Quand pleure le ciel
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Quand pleure le ciel
Je vois s’ériger dans un ciel de deuil
Les lourds cumulus annonçant l’orage,
Et mon lilas blanc subit cet écueil
De la froide ondée sous le vent sauvage.
La houle en courroux mange le rivage
De la sombre plage, aux contours fictifs,
Transformant d’un coup les derniers oisifs,
En coureurs à pieds, sous les giboulées.
Alors maudissant les contemplatifs
Ils s'éloignent vite à grandes foulées
L’eau de mon patio atteint jusqu’au seuil
De la porte en bois et dans l’eau voyage
Une fleur fanée ravie de l’accueil
Du flot repoussant l’esquif sans cordage.
Près de l’arbre en pleurs une feuille nage
Trop tôt arrachée au branchage noir
Qui tant secoué a perdu l’espoir
De toujours garder sa belle ramure
À l’automne d’or, où quand vient le soir,
Son feuillage feu dans le vent murmure
Les lourds cumulus annonçant l’orage,
Et mon lilas blanc subit cet écueil
De la froide ondée sous le vent sauvage.
La houle en courroux mange le rivage
De la sombre plage, aux contours fictifs,
Transformant d’un coup les derniers oisifs,
En coureurs à pieds, sous les giboulées.
Alors maudissant les contemplatifs
Ils s'éloignent vite à grandes foulées
L’eau de mon patio atteint jusqu’au seuil
De la porte en bois et dans l’eau voyage
Une fleur fanée ravie de l’accueil
Du flot repoussant l’esquif sans cordage.
Près de l’arbre en pleurs une feuille nage
Trop tôt arrachée au branchage noir
Qui tant secoué a perdu l’espoir
De toujours garder sa belle ramure
À l’automne d’or, où quand vient le soir,
Son feuillage feu dans le vent murmure
TITEFEE- Nombre de messages : 1437
loisirs : poésies, ballades
Humeur : rêveuse
Date d'inscription : 17/02/2008
Re: Quand pleure le ciel
Beaux et mordorés décasyllabes !! mais...
Je vois s’ériger dans un ciel de deuil
Les lourds cumulus annonçant l’orage,
Et mon lilas blanc subit cet écueil
De la froide ondée sous le vent sauvage.
La houle en courroux mange le rivage
De la sombre plage, aux contours fictifs,
Transformant d’un coup les derniers oisifs,
En coureurs à pieds, sous les giboulées.
Alors maudissant les contemplatifs
Ils s'éloignent vite à grandes foulées
L’eau de mon patio atteint jusqu’au seuil
De la porte en bois et dans l’eau voyage
Une fleur fanée ravie de l’accueil
Du flot repoussant l’esquif sans cordage.
Près de l’arbre en pleurs une feuille nage
Trop tôt arrachée au branchage noir
Qui tant secoué a perdu l’espoir
De toujours garder sa belle ramure
À l’automne d’or, où quand vient le soir,
Son feuillage feu dans le vent murmure
sourires et bises...
Je vois s’ériger dans un ciel de deuil
Les lourds cumulus annonçant l’orage,
Et mon lilas blanc subit cet écueil
De la froide ondée sous le vent sauvage.
La houle en courroux mange le rivage
De la sombre plage, aux contours fictifs,
Transformant d’un coup les derniers oisifs,
En coureurs à pieds, sous les giboulées.
Alors maudissant les contemplatifs
Ils s'éloignent vite à grandes foulées
L’eau de mon patio atteint jusqu’au seuil
De la porte en bois et dans l’eau voyage
Une fleur fanée ravie de l’accueil
Du flot repoussant l’esquif sans cordage.
Près de l’arbre en pleurs une feuille nage
Trop tôt arrachée au branchage noir
Qui tant secoué a perdu l’espoir
De toujours garder sa belle ramure
À l’automne d’or, où quand vient le soir,
Son feuillage feu dans le vent murmure
sourires et bises...
gepetto- Nombre de messages : 1908
Humeur : Ça dépend du Lion ou du Rat...
Date d'inscription : 04/10/2008
Re: Quand pleure le ciel
Cher, très cher Gepetto... mes neurones sont excitées et à plein rendement... grâce à tes conseils
Je te remercie infiniment de cela car tu n'es pas comme certains qui confondent conseil et critique. TOi tu soulignes seulement et c'est à nous que revient le plaisir de trouver et d'améliorer. En tous les cas, sur ce site je n'ai trouvé que des personnes qui aident et non qui enfoncent, comme on le voit sur d'autres sites que je ne citerai pas.
Alors sur le métier j'ai remis mon ouvrage et tu me diras si cela est mieux? TU me le diras, dis ?
Je vois s’ériger dans un ciel de deuil
Les lourds cumulus annonçant l’orage,
Et mon lilas blanc subit cet écueil
Ployant sous le grain et le vent sauvage
La houle en courroux mange le rivage
De la sombre plage, aux contours fictifs,
Transformant d’un coup les derniers oisifs,
En coureurs à pieds, sous les giboulées,
Qui maudissant fort les contemplatifs
S’éloignent très vite à grandes foulées
L’eau de mon patio atteint jusqu’au seuil
De la porte en bois et dans l’eau voyage
Une fleur de lis remerciant l’accueil
Du flot repoussant l’esquif sans cordage.
Près de l’arbre en pleurs une feuille nage
Trop tôt arrachée au branchage noir
Qui tant secoué a perdu l’espoir
De garder toujours sa belle ramure
À l’automne d’or, où quand vient le soir,
Son feuillage feu dans le vent murmure
Je te remercie infiniment de cela car tu n'es pas comme certains qui confondent conseil et critique. TOi tu soulignes seulement et c'est à nous que revient le plaisir de trouver et d'améliorer. En tous les cas, sur ce site je n'ai trouvé que des personnes qui aident et non qui enfoncent, comme on le voit sur d'autres sites que je ne citerai pas.
Alors sur le métier j'ai remis mon ouvrage et tu me diras si cela est mieux? TU me le diras, dis ?
Je vois s’ériger dans un ciel de deuil
Les lourds cumulus annonçant l’orage,
Et mon lilas blanc subit cet écueil
Ployant sous le grain et le vent sauvage
La houle en courroux mange le rivage
De la sombre plage, aux contours fictifs,
Transformant d’un coup les derniers oisifs,
En coureurs à pieds, sous les giboulées,
Qui maudissant fort les contemplatifs
S’éloignent très vite à grandes foulées
L’eau de mon patio atteint jusqu’au seuil
De la porte en bois et dans l’eau voyage
Une fleur de lis remerciant l’accueil
Du flot repoussant l’esquif sans cordage.
Près de l’arbre en pleurs une feuille nage
Trop tôt arrachée au branchage noir
Qui tant secoué a perdu l’espoir
De garder toujours sa belle ramure
À l’automne d’or, où quand vient le soir,
Son feuillage feu dans le vent murmure
Dernière édition par TITEFEE le Jeu 4 Déc - 8:06, édité 1 fois
TITEFEE- Nombre de messages : 1437
loisirs : poésies, ballades
Humeur : rêveuse
Date d'inscription : 17/02/2008
Re: Quand pleure le ciel
Excellent tit'fée !
Toutefois, je te propose de suppmer les "qui"...
En coureurs à pieds, sous les giboulées;
Maudissant alors les contemplatifs
S'enfuient très vite à grandes foulées (exemple de diérèse)
Trop tôt arrachée au branchage, noir
Et tant secoué, d'où a fui l’espoir...
Une fleur de lis ravie de l’accueil
proposition : Un pistil fané ravi de l’accueil
Toutefois, je te propose de suppmer les "qui"...
En coureurs à pieds, sous les giboulées;
Maudissant alors les contemplatifs
S'enfuient très vite à grandes foulées (exemple de diérèse)
Trop tôt arrachée au branchage, noir
Et tant secoué, d'où a fui l’espoir...
Une fleur de lis ravie de l’accueil
proposition : Un pistil fané ravi de l’accueil
gepetto- Nombre de messages : 1908
Humeur : Ça dépend du Lion ou du Rat...
Date d'inscription : 04/10/2008
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