Nout
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Admin
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Nout
Nout
Sage pénombre s’immisça dans le ciel
Après que l’astre à la couleur de miel
Eut offert s’exilant
Camaïeux chatoyants
Violets et orangers
Bariolis passagers.
Douce main velouteuse de la nuit
Nuageuse sur la voûte s’étendit
Apaisante et discrète
Couleurs sombres en palette
Obscurité profonde
Enténébrant le monde.
Le couvre-ciel après son siège nocturne
Du plafond se retira taciturne
Libérant l’empyrée
Permettant l’arrivée
Du réveil volubile
Les oiseaux qui jubilent.
Sa robe noire retirée aussitôt
Beauté divine enfanta à nouveau
Souverain nitescent
Le soleil rayonnant
Offrit une fois encore
À la Terre son trésor.
Sage pénombre s’immisça dans le ciel
Après que l’astre à la couleur de miel
Eut offert s’exilant
Camaïeux chatoyants
Violets et orangers
Bariolis passagers.
Douce main velouteuse de la nuit
Nuageuse sur la voûte s’étendit
Apaisante et discrète
Couleurs sombres en palette
Obscurité profonde
Enténébrant le monde.
Le couvre-ciel après son siège nocturne
Du plafond se retira taciturne
Libérant l’empyrée
Permettant l’arrivée
Du réveil volubile
Les oiseaux qui jubilent.
Sa robe noire retirée aussitôt
Beauté divine enfanta à nouveau
Souverain nitescent
Le soleil rayonnant
Offrit une fois encore
À la Terre son trésor.
Re: Nout
Annonce de l’aurore
En bourgeons d’or
Un gout de miel sur les vers
Un son mélodieux entre les lignes
Ah, ce sont les oiseaux qui jubilent
Sur les branches du poème
Face au ciel de Monique
La plume magnifique
Aux mots magiques
En bourgeons d’or
Un gout de miel sur les vers
Un son mélodieux entre les lignes
Ah, ce sont les oiseaux qui jubilent
Sur les branches du poème
Face au ciel de Monique
La plume magnifique
Aux mots magiques
Re: Nout
Magnifique et subliminal.
Comme le couvre-feu,
le couvre-ciel se retire
ouvrant à tous nos vœux
la lumière et l'avenir...
Comme le couvre-feu,
le couvre-ciel se retire
ouvrant à tous nos vœux
la lumière et l'avenir...
Jeaf- Nombre de messages : 129
Date d'inscription : 14/04/2008
Re: Nout
ce poème a enfanté des réponses poétiques fort appréciées,
d'un auteur à l'autre, les mots se déposent ,
se transposent et ainsi proposent
de la rime à forte dose
Vive le partage et l'abondance d'idées
merci à vous
d'un auteur à l'autre, les mots se déposent ,
se transposent et ainsi proposent
de la rime à forte dose
Vive le partage et l'abondance d'idées
merci à vous
Re: Nout
La robe de la nuit se retire
Le soleil s'étire comme un chat qui a bien dormie
et voilà t :flr: es vers qui viennent nous dire bonjour .
Le soleil s'étire comme un chat qui a bien dormie
et voilà t :flr: es vers qui viennent nous dire bonjour .
nisrine nacer- Nombre de messages : 1044
Date d'inscription : 09/09/2008
Re: Nout
Oh j'aime beaucoup cette comparaison entre le chat qui s'étire et les rayons du soleil qui s'allonge
merci nisrine
merci nisrine
Re: Nout
Ton excellent poème, libre, acceptera-t-il le "classissisme" de mon sonnet ?
Quoiqu'il en soit, je te l'offre, ne pouvant te donner la lune...
Qui a mordu la lune ? Est-ce le Dieu Vulcain ?
De son flanc mordillé, de la clarté a fui...
D’elle qui, hier au soir, était pleine, aujourd’hui,
Il ne m’en a laissé qu’un quartier. Et demain ?
Un croissant ! Dites-moi quel est ce Dieu taquin
Qui persiste à vider la lune, chaque nuit
De sa lumière et qui, sournoisement, sans bruit,
L’aspire ? Jupiter ou l’Archérot coquin ?
Autre jour. Autre nuit. De sa bouche souffleuse,
Le dieu Éole rend à la lune gibbeuse
Sa clarté, peu à peu... De lumière nourris,
Les astres savent bien qu’aucun diable ni dieu
Ne dévore la lune et qu’un d’entre eux, précieux,
Les pousse à réfléchir... Et le soleil sourit !
gep
Quoiqu'il en soit, je te l'offre, ne pouvant te donner la lune...
Qui a mordu la lune ? Est-ce le Dieu Vulcain ?
De son flanc mordillé, de la clarté a fui...
D’elle qui, hier au soir, était pleine, aujourd’hui,
Il ne m’en a laissé qu’un quartier. Et demain ?
Un croissant ! Dites-moi quel est ce Dieu taquin
Qui persiste à vider la lune, chaque nuit
De sa lumière et qui, sournoisement, sans bruit,
L’aspire ? Jupiter ou l’Archérot coquin ?
Autre jour. Autre nuit. De sa bouche souffleuse,
Le dieu Éole rend à la lune gibbeuse
Sa clarté, peu à peu... De lumière nourris,
Les astres savent bien qu’aucun diable ni dieu
Ne dévore la lune et qu’un d’entre eux, précieux,
Les pousse à réfléchir... Et le soleil sourit !
gep
gepetto- Nombre de messages : 1908
Humeur : Ça dépend du Lion ou du Rat...
Date d'inscription : 04/10/2008
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