux ailes des grands dieux
Les perles noires de nos yeux s’essuyaient aux bleus des cieux.
Des possibles nous reculions la mesure et seule dansait ta robe
Dans le champs bleuet de nos âmes et le foehn de nos souffles.
Mais la terre était la terre et nous foulions la grande pesanteur
Nos allégresses oiseaux de l’espoir mais colombes crucifiées
Sur l’autel asymétrique de nos vies récifs aux cardinaux des vents
S’essoufflaient dans l’élan des cimes, baisers décimés au néant.
Tu t’étais couchée perle nue dans le lit de mon souffle argenté
Et je t’ai regardée si longtemps O corps d’albâtre, amour béant.
Mais la terre était la terre et nous foulions la grande pesanteur.
Pierrejean :
Mais la terre n’est pas la terre si nous ne foulions pas la grande pesanteur!
Les ondes de tes vers sont captivants est magnifiques à lire sans modérations
:MOVE:
sarah- Nombre de messages : 2022
Date d'inscription : 12/11/2008
Re: Mélancolie
J’ai l’impression que ces vers chantent sur un air chagriné...
Qu’ils regrettent un bonheur rêvé, attendue...
Qu’ils voudraient voyager dans un coin de mémoire enchanté… !
Qu’ils savent pianoter les mots sur l’harpe assoiffée de souvenirs
Qu’ils regrettent un bonheur rêvé, attendue...
Qu’ils voudraient voyager dans un coin de mémoire enchanté… !
Qu’ils savent pianoter les mots sur l’harpe assoiffée de souvenirs
Re: Mélancolie
Oui c'est un chant mélancolique
un chant qui recherche le jardin de l'Eden
La pure Ouverture sur un monde oublié!
C'était un amour dont j'ai souffert cet été
avec une des filles de Jepoème avec laquelle
la chaleur de l'été s'est finie comme un automne!!
un chant qui recherche le jardin de l'Eden
La pure Ouverture sur un monde oublié!
C'était un amour dont j'ai souffert cet été
avec une des filles de Jepoème avec laquelle
la chaleur de l'été s'est finie comme un automne!!
pierrejean- Nombre de messages : 52
Humeur : exhubérant, grave, mélancolique, charmeur
Date d'inscription : 23/12/2008
Re: Mélancolie
Mais la terre était la terre et nous foulions la grande pesanteur.
Pierrejean :
Mais la terre n’est pas la terre si nous ne foulions pas la grande pesanteur!
Les ondes de tes vers sont captivants est magnifiques à lire sans modérations
:MOVE:[/quote]
Merci Sarah pour tes compliments
Pierrejean :
Mais la terre n’est pas la terre si nous ne foulions pas la grande pesanteur!
Les ondes de tes vers sont captivants est magnifiques à lire sans modérations
:MOVE:[/quote]
Merci Sarah pour tes compliments
pierrejean- Nombre de messages : 52
Humeur : exhubérant, grave, mélancolique, charmeur
Date d'inscription : 23/12/2008
ces ciels
comme des mers infinis aux longues houles dans de ténébreux orages!
pierrejean- Nombre de messages : 52
Humeur : exhubérant, grave, mélancolique, charmeur
Date d'inscription : 23/12/2008
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