Comme il était beau votre sourire, Marlène

Mon Dieu qu’il était beau ce sourire Marlène
Lorsque vous regardiez la lettre au feuillet blanc
Où il vous décrivait, belle aux cheveux d’ébène
Et que tant vous aimer, le rendait si tremblant

Il avait parcouru à en perdre haleine
Ce qui vous séparait, escaladant les flancs
Du sentier caillouteux se reposant à peine
En se moquant aussi des buissons trop cinglants

Et vous l’attendiez, assise sur la pierre
Mains posées sur le sein, comme si la prière,
Adressée à ce ciel, l'avait d'amour doté

Il défit votre natte épaisse et ondoyante
Enfouit son visage dans son eau captivante
Et tomba à genoux, devant tant de beauté


j'ai corrigé en éditant.. .mais on peut améliorer je le sens.. merci Gepetto, ça fait du bien de trouver un petit mot en arrivant du froid. !!

Avant tout, cela me plaît, beaucoup, Tit'fée...
Je vois quelques petites "imperfections"...

KIKOU GEPETTO
j'ai essayé de corriger un peu plus haut mon ancien message....puis je file direct à mes fourneaux pour confectionner les gâteaux de Noêl alsaciens

tU EN VEUX ,

Je reviens de la répète de ma troupe des Souffleurs de Rêve et je retrouve tes mots... Quel plaisir !
Gâteaux ? Ouiiii ! Mais je ne connais ni l'Alsace, ni ses gâteries... Un jour, peut-être...

Alors...

Mon Dieu qu’il était beau ce sourire,Marlène, (virgules "d'apostrophe") bien entendu , suis-je bête !!!!
Lorsque vous regardiez la lettre au feuillet blanc
Où il vous décrivait, belle aux cheveux d’ébène
Et que tant vous aimer, le rendait si tremblant (j'inverserais : "Et que vous aimer tant..." non ?) Tiens pourquoi pas au fait ?

Il avait parcouru à en perdre haleine (11 : le h d'haleine n'est pas aspiré... "à perdre son haleine ?") moi je préfère alors " à en perdre l'haleine
Ce qui vous séparait, escaladant les flancs
Du sentier caillouteux se reposant à peine
En se moquant aussi des buissons trop cinglants

Et vous l’attendiez, assise sur la pierre
Mains posées sur le sein, comme si la prière, ("Doigts posés" ?) main posée sur un sein
Adressée à ce ciel, l'avait d'amour doté

Il défit votre natte épaisse et ondoyante
Enfouit son visage EN son eau captivante ("en son eau" ? No ?) [color=red]OUI QUE OUI[/color]
Et tomba à genoux, devant tant de beauté

biz...[u]

ALors on répépète, on répépète.....


Mon Dieu qu’il était beau ce sourire, Marlène,
Lorsque vous regardiez la lettre au feuillet blanc
Où il vous décrivait, belle aux cheveux d’ébène
Et que vous aimer tant , le rendait si tremblant

Il avait parcouru à en perdre l'haleine
Ce qui vous séparait, escaladant les flancs
Du sentier caillouteux se reposant à peine
En se moquant aussi des buissons trop cinglants

Et vous l’attendiez, assise sur la pierre
Mains posées sur un sein, comme si la prière,
Adressée à ce ciel, l'avait d'amour doté

Il défit votre natte épaisse et ondoyante
Enfouit son visage en son eau captivante
Et tomba à genoux, devant tant de beauté

Sommes nous satisfaits ? n'en n'avons nous assez ?... et si nous recommencions !!
RIRES !

Mon Dieu qu’il était beau ce sourire, Marlène, (détail de chez détail : j'ai ajouté l'espace réglementaire après la virgule...)
Lorsque vous regardiez la lettre au feuillet blanc
Où il vous décrivait, belle aux cheveux d’ébène
Et que vous aimer tant le rendait si tremblant (pas de virgule ?...)

Il avait parcouru à en perdre l'haleine
Ce qui vous séparait, escaladant les flancs
Du sentier caillouteux se reposant à peine
En se moquant aussi des buissons trop cinglants (strophe parfaite)

Et vous l’attendiez, assise sur la pierre
Mains posées sur un sein, comme si la prière, (13 ! )
Vos mains sur votre sein, ???
Adressée à ce ciel, l'avait d'amour doté

Il défit votre natte épaisse et ondoyante
Enfouit son visage en son eau captivante
Et tomba à genoux devant tant de beauté (pas de virgule ?)