Ton délire
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Ton délire
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Ton délire
Ton délire excitant ma belle lyre
S’étire permissif sur mon empire
Tu joues gracieuse sur mes joues
Enjoues mon ego et humble rejoue
•
Au front de ce remarquable fronton
Agence le tronc de mon vil affront
Mets un terme à cette rudesse ferme
Enferme l’animal dévoyé à ta ferme
•
Cet instinct vorace de grand teint
Qui éteint l’ardeur d’un passé certain
D’un voyageur sidéral évitant les galles
De nuits illégales où pleure la cigale
•
O instinct ! Le mensonge de tes songes
Ronge ma volonté qui sage s’allonge
A la convoitise de ta vulgaire hantise
De perpétrer la bêtise qui reclus l’attise
Et ses heurts du grand mal dans ces heures
Ont leur: vile perfidie d’inutiles malheurs
S’épanche sanglante dans une tenue blanche
Quand se penche le plus pur d’une hanche
•
Et un amour dérange celle qui se change
Sur la frange de l’oubli au fond de sa grange
Ouvre ta porte que le beau bonheur m’emporte
Déporte mes malheurs, cela seul m’importe
•
Oui ! Je crie sur les nuages gris que je décrie
Et ton écrit me prie de ne plus être épris du cri
Que tu déposais dans les hier, en mots posés
Ils se reposaient douillets sur mon cœur disposé
•
Et la mer de la difficulté a vogué sur l’amère
D’une mère affolée de cet instinct primaire
De l’enfant volage, immature pour son age
Répudiant le sage pour un vil braconnage
•
O lyre ténébreuse qu’elles sont nombreuses
Ces nuits ombreuses de ma vie scabreuse
Joues-moi fanatique des sons acrobatiques
A présent il faut drastique que je m’applique.
©ƒC
Ton délire
Ton délire excitant ma belle lyre
S’étire permissif sur mon empire
Tu joues gracieuse sur mes joues
Enjoues mon ego et humble rejoue
•
Au front de ce remarquable fronton
Agence le tronc de mon vil affront
Mets un terme à cette rudesse ferme
Enferme l’animal dévoyé à ta ferme
•
Cet instinct vorace de grand teint
Qui éteint l’ardeur d’un passé certain
D’un voyageur sidéral évitant les galles
De nuits illégales où pleure la cigale
•
O instinct ! Le mensonge de tes songes
Ronge ma volonté qui sage s’allonge
A la convoitise de ta vulgaire hantise
De perpétrer la bêtise qui reclus l’attise
Et ses heurts du grand mal dans ces heures
Ont leur: vile perfidie d’inutiles malheurs
S’épanche sanglante dans une tenue blanche
Quand se penche le plus pur d’une hanche
•
Et un amour dérange celle qui se change
Sur la frange de l’oubli au fond de sa grange
Ouvre ta porte que le beau bonheur m’emporte
Déporte mes malheurs, cela seul m’importe
•
Oui ! Je crie sur les nuages gris que je décrie
Et ton écrit me prie de ne plus être épris du cri
Que tu déposais dans les hier, en mots posés
Ils se reposaient douillets sur mon cœur disposé
•
Et la mer de la difficulté a vogué sur l’amère
D’une mère affolée de cet instinct primaire
De l’enfant volage, immature pour son age
Répudiant le sage pour un vil braconnage
•
O lyre ténébreuse qu’elles sont nombreuses
Ces nuits ombreuses de ma vie scabreuse
Joues-moi fanatique des sons acrobatiques
A présent il faut drastique que je m’applique.
©ƒC
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