L’échec ne nous a pas été promis
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L’échec ne nous a pas été promis
L’échec ne nous a pas été promis
On refuse d’accepter que le grand mal
Nous a été promis, car on est lié à la raison
Par les bienfaits d’une bonté sans égale ;
L’amour du prochain anticipe la floraison
Luxuriante, il enfle nos cœurs de douceur
Et nos têtes du savoir; Chassons la faiblesse
De nos esprits, combattons avec ardeur
Les abus qu’alimente le sentiment de petitesse
Pour nous garder prisonniers entre les griffes
De la peur sous le regard discret des oiseaux
Chanteurs et la diffusion des discours agressifs
Qui effraient les peuples, caressent les museaux
Des singes et rassemblent les charognards
Affamés autour des cadavres abandonnés
Pour applaudir fortement la parade de chars
Et empêcher la lumière dorée de rayonner
Dans le monde ; chassons les pâles nuages !
Elles nous enferment dans une vision floue
En nous ramenant au temps des hordes sauvages
vivre les horreurs commises par des fous
Assoiffés du sang que la barbarie emporte
Dans l’ombre de la mort aux vastes arènes
Sans saisir que seul le pardon nous réconforte
Loin des hurlements des sirènes.
Dad Allaoua
On refuse d’accepter que le grand mal
Nous a été promis, car on est lié à la raison
Par les bienfaits d’une bonté sans égale ;
L’amour du prochain anticipe la floraison
Luxuriante, il enfle nos cœurs de douceur
Et nos têtes du savoir; Chassons la faiblesse
De nos esprits, combattons avec ardeur
Les abus qu’alimente le sentiment de petitesse
Pour nous garder prisonniers entre les griffes
De la peur sous le regard discret des oiseaux
Chanteurs et la diffusion des discours agressifs
Qui effraient les peuples, caressent les museaux
Des singes et rassemblent les charognards
Affamés autour des cadavres abandonnés
Pour applaudir fortement la parade de chars
Et empêcher la lumière dorée de rayonner
Dans le monde ; chassons les pâles nuages !
Elles nous enferment dans une vision floue
En nous ramenant au temps des hordes sauvages
vivre les horreurs commises par des fous
Assoiffés du sang que la barbarie emporte
Dans l’ombre de la mort aux vastes arènes
Sans saisir que seul le pardon nous réconforte
Loin des hurlements des sirènes.
Dad Allaoua
Dad Allaoua- Nombre de messages : 3370
Date d'inscription : 26/01/2010
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