Les sagesses du bon droit
Page 1 sur 1
Les sagesses du bon droit
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Les sagesses du bon droit
Pour écouter les sagesses du bon droit
Ma pensée serviable s’ouvre sur le monde
Là, où se trouvent les capitulations fécondes
Quand je me viens d’orageux chemins étroits
¤
Les canons ne tirent plus sur mes envies
Pour écouter les sagesses du bon droit
La tolérance éclate dans toutes les voix
Quand au loin les peuples me sourient
¤
Des forêts j’entrevois de gais feux d’artifice
Les canons ne tirent plus sur mes envies
Quand au loin le peuple radieux me sourie
On décime au bûcher du bonheur les sacrifices
¤
Les enfants couchent heureux leurs chagrins
Des forêts j’entrevois de gais feux d’artifice
On décime au bûcher du bonheur les sacrifices
Et des yeux d’azur se baignent en doux refrains
¤
Noël dans le monde carillonne joyeux la fête
Et des yeux d’azur se baignent en doux refrains
Les enfants couchent heureux leurs chagrins
Dans la joie fertile qui relève leurs sages têtes
¤
Les cadeaux merveilleux retournent dans la paix
Dans la joie fertile qui relève leurs sages têtes
Noël dans le monde carillonne joyeux la fête
Le traîneau doré joue sur les calmes cheminées
¤
Tous s’éveillent sereins aux lumières de la joie
Le traîneau doré joue sur les calmes cheminées
Les cadeaux merveilleux retournent dans la paix
Sur les maisonnées, on hisse le blanc pavois
¤
Les enfants cicatrisent l’effroi des blessures
Sur les maisonnées on hisse le blanc pavois
Tous s’éveillent sereins aux lumières de la joie
Les jeux renaissent dans l’espace du bel azur
¤
Affamés de la paix ils se repaissent de confiance
Les jeux renaissent dans l’espace du bel azur
Nourriture de la fête délivrent les villes morsures
De la guerre inutile qui ruine l’enfance innocente
◘
Ils dévorent gloutons les jeux d’un repus bonheur
Carillonne, carillonne, sonne, sonne, encor sonne
Enfant de Noël, la paix cantonne et encor cantonne
Qu’en ce jour, naisse infini votre devenir sauveur.
Ô que soit ce demain inoubliable
Que de partout sur les maisonnées,
On hisse le blanc pavois, que règne la paix
Dans un éternel bonheur véritable
ƒC
Les sagesses du bon droit
Pour écouter les sagesses du bon droit
Ma pensée serviable s’ouvre sur le monde
Là, où se trouvent les capitulations fécondes
Quand je me viens d’orageux chemins étroits
¤
Les canons ne tirent plus sur mes envies
Pour écouter les sagesses du bon droit
La tolérance éclate dans toutes les voix
Quand au loin les peuples me sourient
¤
Des forêts j’entrevois de gais feux d’artifice
Les canons ne tirent plus sur mes envies
Quand au loin le peuple radieux me sourie
On décime au bûcher du bonheur les sacrifices
¤
Les enfants couchent heureux leurs chagrins
Des forêts j’entrevois de gais feux d’artifice
On décime au bûcher du bonheur les sacrifices
Et des yeux d’azur se baignent en doux refrains
¤
Noël dans le monde carillonne joyeux la fête
Et des yeux d’azur se baignent en doux refrains
Les enfants couchent heureux leurs chagrins
Dans la joie fertile qui relève leurs sages têtes
¤
Les cadeaux merveilleux retournent dans la paix
Dans la joie fertile qui relève leurs sages têtes
Noël dans le monde carillonne joyeux la fête
Le traîneau doré joue sur les calmes cheminées
¤
Tous s’éveillent sereins aux lumières de la joie
Le traîneau doré joue sur les calmes cheminées
Les cadeaux merveilleux retournent dans la paix
Sur les maisonnées, on hisse le blanc pavois
¤
Les enfants cicatrisent l’effroi des blessures
Sur les maisonnées on hisse le blanc pavois
Tous s’éveillent sereins aux lumières de la joie
Les jeux renaissent dans l’espace du bel azur
¤
Affamés de la paix ils se repaissent de confiance
Les jeux renaissent dans l’espace du bel azur
Nourriture de la fête délivrent les villes morsures
De la guerre inutile qui ruine l’enfance innocente
◘
Ils dévorent gloutons les jeux d’un repus bonheur
Carillonne, carillonne, sonne, sonne, encor sonne
Enfant de Noël, la paix cantonne et encor cantonne
Qu’en ce jour, naisse infini votre devenir sauveur.
Ô que soit ce demain inoubliable
Que de partout sur les maisonnées,
On hisse le blanc pavois, que règne la paix
Dans un éternel bonheur véritable
ƒC
Sujets similaires
» J’ai le droit
» Qui vous a donné le droit de parler
» Accordez-nous le droit d’observer
» Mon an-droit, passant
» Je persévère à défendre mon droit
» Qui vous a donné le droit de parler
» Accordez-nous le droit d’observer
» Mon an-droit, passant
» Je persévère à défendre mon droit
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum