Pas vu ? épris !

Soudain interloquée, oubliant la peinture
Je découvre, fondu dans le vert du feuillage,
Le visage poupin d’un elfe si peu sage,
Qu’un moment j’ai pensé douter de sa nature.

Il s’approche tout près, négligeant la dorure
Du cadre luxueux, ravi par la beauté
D’une fée toute nue, entourée de clarté,
Faisant sécher ses ailes sur le champ en bordure.

Elle prenait la pose, retenant d’une main
Le pan de sa tunique, d’un vaporeux satin
Qui collait à sa peau à chaque mouvement.

Jamais elle n’avait vu, du moins elle croyait,
Un lutin amoureux et sa taille ployait
Devant cet effronté, voluptueusement.

ô que non, Titefée, je ne voudrais pas être un lutin mauvais, ton sonnet "sonne trop mimi" !!
Et puis, je trouve ton titre fort bien trouvé justement...

Soudain interloquée, oubliant la peinture
Je découvre, fondu dans le vert du feuillage, (et si tu trouvais une rime en "té" pour coller avec la 2ème strophe ?)
Le visage poupin d’un elfe si peu sage, (idem, bien sûr)
Qu’un moment j’ai pensé douter de sa nature.

Il s’approche tout près, négligeant la dorure
Du cadre luxueux, ravi par la beauté
D’une fée toute nue, entourée de clarté,
Faisant sécher ses ailes sur le champ en bordure.

Elle prenait la pose, retenant d’une main
Le pan de sa tunique, d’un vaporeux satin
Qui collait à sa peau à chaque mouvement. (et si en plus, là, tu trouvais une "féminine" ce serait parfait !!)

Jamais elle n’avait vu, du moins elle croyait,
Un lutin amoureux et sa taille ployait
Devant cet effronté, voluptueusement. (idem, bien entendu...)

(Purée qu'est-ce qu'il est ch... ce gepetto !!)

Soudain interloquée, oubliant la peinture
Je découvre, fondu dans le vert de l'été, (et si tu trouvais une rime en "té" pour coller avec la 2ème strophe ?)
Le visage poupin d’un elfe habité (idem, bien sûr)
par l'amour d'une belle à la noble figure

Il s’approche tout près, négligeant la dorure
Du cadre luxueux, ravi par la beauté
D’une fée archi nue, entourée de clarté,
Faisant sécher ses ailes, irréelle parure.

Elle prenait la pose, étreignant d’une main
Le pan de sa tunique, au vaporeux satin
Qui collait à sa peau à chacun de ses gestes (et si en plus, là, tu trouvais une "féminine" ce serait parfait !!)

Jamais on avait vu, du moins elle croyait,
Un lutin amoureux et sa taille ployait
Devant cet effronté, aux manières si lestes

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
voilà mon ami;;;;

pas mal pas mal.... Très bon même ! Bel effort, TF ! toutefois...

Soudain interloquée, oubliant la peinture
Je découvre, fondu dans le vert de l'été,
Le visage poupin d’un elfe habité(11 car le "h" n'est pas aspiré héhé...)
Par l'amour d'une belle à la noble figure.

Il s’approche tout près, négligeant la dorure
Du cadre luxueux, ravi par la beauté
D’une fée archi nue, entourée de clarté, (Ça marche, mais ce terme "familier" rompt le charme... Et puis il y a "rée de" )
(D'une fée, ambre nue au halo de clarté ?)
Ses ailes lui servant d'irréelle parure.

Dont les ailes servaient d'irréelle parure Pour éviter une confusion grammaticale entre le lutin et les ailes de la fée

Elle prenait la pose, étreignant d’une main
Le pan de sa tunique, au vaporeux satin
Qui collait à sa peau. à chacun de ses gestes.

Jamais on avait vu, du moins elle croyait,
Un lutin amoureux et sa taille ployait
Devant cet effronté, aux manières si lestes.

j'ai corrigé plus haut
GEPETTO

!!
Un dernier "truc" pour une rime plus "riche" et ce détail : "Qui collait à sa peau(.) à chacun de ses gestes.)

Je découvre, fondu dans le vert de l'été,
Le visage poupin d’un bel elfe hébété
???

gepetto a écrit: !!
Un dernier "truc" pour une rime plus "riche" et ce détail : "Qui collait à sa peau(.) à chacun de ses gestes.)

Je découvre, fondu dans le vert de l'été,
Le visage poupin d’un bel elfe hébété
???

Le point est une faute d'inattention et de typographie

par contre hébété je ne le trouve pas très joli on dirait un dadais !!! lol
je préfère à tout prendre "dépité"
mais on peut aussi remplacer la phrase par
un elfe au visage poupin débordant d'anxiété

ou mieux pour la diérèse, un elfe au visage poupin empli d'anxiété

Tu as raison pour héhété... La diérèse d'anxiété passe à mon avis. Le mot est mieux pour la "richesse" que dépité
Toutefois tu as encore un "choc" entre voyelle et consonne : visage poupin et quatorze pieds !
Un / el/ fe-au / vi /sa/ ge/ pou / pin / dé/ bor/ dant / d'an/ xié / té

ou 13
Un / el/ fe-au / vi /sa/ ge/( césure au 6ème) pou / pin /em /pli / d'an /xié /té

Un poupin petit elfe à l'œil plein d'anxiété ferait 12 (?)

Alors je vais choisir un coquin petit elfe à l'œil plein d'anxiété, et là c'est super.. c'est exactement ce que je cherchais... merci l'ami