Le dieu humain
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Le dieu humain
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Le Dieu humain
Amples ses ailes
Il s’élève vers le ciel
Le Dieu humain vers
La voûte stellaire
Il fend l’air;
Pure âme de vie austère
Embrasse le désert
Pour attirer la mer
Qui se recueille belle
Dans l’éternel
Vierge blanche
La houle s’épanche
Sur la mutation
Des belles obsessions
De l’humain en accusation
De sa rébellion
Qui cherche satisfaction
A la déification
Que de ta revanche
O nature tu étanches
L’aile au vent attendrie
Se va dans son nid
Engendrer la mort
Des vivants au port
Qui de leur mors
Saigne le bel effort
De l’oiseau d’or
Qui apporte le bon sort
A leurs envies
Qu’il voudrait voir ravies
L’humain n’a le temps
Mais au loin il entend
Son aile se ployer
Sur les éclairs acérés
Rougeoie d’absurdité
Sur la mer calmée
Croie le placide déjouer
D’un Dieu ulcéré
Mais trop dément
Jamais il ne se repend
Ne viendront pas les mers
Mourir au désert
Elles ne veulent aux grains
Mélanger le sain
De cette pureté d’entrain
Qui évite les faims
Que de puissants reins
Anticipent sereins
En rongeant amèrs
Des plis de dunes austères
Et a repris la nature
Au Dieu humain son armure
Pouvoirs des Ailes sombres
Qui déversent leurs ombres
Maudites en nombres
Parsemant la rêche pénombre
Qui pugnace vous dénombre
Aux contrées les catacombes
Et l’humain contrit, cet être pur
Se doit ; il assure et rassure
Trop bas sur l’astre
Fut jour d’un terrible désastre
L’aile se crut Dieu
Au marché noir des envieux
Voulut, jour de tsunami, voler au mieux
Sur la surface d’un océan furieux
Son mal sérieux
Elle se brisa à l’écume des rugueux
Et la nature sans pilastre
La laissa aux mains du médicastre
L’aile sombre adu passé je l’ai vu
Aux enfers de ma trop triste bévue
Elle volait affaiblie sur mon âme
J’ai voulu soigner son vil drame
Et j’ai couru saigner mes vertus
Pour lui donner un sang cossu
Pour relever sa crochue misère
Loin, très loin des putrides barrières
Fière c’est là qu’elle m’a conduit
Nonobstant la pureté de mes acquis.
©ƒC
Le Dieu humain
Amples ses ailes
Il s’élève vers le ciel
Le Dieu humain vers
La voûte stellaire
Il fend l’air;
Pure âme de vie austère
Embrasse le désert
Pour attirer la mer
Qui se recueille belle
Dans l’éternel
Vierge blanche
La houle s’épanche
Sur la mutation
Des belles obsessions
De l’humain en accusation
De sa rébellion
Qui cherche satisfaction
A la déification
Que de ta revanche
O nature tu étanches
L’aile au vent attendrie
Se va dans son nid
Engendrer la mort
Des vivants au port
Qui de leur mors
Saigne le bel effort
De l’oiseau d’or
Qui apporte le bon sort
A leurs envies
Qu’il voudrait voir ravies
L’humain n’a le temps
Mais au loin il entend
Son aile se ployer
Sur les éclairs acérés
Rougeoie d’absurdité
Sur la mer calmée
Croie le placide déjouer
D’un Dieu ulcéré
Mais trop dément
Jamais il ne se repend
Ne viendront pas les mers
Mourir au désert
Elles ne veulent aux grains
Mélanger le sain
De cette pureté d’entrain
Qui évite les faims
Que de puissants reins
Anticipent sereins
En rongeant amèrs
Des plis de dunes austères
Et a repris la nature
Au Dieu humain son armure
Pouvoirs des Ailes sombres
Qui déversent leurs ombres
Maudites en nombres
Parsemant la rêche pénombre
Qui pugnace vous dénombre
Aux contrées les catacombes
Et l’humain contrit, cet être pur
Se doit ; il assure et rassure
Trop bas sur l’astre
Fut jour d’un terrible désastre
L’aile se crut Dieu
Au marché noir des envieux
Voulut, jour de tsunami, voler au mieux
Sur la surface d’un océan furieux
Son mal sérieux
Elle se brisa à l’écume des rugueux
Et la nature sans pilastre
La laissa aux mains du médicastre
L’aile sombre adu passé je l’ai vu
Aux enfers de ma trop triste bévue
Elle volait affaiblie sur mon âme
J’ai voulu soigner son vil drame
Et j’ai couru saigner mes vertus
Pour lui donner un sang cossu
Pour relever sa crochue misère
Loin, très loin des putrides barrières
Fière c’est là qu’elle m’a conduit
Nonobstant la pureté de mes acquis.
©ƒC
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