Corps ivre

Corps ivre





Seule devant cette immensité



Légère comme une plume



Je me noie avec volupté







Brisants se faisant violents



M’emportent au large



Sur ce grand océan







Chevauchant ses rouleaux



Les cheveux au vent



Tel un cheval au galop







Mon corps ne faisant qu’un



Envahis par les flots ivres



Sur cette mer si craint







Grisés par le plaisir



Dansant au son des vagues



Ma pensée se fait désir







Devant ce monde inconnu



Mon esprit se vide



Et veut se mettre à nu







Mon corps se fait glissant



Me noyant dans le fond



De cette mer que j’aime tant.

Corps ivre

Seule devant cette immensité
Légère comme une plume
Je me noie avec volupté

Brisants se faisant violents
M’emportent au large
Sur ce grand océan

Chevauchant ses rouleaux
Les cheveux au vent
Tel un cheval au galop

Mon corps ne faisant qu’un
Envahis par les flots ivres
Sur cette mer si craint

Grisés par le plaisir
Dansant au son des vagues
Ma pensée se fait désir

Devant ce monde inconnu
Mon esprit se vide
Et veut se mettre à nu

Mon corps se fait glissant
Me noyant dans le fond
De cette mer que j’aime tant.

C'est mieux ?
Toutefois, il ne me semble pas que ce texte, bien écrit au demeurant, soit "classique".

classique ou pas, le texte est beau

Bien sûr, bien sûr qu'il est plaisant... Loin de moi la pensée d'en dire le contraire
Mais l'espace est "classique"...

gepi, tu es modérateur, peut-tu déplacer le texte?
IL EST BEAU à LIRE de toute façon!

Je sais pas faire, avec toutes ces touches sous mes mains... Il peut rester là, va...

beau texte, mais trop d'espace entre les vers !

il n'ya pas mieux que
l'ivresse du coeur par l'amour
livresse de la nature par la pluie
l'ivresse des yeux par un regard de braise

ce poème est fabuleux !

eoliane a écrit:Corps ivre





Seule devant cette immensité



Légère comme une plume



Je me noie avec volupté







Brisants se faisant violents



M’emportent au large



Sur ce grand océan







Chevauchant ses rouleaux



Les cheveux au vent



Tel un cheval au galop







Mon corps ne faisant qu’un



Envahis par les flots ivres



Sur cette mer si craint







Grisés par le plaisir



Dansant au son des vagues



Ma pensée se fait désir







Devant ce monde inconnu



Mon esprit se vide



Et veut se mettre à nu







Mon corps se fait glissant



Me noyant dans le fond



De cette mer que j’aime tant.

Se laisser bercer
Aux notes mélodieuse
Des vagues se laissant
Mourir sur la plage
De sable tiède

Toute l'emprise de l'océan sur le corps et l'esprit
Morwena