beaute et ivresse
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Admin
jeanmarc
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beaute et ivresse
Quoi de plus beau qu'une femme ,
qui d'un seul coup d'un seul,
pourrait damner nos âmes,
et dans le même temps, nous faire chevaliers?
On pourra me raconter, la douceur de la mousse des forêts,
je préfere la douceur de leur peau satinée.
On pourra me vanter l'odeur de ce bouquet,
leur parfum, à lui seul me fait chavirer.
Parlez moi de la beauté de ce coucher de soleil,
l'horizon dans leurs yeux, à lui seul m'émerveille.
Caressez moi de la chaleur du soleil des Antilles,
mais laiseez moi chauffer mon corps aux creux de leurs nids.
Faites moi ressentir la caresse d'une brise,
le frôlement de leurs cheveux, à lui seul m'électrise.
Montrez moi, connaisseur, les courbes d'une statue,
je ne connais de galbe, signé de mains d'artiste,
que la forme de leurs corps, dévoilés, mis à nu.
Et tous les meilleurs vins, les meilleures liqueurs,
n'ont pas le nectar de leurs sources ou je viens m'abreuver,
quand le plaisir des sens fait exploser leurs coeurs.
Il faudrait maintenant méditer vers le ciel,
je médite souvent, en ne pensant qu'à elles.
Fantasmes de mes nuits, déchirant les draps blancs,
pressant leurs corps fantômes, faisant battre mon sang.
Et me réveillant seul, loin de la terre promise,
souillé de mon plaisir, tout petit dans ma chemise.
Fumant la cigarette, d'après l'amour posthume,
caressant dans mes rêves, les cheveux d'une brune.
Je m'étais bien juré, de n'avoir point d'idole,
ni dieu, ni maître, était mon pont d'Arcôle.
Mais je dois l'avouer, j'ai aussi mes faiblesses,
vers les femmes à genoux, j'irai comme à la messe.
Elles sont notre miroir, notre révelateur,
elles nous renvoient, à l'intérieur de nos coeurs.
Elles peuvent nous faire très grands, et sitôt tout petits,
elles sont nos grands tourments, nos grands plaisirs aussi.
Et quand je tournerai la page de mon histoire,
que le mot fin, s'écrive avec des doigts de femme.
qui d'un seul coup d'un seul,
pourrait damner nos âmes,
et dans le même temps, nous faire chevaliers?
On pourra me raconter, la douceur de la mousse des forêts,
je préfere la douceur de leur peau satinée.
On pourra me vanter l'odeur de ce bouquet,
leur parfum, à lui seul me fait chavirer.
Parlez moi de la beauté de ce coucher de soleil,
l'horizon dans leurs yeux, à lui seul m'émerveille.
Caressez moi de la chaleur du soleil des Antilles,
mais laiseez moi chauffer mon corps aux creux de leurs nids.
Faites moi ressentir la caresse d'une brise,
le frôlement de leurs cheveux, à lui seul m'électrise.
Montrez moi, connaisseur, les courbes d'une statue,
je ne connais de galbe, signé de mains d'artiste,
que la forme de leurs corps, dévoilés, mis à nu.
Et tous les meilleurs vins, les meilleures liqueurs,
n'ont pas le nectar de leurs sources ou je viens m'abreuver,
quand le plaisir des sens fait exploser leurs coeurs.
Il faudrait maintenant méditer vers le ciel,
je médite souvent, en ne pensant qu'à elles.
Fantasmes de mes nuits, déchirant les draps blancs,
pressant leurs corps fantômes, faisant battre mon sang.
Et me réveillant seul, loin de la terre promise,
souillé de mon plaisir, tout petit dans ma chemise.
Fumant la cigarette, d'après l'amour posthume,
caressant dans mes rêves, les cheveux d'une brune.
Je m'étais bien juré, de n'avoir point d'idole,
ni dieu, ni maître, était mon pont d'Arcôle.
Mais je dois l'avouer, j'ai aussi mes faiblesses,
vers les femmes à genoux, j'irai comme à la messe.
Elles sont notre miroir, notre révelateur,
elles nous renvoient, à l'intérieur de nos coeurs.
Elles peuvent nous faire très grands, et sitôt tout petits,
elles sont nos grands tourments, nos grands plaisirs aussi.
Et quand je tournerai la page de mon histoire,
que le mot fin, s'écrive avec des doigts de femme.
jeanmarc- Nombre de messages : 38
Date d'inscription : 22/12/2008
Re: beaute et ivresse
Sujet idolâtrant la femme, l’élevant dans des cieux irréels
Etre admiratif, séduit volontairement par la femme...
la femme tou court, ou Une femme fatale ...
Femme qui donne l’amour ou qui l’utilise pour attraper ‘le héros malchanceux’...
Femme aimable ou insatiable...
Femme séduisante, féminine, séductrice voir destructrice
il ne faut pas s'effasser pour avoir La femme, ni la suffoquer de trop d'Amour, il faut savoir l'aimer et s'adapter avec elle sans vouloir la dompter...
***
trés beau texte, à relire donc...
Etre admiratif, séduit volontairement par la femme...
la femme tou court, ou Une femme fatale ...
Femme qui donne l’amour ou qui l’utilise pour attraper ‘le héros malchanceux’...
Femme aimable ou insatiable...
Femme séduisante, féminine, séductrice voir destructrice
il ne faut pas s'effasser pour avoir La femme, ni la suffoquer de trop d'Amour, il faut savoir l'aimer et s'adapter avec elle sans vouloir la dompter...
***
trés beau texte, à relire donc...
Re: beaute et ivresse
très beau texte et je rejoins le commentaire de Aziza !
douceur- Nombre de messages : 954
loisirs : poésie, lecture, camping
Humeur : sourire permanent
Date d'inscription : 17/02/2008
Re: beaute et ivresse
ma douce, merci de me rejoindre, on va voir ce que dira Monique-plume-magique & tous les autres...
Re: beaute et ivresse
très beau texte, ravi de le découvrir.
roby- Nombre de messages : 1357
Date d'inscription : 28/10/2008
Re: beaute et ivresse
Vers fantasme vers touchants de leurs forces.
à te relire
à te relire
nisrine nacer- Nombre de messages : 1044
Date d'inscription : 09/09/2008
Re: beaute et ivresse
jeanmarc a écrit:Quoi de plus beau qu'une femme ,
qui d'un seul coup d'un seul,
pourrait damner nos âmes,
et dans le même temps, nous faire chevaliers?
On pourra me raconter, la douceur de la mousse des forêts,
je préfere la douceur de leur peau satinée.
On pourra me vanter l'odeur de ce bouquet,
leur parfum, à lui seul me fait chavirer.
Parlez moi de la beauté de ce coucher de soleil,
l'horizon dans leurs yeux, à lui seul m'émerveille.
Caressez moi de la chaleur du soleil des Antilles,
mais laiseez moi chauffer mon corps aux creux de leurs nids.
Faites moi ressentir la caresse d'une brise,
le frôlement de leurs cheveux, à lui seul m'électrise.
Montrez moi, connaisseur, les courbes d'une statue,
je ne connais de galbe, signé de mains d'artiste,
que la forme de leurs corps, dévoilés, mis à nu.
Et tous les meilleurs vins, les meilleures liqueurs,
n'ont pas le nectar de leurs sources ou je viens m'abreuver,
quand le plaisir des sens fait exploser leurs coeurs.
Il faudrait maintenant méditer vers le ciel,
je médite souvent, en ne pensant qu'à elles.
Fantasmes de mes nuits, déchirant les draps blancs,
pressant leurs corps fantômes, faisant battre mon sang.
Et me réveillant seul, loin de la terre promise,
souillé de mon plaisir, tout petit dans ma chemise.
Fumant la cigarette, d'après l'amour posthume,
caressant dans mes rêves, les cheveux d'une brune.
Je m'étais bien juré, de n'avoir point d'idole,
ni dieu, ni maître, était mon pont d'Arcôle.
Mais je dois l'avouer, j'ai aussi mes faiblesses,
vers les femmes à genoux, j'irai comme à la messe.
Elles sont notre miroir, notre révelateur,
elles nous renvoient, à l'intérieur de nos coeurs.
Elles peuvent nous faire très grands, et sitôt tout petits,
elles sont nos grands tourments, nos grands plaisirs aussi.
Et quand je tournerai la page de mon histoire,
que le mot fin, s'écrive avec des doigts de femme.
beau texte,bravo.
,mohamed
mohamed kojok- Nombre de messages : 281
loisirs : lecture et sport
Humeur : calme
Date d'inscription : 11/01/2008
Re: beaute et ivresse
Encore merci l'ami
jeanmarc- Nombre de messages : 38
Date d'inscription : 22/12/2008
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