Le mal de ta peine
Page 1 sur 1
Le mal de ta peine
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Le mal de ta peine
Lasse une cage fredonnait
J’y ai déposé mon silence
Loin de ma présence
Pour solitaire me parler
•
Ma pensée sereine
S’enhardit à me dire
Ne te laisse souffrir
Du mal de ta peine
•
Prend toutes couleurs
Fabrique des arcs en ciel
Qu’ils ne soient artificiels
Et dépouille ta pâleur
•
Ramasse du soleil les flèches
De ses rayons chaleureux
Tend les sur l’arc de tes yeux
Qu’ils transpercent tes désirs rêches
•
Aux affamés de la médisance
Donne quelques vers de ta terre
Découpe leurs mots trop amers
Fais en œuvres de bienfaisance
•
Sur ton lit de misère à l’aurore
Cache ta laideur sous ta paillasse
Elle te protégera de la caillasse
Qui empêche mille roses d’éclore
•
Instrumente ta science maligne
Les gouttes de pluies attristées
Seront perles de feux, capitalisées
Au fond de ton cœur magnanime
•
Quand ton doux visage accueillera
Les puissants sourires de la vie
Alors relâche leste ton silence ravi
De te voir réfléchi, lui parler de féria
•
Ecoute le, il te bruisse l’amour
Il n’en est pas vautour, mais savoure
Ton bonheur que sans bruit il laboure
Au trémolo d’une cage berçant ton retour
ƒC
Le mal de ta peine
Lasse une cage fredonnait
J’y ai déposé mon silence
Loin de ma présence
Pour solitaire me parler
•
Ma pensée sereine
S’enhardit à me dire
Ne te laisse souffrir
Du mal de ta peine
•
Prend toutes couleurs
Fabrique des arcs en ciel
Qu’ils ne soient artificiels
Et dépouille ta pâleur
•
Ramasse du soleil les flèches
De ses rayons chaleureux
Tend les sur l’arc de tes yeux
Qu’ils transpercent tes désirs rêches
•
Aux affamés de la médisance
Donne quelques vers de ta terre
Découpe leurs mots trop amers
Fais en œuvres de bienfaisance
•
Sur ton lit de misère à l’aurore
Cache ta laideur sous ta paillasse
Elle te protégera de la caillasse
Qui empêche mille roses d’éclore
•
Instrumente ta science maligne
Les gouttes de pluies attristées
Seront perles de feux, capitalisées
Au fond de ton cœur magnanime
•
Quand ton doux visage accueillera
Les puissants sourires de la vie
Alors relâche leste ton silence ravi
De te voir réfléchi, lui parler de féria
•
Ecoute le, il te bruisse l’amour
Il n’en est pas vautour, mais savoure
Ton bonheur que sans bruit il laboure
Au trémolo d’une cage berçant ton retour
ƒC
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum