Credo quia absurdum
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roby
sarah
gepetto
7 participants
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Re: Credo quia absurdum
Superbe conte que j'ai relu avec plaisir...
Génial, ...
Bisou mon gépi.
Béa bybiche
Génial, ...
Bisou mon gépi.
Béa bybiche
miss Béa- Nombre de messages : 3641
loisirs : mes enfants, écrire, tv, amis...
Humeur : calme, posée, indépendante, un peu mélancolique, mais joyeuse quand même!
Date d'inscription : 18/11/2009
Re: Credo quia absurdum
gepetto a écrit:Quand le féminin devient masculin et vice versa...
Elle était une foise...
... un sandal (basque) de cord qui aimait sa chaussonne de fourrur.
Ils se rencontrèrent la soire de Noëlle à la piède de la sapine illuminée et enguirlandée. Depuis cette instante, ils ne se sont plus quittés.
La matine d’après ce beau nuite, toutes les soulières alentourse avaient quitté la piède de la sapine, emportant , pedibus cum jambis, leurs cadottes pédestres de Noëlle :
Qui une pistolette à bouchonne, qui une ballonne de baskette orangère, qui un poupet qui dit mamane et qui fait pipite tout seul, qui une bijouxe en argente, qui un boît de bonbonnes à la chocolate, fourrées de liqueures…
Il y eut même une vélote de cours, un trombon à coulis, un guitar à six cords, un douillet couet pour la lite…
Toutes les propriétaires étaient reparties chaussées. Les guirlands de la sapine furent éteints et oubliés dans le nuite noire, la chaussonne et le sandal.
La surlendemine de Noëlle, le vingte sixe de la moise de décembre donc, est entrée la va-nu-piède. Elle a enfilé les oubliés et toutes les troises sont partis en voyage, jabis cum pedibus, vers l’ilette des soulières délaissées.
Elles y vécurent heureuses pleine de Noëlle, entourées de leurs petites botillones et de leur petits ballerins.
Je suis une grande amoureuse des contes, et en particulier de ceux qui finissent bien...
"pauvrets que cette chaussonne et ce sandal, laissés à la piède de la sapine...
Heureusement, la va-nu-piède est arrivée pour les mener vers cette îlette où ils eurent pleins de petio chaussinets d'amour ..."
J'adoooooooooooooooooooooore !!!!!!!!!!!!!! Encooooooooooooooore, stp, c'est trop mimi ...
Bizz
Béa
miss Béa- Nombre de messages : 3641
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Date d'inscription : 18/11/2009
Re: Credo quia absurdum
De retour...............................pour le plaisir
cristopher-cris- Nombre de messages : 2748
loisirs : lecture, voyage
Date d'inscription : 18/07/2008
Re: Credo quia absurdum
gepetto a écrit:Quand le féminin devient masculin et vice versa...
Elle était une foise...
... un sandal (basque) de cord qui aimait sa chaussonne de fourrur.
Ils se rencontrèrent la soire de Noëlle à la piède de la sapine illuminée et enguirlandée. Depuis cette instante, ils ne se sont plus quittés.
La matine d’après ce beau nuite, toutes les soulières alentourse avaient quitté la piède de la sapine, emportant , pedibus cum jambis, leurs cadottes pédestres de Noëlle :
Qui une pistolette à bouchonne, qui une ballonne de baskette orangère, qui un poupet qui dit mamane et qui fait pipite tout seul, qui une bijouxe en argente, qui un boît de bonbonnes à la chocolate, fourrées de liqueures…
Il y eut même une vélote de cours, un trombon à coulis, un guitar à six cords, un douillet couet pour la lite…
Toutes les propriétaires étaient reparties chaussées. Les guirlands de la sapine furent éteints et oubliés dans le nuite noire, la chaussonne et le sandal.
La surlendemine de Noëlle, le vingte sixe de la moise de décembre donc, est entrée la va-nu-piède. Elle a enfilé les oubliés et toutes les troises sont partis en voyage, jabis cum pedibus, vers l’ilette des soulières délaissées.
Elles y vécurent heureuses pleine de Noëlle, entourées de leurs petites botillones et de leur petits ballerins.
le jeu des mots est réussit
roby- Nombre de messages : 1357
Date d'inscription : 28/10/2008
Re: Credo quia absurdum
c'est quoi ce truc-lexique!
un dialect épileptique
je me perd là, suis sur quelle page?
un dialect épileptique
je me perd là, suis sur quelle page?
sarah- Nombre de messages : 2022
Date d'inscription : 12/11/2008
Credo quia absurdum
Quand le féminin devient masculin et vice versa...
Elle était une foise...
... un sandal (basque) de cord qui aimait sa chaussonne de fourrur.
Ils se rencontrèrent la soire de Noëlle à la piède de la sapine illuminée et enguirlandée. Depuis cette instante, ils ne se sont plus quittés.
La matine d’après ce beau nuite, toutes les soulières alentourse avaient quitté la piède de la sapine, emportant , pedibus cum jambis, leurs cadottes pédestres de Noëlle :
Qui une pistolette à bouchonne, qui une ballonne de baskette orangère, qui un poupet qui dit mamane et qui fait pipite tout seul, qui une bijouxe en argente, qui un boît de bonbonnes à la chocolate, fourrées de liqueures…
Il y eut même une vélote de cours, un trombon à coulis, un guitar à six cords, un douillet couet pour la lite…
Toutes les propriétaires étaient reparties chaussées. Les guirlands de la sapine furent éteints et oubliés dans le nuite noire, la chaussonne et le sandal.
La surlendemine de Noëlle, le vingte sixe de la moise de décembre donc, est entrée la va-nu-piède. Elle a enfilé les oubliés et toutes les troises sont partis en voyage, jabis cum pedibus, vers l’ilette des soulières délaissées.
Elles y vécurent heureuses pleine de Noëlle, entourées de leurs petites botillones et de leur petits ballerins.
Elle était une foise...
... un sandal (basque) de cord qui aimait sa chaussonne de fourrur.
Ils se rencontrèrent la soire de Noëlle à la piède de la sapine illuminée et enguirlandée. Depuis cette instante, ils ne se sont plus quittés.
La matine d’après ce beau nuite, toutes les soulières alentourse avaient quitté la piède de la sapine, emportant , pedibus cum jambis, leurs cadottes pédestres de Noëlle :
Qui une pistolette à bouchonne, qui une ballonne de baskette orangère, qui un poupet qui dit mamane et qui fait pipite tout seul, qui une bijouxe en argente, qui un boît de bonbonnes à la chocolate, fourrées de liqueures…
Il y eut même une vélote de cours, un trombon à coulis, un guitar à six cords, un douillet couet pour la lite…
Toutes les propriétaires étaient reparties chaussées. Les guirlands de la sapine furent éteints et oubliés dans le nuite noire, la chaussonne et le sandal.
La surlendemine de Noëlle, le vingte sixe de la moise de décembre donc, est entrée la va-nu-piède. Elle a enfilé les oubliés et toutes les troises sont partis en voyage, jabis cum pedibus, vers l’ilette des soulières délaissées.
Elles y vécurent heureuses pleine de Noëlle, entourées de leurs petites botillones et de leur petits ballerins.
gepetto- Nombre de messages : 1908
Humeur : Ça dépend du Lion ou du Rat...
Date d'inscription : 04/10/2008
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