le goutte à goutte qui dégoutte
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le goutte à goutte qui dégoutte
Et encore la pluie qui s'écoule
Au compte-goutte
Ou en giboulées dignes d'un printemps
Les gouttières débordantes.
On passe de 30 ° à ces averses
De celles qui te font rester sans rien faire
Avachi devant un clavier
Ou dans l'attente d'un je ne sais quoi.
On passe d'une journée à se faire rôtir
Ou à se lézarder sur une paillasse devant un plan d'eau
A ces journées moroses
Ou la végétation caracole avec des poussées, non pas de fièvre.
Parfois la haute tension se fait sentir
Je parle de ces orages aux multiples feux
Ou encore des familles se retrouvant comme en confinement
A se regarder dans le blanc des yeux, rougis par l'envie de se mouver.
On regarde sa terrasse meublée
Pour qui pour quoi ?
Presque noyé sans ses apéros d'été
Noyé de trombes d'eaux.
Les feuilles ploient sous le poids
Les fleurs sont moins gaillardes
La terre est saoule d'être autant abreuvé
Les chemins de traverses sont impraticables.
On n'y marche pas
On y patauge
On en malaxe la terre
Comme aimerait faire un potier.
On peut avoir ou voir le chemin que l'on désire
Le vôtre comme le mien
Ceux de nos tourments, où non
Ceux de nos forêts noyées et à fleur d'eau....
..................................comme nous à fleur de peau
Au compte-goutte
Ou en giboulées dignes d'un printemps
Les gouttières débordantes.
On passe de 30 ° à ces averses
De celles qui te font rester sans rien faire
Avachi devant un clavier
Ou dans l'attente d'un je ne sais quoi.
On passe d'une journée à se faire rôtir
Ou à se lézarder sur une paillasse devant un plan d'eau
A ces journées moroses
Ou la végétation caracole avec des poussées, non pas de fièvre.
Parfois la haute tension se fait sentir
Je parle de ces orages aux multiples feux
Ou encore des familles se retrouvant comme en confinement
A se regarder dans le blanc des yeux, rougis par l'envie de se mouver.
On regarde sa terrasse meublée
Pour qui pour quoi ?
Presque noyé sans ses apéros d'été
Noyé de trombes d'eaux.
Les feuilles ploient sous le poids
Les fleurs sont moins gaillardes
La terre est saoule d'être autant abreuvé
Les chemins de traverses sont impraticables.
On n'y marche pas
On y patauge
On en malaxe la terre
Comme aimerait faire un potier.
On peut avoir ou voir le chemin que l'on désire
Le vôtre comme le mien
Ceux de nos tourments, où non
Ceux de nos forêts noyées et à fleur d'eau....
..................................comme nous à fleur de peau
ressilap- Nombre de messages : 558
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