Arriver enfin à la terre promise

J’ai aimé à l’instant toute cette verdure,
Qui faisait un berceau dans la splendeur du jour,
Au jardin un peu fou et ses roses velours
Et la blancheur écrue du mur qui le ceinture. (Au sein du blanc écru...)

Mais ce qui m’a séduite ce fut cet ancien four (et ça fait 13 pieds du coup... : Ce qui me séduisit ?)
Et sa gueule noircie e dans un coin de la cour,
Sous la tonnelle bleue et l’immense figuier. (bon exemple à suivre... sourire...)

Mes rêves lumineux n’avaient plus cette attente
Et l’espoir infini qui jamais ne contente.
Je vais pouvoir vivre, mais sans me renier (prononciation obligatoire et pas belle : Je peux vivre dès lors...)

et mes bises, Ti'fée

Rien à dire de l'idée de cette terre promise, de laquelle l'on renaît...

tetefee magnifique !

merci à toi ma douceur.. je pense à toi tu sais
les jours s'ajouteront aux jours et les nuits aux nuits et un jour tu verras que le soleil brille mieux à ta fenêtre mais que dans ton coeur rien ne sera changé et le souvenir restera vivant de celui qui est là à te suivre tout le long de ta route, maintenant qu'il est parti et qu'il ne souffre plus

J’ai aimé à l’instant toute cette verdure,
Qui faisait un berceau dans la splendeur du jour,
Au jardin un peu fou et ses roses velours
Et leur couleur ponceau sur le mur de ceinture

Mais la surprise fut de découvrir le four
Et sa gueule noircie en cette immense cour
Sous la tonnelle bleue entourant un figuier

Mes rêves lumineux n’avaient plus cette attente
Et l’espoir infini qui jamais ne contente
Venait de se combler sans avoir à prier.