Dans le lointain…

jélas a écrit:

Dans le lointain…

Dans le lointain d’un rivage du Nord,
Sur une île ciselée par le vent,
Dans le froid et l’obscur décor,
Un manoir résiste à tous les temps.

Seul, brisé par la solitude,
Un homme courbé essai de résister,
A l’appel d’une dernière certitude,
Celle de partir sans personne à inquiéter.

Le gris des cieux masque l’horizon,
Caché, le vieux ne sort plus de sa maison.
Les volets bleus singent les vagues qui clapotent,
Il y a bien longtemps que tout ça…débloque !

Combien de saisons encore, devra-t-il râler,
Pour qu’enfin, vienne à lui une main transie,
Celle du trépas déguisé au tranquille d’une soirée,
Pour clore l’histoire d’un homme éconduit.

Alors, dans cette contrée singulière,
La vie cessera son labeur journalier,
A croire que demain sera comme hier,
Et que les vieux finiront par être oubliés…

JL

jélas a écrit:

Dans le lointain…

Dans le lointain d’un rivage du Nord,
Sur une île ciselée par le vent,
Dans le froid et l’obscur décor,
Un manoir résiste à tous les temps.

Seul, brisé par la solitude,
Un homme courbé essai de résister,
A l’appel d’une dernière certitude,
Celle de partir sans personne à inquiéter.

Le gris des cieux masque l’horizon,
Caché, le vieux ne sort plus de sa maison.
Les volets bleus singent les vagues qui clapotent,
Il y a bien longtemps que tout ça…débloque !

Combien de saisons encore, devra-t-il râler,
Pour qu’enfin, vienne à lui une main transie,
Celle du trépas déguisé au tranquille d’une soirée,
Pour clore l’histoire d’un homme éconduit.

Alors, dans cette contrée singulière,
La vie cessera son labeur journalier,
A croire que demain sera comme hier,
Et que les vieux finiront par être oubliés…

JL

jélas a écrit:

Dans le lointain…

Dans le lointain d’un rivage du Nord,
Sur une île ciselée par le vent,
Dans le froid et l’obscur décor,
Un manoir résiste à tous les temps.

Seul, brisé par la solitude,
Un homme courbé essai de résister,
A l’appel d’une dernière certitude,
Celle de partir sans personne à inquiéter.

Le gris des cieux masque l’horizon,
Caché, le vieux ne sort plus de sa maison.
Les volets bleus singent les vagues qui clapotent,
Il y a bien longtemps que tout ça…débloque !

Combien de saisons encore, devra-t-il râler,
Pour qu’enfin, vienne à lui une main transie,
Celle du trépas déguisé au tranquille d’une soirée,
Pour clore l’histoire d’un homme éconduit.

Alors, dans cette contrée singulière,
La vie cessera son labeur journalier,
A croire que demain sera comme hier,
Et que les vieux finiront par être oubliés…

JL

jélas a écrit:Bonjour Rita-Kazem et tous les autres,

Le partage, je suis bien loin en ce moment, mon inspiration est encore plus loin elle, mais je n'oublie pas qu'ici, règne une atmosphère agréable, où le parfum des âmes sensibles aux jolis mots chasse la froideur d'un manque d'inspiration...
Alors je lis sans montrer le bout de mon nez...par pudeur plus que par détachement.
Merci à vous de relire ces textes qui ont été écrit lors d'une émotion intense.
Bonne journée à vous tous, poètes inspirés.

Jérôme.


[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]