Je m’emmerde vous dis-je…
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Je m’emmerde vous dis-je…
Je m’emmerde vous dis-je…
À la Brassens pour m'amuser
D`être « sustentatoir »
À l’adverbe, savoir
Le présent compensé
N’est pas si singulier
Aux pluriels, détresse
Il y a dans l’écu
Une vulgarité
Et Monnet s’éclaircit
En toute volupté
On voit bien l’avenir
Dans un devoir distant
On sait bien se tenir
Privé de l’assistant
Et la verve rampante
Comme lierre d’antan
La moitié dans l’attente
Elle cri je me vole
Comme un bouquin lié
Un livret sur le sol
À cueillir la rosée
Un souhait pour la marge
Et si j’avions des elles
Pour un lui qui rigole
Et si j’avions jarretelle
Comme un bas sans luciole
J’alarmerai raison
En combattant pensé
Étant dans l’horizon
Dans mes pas séquencés
Un trop thème à l’orteil
On dira un bracelet
Pour le temps dit passé
Et on fera le guet
Sous un lilas secret
Ne faut surtout pas vendre
La source du temps
Et regretter son âme
Sans la pause au bémol
Mais être a pas d’avoir, car il sait qu’on le fuit
Un chemin dans le noir avait tant si envie
De meubler mon histoire en croisant les parvis
Une mémoire et puis un appel pour la vie
Une corde ostensoir pendulait dans ma nuit
Une lune entonnoir si petite à l’ennui
Et un sas au pouvoir, relire Gosciny
Un sourire sans grimoire il faudrait bien l’écrit
Je m’emmerde en saison le labour n’est pas fleur
Mais il y a chansons pour fleurir tous les cœurs
Et Jeanne a son jardin une fleur un refrain
Elle cueille un matin en fait un parchemin
Était-elle un destin un avenir enfin
Une canne d’étain le pommeau dans sa main
Le majeur à l’index faut pas avoir la main
Pour décrire son ex, je ne veux plus matin
Et si d’août est prétexte à savoir lendemain
Je suis où dans mon texte à me voir le chagrin
Plus vieux quand je le dis poursuivant ma raison
Sans plume à l’horizon il y a la façon
D’encrer un emmerdeur à la une mission
Je m’emmerde sciant le tranchant est le son
Le poète à l’an-vers avait tant de jupons
L’obsolète pré vert sulpicien d’un juron
Et la foi vie que terre avait une tension
Mais il n’y a pas clerc dans toutes mes visions
Le savoir, qui d’un mot décrit toute ignorance
Le vouloir est propos au dortoir d’assistance
La mémoire d’un anneau quand le banc est pudique
Blanc se voit dans l’appeau, sonorité ludique
Je m’emmerde à l’endos il est au si tôt gène
Il se sert de l’an-clos pour encarter ma laine
Vais celle qui à l’eau entame une rengaine
Avait-il chapiteaux pour revoir une scène
Je m’emmerde vous dis je à vous savoir en cul
Sous la couche d’os zone un père-ver est repu
J’emmerde le je puits-je à singe assit poilu
Le trouvère qui trône était-il parvenu
Mais au levant mon œil a bien vu que l’enfant
N’était pas si en deuil d’enterrer son présent
Il emmerdait le champ au pas plus que passant
Il savait que son chant emmerderait puisant
Si rêve est cueilli quand la nuit se penche
Le temps est suivi de la dame blanche
Et le noir ainsi écrira dans l’anse
Si peu de la vie juste une romance
Quand il est un conseil de conseiller les gens
Était-il dans la rue à cueillir vos mémoires
Un souvenir pour l’un l’autre était en devoir
Celui le si savant l’emmerdeur de l’avant
Prolétaire au drapeau Victor vu son ego
Révolution dans l’âme au cœur fut le pied bot
Si je perds ma maison, le gueux prendra le sceau
Si peu comme le vœux d’être encore puceau
Je m’emmerde vous dis-je…
atouthasard
À la Brassens pour m'amuser
D`être « sustentatoir »
À l’adverbe, savoir
Le présent compensé
N’est pas si singulier
Aux pluriels, détresse
Il y a dans l’écu
Une vulgarité
Et Monnet s’éclaircit
En toute volupté
On voit bien l’avenir
Dans un devoir distant
On sait bien se tenir
Privé de l’assistant
Et la verve rampante
Comme lierre d’antan
La moitié dans l’attente
Elle cri je me vole
Comme un bouquin lié
Un livret sur le sol
À cueillir la rosée
Un souhait pour la marge
Et si j’avions des elles
Pour un lui qui rigole
Et si j’avions jarretelle
Comme un bas sans luciole
J’alarmerai raison
En combattant pensé
Étant dans l’horizon
Dans mes pas séquencés
Un trop thème à l’orteil
On dira un bracelet
Pour le temps dit passé
Et on fera le guet
Sous un lilas secret
Ne faut surtout pas vendre
La source du temps
Et regretter son âme
Sans la pause au bémol
Mais être a pas d’avoir, car il sait qu’on le fuit
Un chemin dans le noir avait tant si envie
De meubler mon histoire en croisant les parvis
Une mémoire et puis un appel pour la vie
Une corde ostensoir pendulait dans ma nuit
Une lune entonnoir si petite à l’ennui
Et un sas au pouvoir, relire Gosciny
Un sourire sans grimoire il faudrait bien l’écrit
Je m’emmerde en saison le labour n’est pas fleur
Mais il y a chansons pour fleurir tous les cœurs
Et Jeanne a son jardin une fleur un refrain
Elle cueille un matin en fait un parchemin
Était-elle un destin un avenir enfin
Une canne d’étain le pommeau dans sa main
Le majeur à l’index faut pas avoir la main
Pour décrire son ex, je ne veux plus matin
Et si d’août est prétexte à savoir lendemain
Je suis où dans mon texte à me voir le chagrin
Plus vieux quand je le dis poursuivant ma raison
Sans plume à l’horizon il y a la façon
D’encrer un emmerdeur à la une mission
Je m’emmerde sciant le tranchant est le son
Le poète à l’an-vers avait tant de jupons
L’obsolète pré vert sulpicien d’un juron
Et la foi vie que terre avait une tension
Mais il n’y a pas clerc dans toutes mes visions
Le savoir, qui d’un mot décrit toute ignorance
Le vouloir est propos au dortoir d’assistance
La mémoire d’un anneau quand le banc est pudique
Blanc se voit dans l’appeau, sonorité ludique
Je m’emmerde à l’endos il est au si tôt gène
Il se sert de l’an-clos pour encarter ma laine
Vais celle qui à l’eau entame une rengaine
Avait-il chapiteaux pour revoir une scène
Je m’emmerde vous dis je à vous savoir en cul
Sous la couche d’os zone un père-ver est repu
J’emmerde le je puits-je à singe assit poilu
Le trouvère qui trône était-il parvenu
Mais au levant mon œil a bien vu que l’enfant
N’était pas si en deuil d’enterrer son présent
Il emmerdait le champ au pas plus que passant
Il savait que son chant emmerderait puisant
Si rêve est cueilli quand la nuit se penche
Le temps est suivi de la dame blanche
Et le noir ainsi écrira dans l’anse
Si peu de la vie juste une romance
Quand il est un conseil de conseiller les gens
Était-il dans la rue à cueillir vos mémoires
Un souvenir pour l’un l’autre était en devoir
Celui le si savant l’emmerdeur de l’avant
Prolétaire au drapeau Victor vu son ego
Révolution dans l’âme au cœur fut le pied bot
Si je perds ma maison, le gueux prendra le sceau
Si peu comme le vœux d’être encore puceau
Je m’emmerde vous dis-je…
atouthasard
atouthasard- Nombre de messages : 1113
Date d'inscription : 11/10/2008
Re: Je m’emmerde vous dis-je…
Un souffle qui essouffle
Se laisser couler de vers en vers
Sans passer en travers
Des mots souples
Juste les adopter, les canaliser
Ils sont écrits pour amuser
A tout hasard
Qui avait un lézard
:esc:
Se laisser couler de vers en vers
Sans passer en travers
Des mots souples
Juste les adopter, les canaliser
Ils sont écrits pour amuser
A tout hasard
Qui avait un lézard
:esc:
Re: Je m’emmerde vous dis-je…
Quelle envolée...
Tant que tu ne t'ennuies point en faisant l'Amour......Tout te reste permis.
Tant que tu ne t'ennuies point en faisant l'Amour......Tout te reste permis.
Invité- Invité
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